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tachilhite78 a écrit:
salam
bcp de amin Maalouf par ici
je ne lis rien la.. mais je vais commencer Muhammad l'ultime joyeu de la Prophetie.. depuis le tps que je voulais lire la Sira du prophete...
ils parlent de quoi vos livres? y'en a pas bcp qui ont developpé c'est dommage
salam
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Hasna80 a écrit:
Je lis également le livre "Partir" de Tahar Ben Jelloun.
J'apprécie énormement cet écrivain marocain qui n'a pas froid aux yeux et qui choque pas mal de monde surtout au Maroc au point qu'il se voit censuré certains livres là-bas. Sa manière d'écrire est cru certes mais parfois réaliste et cela déplait.
Voilà une ptite interview pris son site pers "www.taharbenjelloun.org" sur son dernier roman, ca donnera peut être envie a d'autre de le lire.
"Partir" le nouveau roman de Tahar ben Jelloun
Entretien avec Tahar Ben Jelloun
Partir : un verbe à l’impératif qui sonne comme une idée fixe…
« Partir » est un verbe plus fort qu’« émigrer » ou « s’exiler » : il exprime le mouvement, la détermination, laisse imaginer le non-retour. C’est une idée fixe dans la tête de beaucoup de Marocains : toute une jeune génération, qui a fait des études mais ne trouve pas de travail, se met à regarder de l’autre côté de la Méditerranée, espérant résoudre le problème de son destin en traversant le détroit de Gibraltar.
Vous évoquez la vision de l’Espagne depuis Tanger…
De jour, par beau temps, on voit les côtes espagnoles et la petite ville de Tarifa ; de nuit, on voit les lumières scintiller. L’inverse est vrai aussi : de Tarifa, on voit Tanger. Avec cette différence énorme que les Espagnols ne s’installent pas dans des cafés pour regarder les côtes marocaines !
Le roman est très ancré dans les années 1990…
Il commence en 1994-1995, avec l’assainissement décidé par Hassan II et son ministre de l’Intérieur pour lutter contre le trafic de drogue, et se termine sur une lueur d’espoir, avec l’arrivée du jeune roi Mohammed VI en 1999.
J’ai voulu rappeler cette période terrible, dans la mesure où cet « assainissement » a été fait en dépit du bon sens : les grands mafieux n’ont pas été vraiment inquiétés, mais on s’est acharné sur des petits trafiquants, parfois sur des innocents. Ce grand coup médiatique a fait beaucoup de dégâts, notamment en matière de respect des droits de l’Homme.
Pour ceux qui parviennent à partir, la nouvelle vie est presque aussi dure que l’ancienne…
Je me suis attaché à montrer des personnages qui vivent dans la clandestinité, sauf mes deux personnages principaux, Azel et sa sœur. Eux ont migré légalement mais, au fond, restent des clandestins, puisque leur immigration a été obtenue de manière quasi illégale – surtout pour Azel, qui n’aurait jamais pu obtenir son visa sans la main tendue de Miguel, ce dandy espagnol. Mais ce n’est pas une main désintéressée ou altruiste : Azel découvrira vite qu’il a préjugé de sa résistance, il ne pourra pas supporter la situation.
Ceux qui émigrent vivent un enfer, ceux qui restent en vivent un autre… Il n’y a pas d’issue ?
L’immigration a généré des richesses de part et d’autre, mais aussi des déchirements, des conflits… Sur le long terme, ce n’est pas toujours une belle aventure : l’arrachement est douloureux, ce qu’on quitte ne pourra pas être reconstruit. Je ne reprocherais jamais à quelqu’un de vouloir s’en sortir par l’immigration, mais si son pays avait les moyens de le retenir, ce serait bien mieux pour tout le monde.
Justement, vous évoquez les retours, temporaires ou définitifs…
Dans ces départs, c’est le retour qui est important : on part pour revenir dans des conditions bien meilleures – quitte à frimer, à louer une voiture sublime pour quelques semaines… Car on ne revient jamais pour soi, toujours pour les autres.
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BleuBlue a écrit:
Les interminables coipies de mes étudiants.
Quand une blonde decide de faire des maths je vous dit pas le resulatat que ça donnera sur vos enfants. En tout cas moi je suis à bout ....
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gamma a écrit:
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moi, c'est "Le livre noir des Etats Unis" de Peter Scowen!!
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angelo a écrit:
Salam , hier j'ai acheté à la FNAC : Partir de Tahar Ben Jelloun , c'est un livre qui traite de l'émigration clandestine , faut que je le commence , j'ai la flemme...
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princesse chelha a écrit:
Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil
de Haruki Murakami
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karim_92 a écrit:Citation
princesse chelha a écrit:
Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil
de Haruki Murakami
aujourd'hui interro sirprise et oui je vous le prof, l'espace d'un post
un résumé de ce ke tu lis?
il suffit pas de lire, fo comprendre
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princesse chelha a écrit:
je lis pas je regarde les image
ti li michant toi((
toi tu devrait lire les homme viennes de mars et les femmes de venus