Poésie Voici la preuve de l’amour que je te porte, A toi celui qui m’aime et dont le cœur m’ouvre ses portes. Depuis le jour de ta naissance, jusqu’à celui de ta mort, J’essais d’être en toi comme le sang est dans ton corps. Je suis celui qui d’un doux mot a l’oreille Fais chavirer ton cœur te promettant monts et merveilles ;
Te promettant tant de choses, mais en réalisant si peu… Je ne peux pas faire plus, tout n’appartient qu’à Dieu. Je t’espionne chaque jour, m’intéresse tant à toi, Prête attention à tes failles et comble ton désarroi Avec tout ce que je peux te donner de cette vie : L’argent, la beauté, la gloire, sois donc ravi ! J’élève tes qualités, te cache tes défauts, Te complimentant sans cesse, je ravie ton ego. Je t’aime, oui je t’aime, dans tous ce que tu fait, Sois mauvais, arrogant, insouciant, imparfait, Après tous, ne dit-on pas que personne n’est parfait… Alors ne médite donc pas sur tous tes méfaits !
Alors ne te préoccupe donc pas de ton comportement ! Je t’aime comme tu es, n’est ce pas le plus important ? Deviens mon servant, et acceptes-moi pour maître ! J’éveillerai les passions endormies de ton être. Je ferai de toi un exemple pour les gens, Pour tout ceux qui m’aime en public ou secrètement. Je ferai tout pour qu’ils te jalousent et t’envient. Qu’ils souhaitent être comme toi pour pouvoir vivre ta vie. Tu es le but de la mienne, l’enjeux de mon existence,
Mais beaucoup essaieront de t’éloigner de moi, De faire taire cet amour qui nous unis moi et toi… Que seul la tombe nous éloigne pour un temps court, Et que nous soyons, dans le feu, unis pour toujours ! Je pense qu’enfin tu m’as démasqué, Allié pour un temps, ennemi à jamais, Je suis celui qui promet, qui corrompt puis trahit, Je suis, en vérité, cher Homme, Satan le maudit !
Tel un souffle parcourant le désert Tel une brise caressant la mer Je cherche encore tous mes accords Un son avec lequel je ferais corps
Se serait limite un doux murmure Un son qui traverserait les murs Des notes dont découle une douceur Elles émanent du plus profond de ton cœur
Seule à entendre cette douce mélodie Seule à comprendre se qu’elle me dit Inaudible pour tous les autres de la terre Une composition qui traduit ma petite prière
Mais le comble de mon idéal Serait seulement qu’elle te parle Laissant ainsi toutes tes pensées s’évader A elle seule tu pourras te confier
Elle viendra me murmurer ce refrain Une douce sensation en ce beau matin Me parlera de se que tu penses
Son nom vibre dans mon coeur Lui qui a été choisi par mon Siegneur Rejeté par les kofar Il a su être rafar
Tant souffert pour ce Dine Tant prié Allah pour ne pas mourir indigne En élevant la l'hymne de sa Oumma Il nous a enseigné le Coran et la Sounnah
Mes yeux versent des larmes Et mon coeur pleure de sang De ne pas avoir vu mon Immam avant Mes oreilles souffrent et se plaignent De ne pas avoir entendu le son de sa belle voix Jamais je ne l'oublirai Dans le témoignage de ma foi Il est cité après Allah
Qu'Allah lui accorde sa Miséricorde Et le fasse habiter Jannat Al'Firdaws Ainsi pour toutes ces épouses purifiées Et sa noble progéniture et ces compagnons magnifiés Ali,Otman,Abou Bakr et Omar Et tout les Mouhajirina et l'Anssar.
poéme ecrit par Fatima-Zahra(radiyallahou 3anha) fille de notre prophète saw
Que dois je dire,de celui qui a senti la terre de Mohammed? Ce parfum,le poursuivra toute son existance. Sur moi se sont battues,bien des angoisses, Si les jours etaient touchés,ils seraient en effervescence. Le ciel s'assombrit et semble etre décroché, Le soleil du jour et l'atmosphere etaient entrelacés. La terre,apres le Prophete s'etait attristée, Malheureusement à cause de lui et sous nos pas trépidés. Du nord au sud,les gens le pleuraient, Les habitants de Medére et les Yamanites le regrettaient. Comment tous les lieux où il se rendit,sur lui sanglotaient, Et la Kaaba ainsi que ses coins voilés. O Sceau des prophetes! Grorieuse fut ta clarté. Celui qui fit descendre sur le Coran,ta sanctifié.
Elle ajouta:
Nous t'avons perdu ,comme la terre est privée de pluie, Apres ton départ ;la révelation du livre s'etait arretée,depuis. Lorseque tu commenças à te plaindre,la révelation s'interrompit, Comme si ,c'etait nous que la mort a surpris.
Elle disait en pleurant:
Pere,O mon pere Tu as repondu a l'ppel d'Allah Le paradis,le Firdaws est ton lieu Proche d'Allah ,est ta quintessence. L'ange Gabriel lui fit ses condoléances.
Aujourd'hui, 4 morts Hier, 3 morts Et demain, combien y en aura t il ? Combien encore? Derrière ma télé, je suis trop tranquille Sur mon canapé, je ne crains pas les missiles
Si vous saviez...
Une mère et son enfant, elle le tient dans ses bras Les gens vont, ici et là Dans les débris et les gravats leurs maisons écroulées, totalement épuisés Le soleil est tombé, et ils restent éveillés
Si vous saviez...
Une horde de policier, au qui vive, prêt à tirer Des hommes, des femmes, des enfants Un homme s'est levé UN HOMME S' EST LEVE, ET A PROTESTE EN PARLANT DE LIBERTE Il s'est fait tué.
Si vous saviez ...
Ici, on profite de la vie, là bas on remercie Dieu Ici, on dort bien la nuit, là bas on prie Dieu Ici, on mange bien, là bas onjeune en Son Nom Ici, tout est permis, là bas on se bat pour Lui
Si tu savais comme je t'aime Ô Palestine Si vous saviez comme je vous aime Ô peuple de Palestine
Hier si belle, si vertueuse. Aujourd’hui pâle, morne, anxieuse. Demain ? Je n’ose y voir, semi-obscurité. Devant tant de gâchis, comment ne pas pleurer ?
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
D’un homme, Envoyé unique, a surgi une Nation. Solide, infaillible, flambeau de l’humanité ! Que s’est-il produit ? Nous voilà tous en prison. Qui êtes-vous ? Juges impitoyables, sinistre assemblée !
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
Oumma, ma oumma, ton cœur est bien malade. Les germes de la discorde ont dévasté ta splendeur. Imaginaire ou virtuelle, nous en sommes tous coupable, Oui, je l’avoue, notre orgueil a dévoyé notre honneur !
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
Du juste milieu, son centre de gravité bascula. Des grandeurs et des faillites, elle vécu les aléas. Engagée dans une traversée aussi périlleuse qu’imprudente, A vouloir se renier, elle s’est mise en danger, l’Insolente !
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
Loin d’Allah, loin des nôtres, nos cœurs se liquéfient, Les hommes se déchirent, les frères se délient, La crainte du Très-Haut, de nos êtres, s’est évaporée, Ne cherchons pas ailleurs la cause de notre adversité.
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
Faible, défiguré, notre Corps s’assoupit, La langueur s’y développe, elle génère sa léthargie. Nos membres s’alignent, rangs par rangs, pour la prière, Mais l’esprit, bien souvent, s’évade de par l’arrière.
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
L’Heure se rapproche, les hommes sont en perdition, A deux pas de la tombe, ils fredonnent une chanson. Par les temps qui courent, l’humanité court à sa perte, Qu’attendez-vous musulmans pour vite sonner l’alerte ?
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
L’amour de cette vie a embelli nos vices Et, de la douceur de la foi, nous prive du délice. Avons-nous perdu le sens de la raison ? L’Enfer est pavé de bonnes intentions.
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
Si Abou Bakr le véridique, Omar le Prince des croyants, Tes fidèles disciples, tes scrupuleux lieutenants, Ne sont plus nos modèles mais des personnages d’Histoire. Si nos cœurs ont préféré cette vie à l’école de l’espoir ! Alors le temps n’est plus loin qui verra venir Al Dajjal Celui que l’on nomme l’Imposteur saura vendre son fiel.
Ô Prophète, qu’est devenue ta communauté ?
Les siècles se succèdent en une effroyable similitude. Notre mémoire s’obscurcit, notre terre est une solitude. Saurons-nous retrouver l’allégresse de l’authentique foi? Je l’espère, O Prophète, n’as tu pas indiqué la voie ?
Je ne pouvais vivre sans te connaître, Maintenant, je ne peux pas vivre sans t’aimer. Tu es la lumière de toutes mes pensé, La lumière que j’ai tant espéré.
Je me souvient d’un songe que j’avais fais, Où ton aura, m’avait tant éclairé, Mais le moment qui m’avait le plus touché, C’était lorsque je t’avais embrassé,
La main gauche ou la main droite, je ne sait guère, Mais a mon réveille c’était la guerre. La haine des gens à ton égard, A remplis mon cœur de désespoir.
Ya Nur, pourquoi ont-il autant de mépris? Alors que ta lumière n’a pas de prix. Ya Nur, Leur visage est tant assombris, Alors que ta lumière aurait largement sufis.
Mais moi,
Je t’aime, Ya Rasululah, Je t’aime, Ya Rasululah, Je t’aime, Ya Rasululah,
Et je ne désire qu’une chose, « Que mon cœur t’aime Ya Rasululah »