Si je comprends bien le ministère de l'intérieur ne conteste pas l'intervention des associations sur le fond mais sur la forme , Ce qui relativise les velléités antidémocratiques du ministère de la justice . Donc une association conforme à la législation en vigueur aurait bien la prérogative d'ester en justice contre un dépositaire de l'autorité publique coupable de malversations ou d'abus de fonds publics .