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J'ai fait 7 fausses couches
m
3 janvier 2013 17:18
Ma soeur sucre et cannelle ,je croit que tu te meprend,personne ne parle de chaine de roqia ou de charlatans mais de lecture du Coran qui,biensur doit etre lu pour consolider sa foi mais cest aussi une GUERISON,et ceci est marquer dans le CORAN.
De tout temps,les musulmans et parmis eux les grands Savants de l'islam ont eu recours a la Roqiya,le Prophete lui-meme avait l’habitude de souffler sur son propre corps, pendant la maladie précédant sa mort, en récitant la sourate Al-'Ikhlâs et les deux sourates protectrices ( Al-Falaq et An-Nâs)
Il est bien entendu qu'il faut ecarter tout probleme d'ordre medical et faire les examins necessaire en ce sens mais le mal occulte existe bel et bien et aucun musulman ne peut le mettre en doute,de plus,ce n'est pas une seance de lecture de Coran qui peut nous faire du mal bien au contraire,elle nous rapproche du TRES HAUT.

Pour la Soeur qui demandait si cette roquia peux être faite pour une femme qui souhaite une grossesse,il me semble que le Cheikh parle de cela en debut de video donc je pense que cette roqiya peut etre fait en cas de grossesse qui tarde a venir,wAllahou a'lem
f
3 janvier 2013 20:43
salam, merci sucre et cannelle effectivement le médecin avait un doute donc il m'a donné kardégic 160 et acide folique mais j'ai fais un bilan sanguin de coagulation sanguine et de ce côté tout va bien, donc il m'a retiré kardégic et m'a laissé l'acide folique d'ou je te dis j'ai fais toutes les prises de sang nécessaires les échographies et hystérosapingraphie pareil rien de ce côté donc un grand ? j'attends un miracle un exploit j'aimerai qu'on me dise cela va te réussir ?
m
4 janvier 2013 06:14
fatihaoujdia,tu as peut etre un deficit en progesterone,essaye de voir si tu ne peut pas dans ce cas la prendre un medicament style utrogestan ou duphaston a prendre en phase lutéale du cycle(vers j 16)
s
4 janvier 2013 12:36
Citation
fatihaoujdia a écrit:
salam, merci sucre et cannelle effectivement le médecin avait un doute donc il m'a donné kardégic 160 et acide folique mais j'ai fais un bilan sanguin de coagulation sanguine et de ce côté tout va bien, donc il m'a retiré kardégic et m'a laissé l'acide folique d'ou je te dis j'ai fais toutes les prises de sang nécessaires les échographies et hystérosapingraphie pareil rien de ce côté donc un grand ? j'attends un miracle un exploit j'aimerai qu'on me dise cela va te réussir ?
Oui kardegic a le même effet .. Moi pareil , bilan sanguin nickel . Donc aucun problème de coagulation . J'avais ouvert un post a ce sujet il y'a 1an quand j'ai commencé le traitement d'aspegic nourrisson en début de grossesse . Plusieurs filles m'avaient répondues avoir suivi le traitement et ont mené la grossesse à terme . Tu ne m'a pas répondu . Tes fc arrivent à quelle période? Tu sais même si les analyses ne révèlent rien cela ne veut pas dire que rien ne cloche . Car surtout en début de grossesse, le mécanisme est si petit qu'on peut passer à côté du problème . Un rien fera que la grossesse n'évoluera pas normalement et le corps expulse ce qui ne sera pas viable . En tout cas il faut se dire que c'est ainsi que ton destin a été écrit par le tout puissant .et inchaallah que ces épreuves renforcent ta foi , expient tes péchés et remplissent la balance de tes hassanates . Sinon as tu pensé à changer de médecin ?
r
4 janvier 2013 23:52
Salam alaikom mes soeurs,

Voici un article qui parle des fausses couches à répétition, j'espère que c'est utile à titre informatif.

Fausses couches à répétition


Au moins 15% de toutes les grossesses se terminent par une fausse couche. Il y a plusieurs années, une étude a montré que le tiers des grossesses, en réalité, aboutissent à une fausse couche. Celles-ci se produit habituellement très tôt dans la grossesse, au moment ou un grand nombre de femmes ignorent encore qu’elles sont enceintes. Mais peu importe à quelle étape survient la fausses couche, des tests de laboratoire appropriés sont nécessaires pour confirmer la grossesse, car le retard des règles ne suffit pas à prouver qu’une fausse couche a eu lieu. La grossesse doit être confirmée par un test sanguin, de sorte qu’en cas de fausse couche on puisse avoir les données exactes et entreprendre les examens appropriés. Les pertes plus tardives sont traitées différemment, puisque le diagnostic de grossesse ne fait aucun doute et que la cause d’un arrêt tardif est généralement très différente de celle d’une fausse couche en début de grossesse.

Dans cet article, je parlerai du problème de la perte ou fausse couche à répétition en début de grossesse, je passerai en revue les causes possibles de ces pertes et je résumerai les examens et approches utilisés pour traiter ce problème. Avant d’aller plus loin, je souligne qu’une femme sujette aux fausses couches à répétition doit comprendre que chaque patiente est différente. Il serait inapproprié de tirer des conclusions sur son cas personnel à la lecture de cet article. Je recommande fortement de consulter un médecin.

Fausse couche en début de grossesse
Après la fécondation, l’implantation de l’embryon dans la paroi de l’utérus signale le début de la grossesse. Le cœur du fœtus est visible sur l’échographie au bout de quatre à six semaines. Le placenta se développe au cours du premier trimestre, et il est entièrement fonctionnel à la fin de cette période. La plupart des avortements spontanés se produisent au cours du premier trimestre, attribuables à un problème à l’une ou l’autre des étapes du développement du fœtus.

Grossesse chimique. Il s’agit de la forme la plus précoce de perte de grossesse. Bien que la fécondation ait pu avoir lieu, la grossesse ne se prolonge pas, probablement par suite d’une anomalie de l’ovule fertilisé. En l’absence d’un test de grossesse, la femme peut ignorer qu’elle était enceinte.

Perte de l’embryon. Après la fécondation et la maturation de l’ovule, l’implantation est nécessaire. L’embryon, ou blastocyste, doit se tailler une place, littéralement, dans la paroi utérine. Pour que la grossesse se poursuive, le blastocyste doit être génétiquement normal et le site d’implantation doit disposer un apport sanguin adéquat. Des anomalies génétiques peuvent surgir à tout moment pendant la croissance de l’embryon, jusqu’à l’étape du blastocyste et au-delà. Des accidents lors de la division des cellules peuvent entraîner des anomalies génétiques incompatibles avec la survie. Dans ces circonstances, la grossesse prend fin. La perte d’un embryon est la forme la plus courante d’avortement spontané. La fréquence de ces pertes augmente avec l’âge de la mère, à cause de la détérioration du matériau génétique de l’ovule. C’est pourquoi plus une femme est âgée, plus le risque de fausse couche précoce est élevé. Évidemment, les pertes d’origine génétique peuvent être attribuables à une anomalie génétique chez l’homme aussi bien que chez la femme. Certaines de ces anomalies sont incompatibles avec la survie et mènent à une fausse couche. Plusieurs seront associées à un trouble génétique chez le bébé, alors que d’autres sont inoffensives.

Un apport sanguin suffisant au site d’implantation dans la paroi de l’utérus est d’une importance cruciale. L’implantation peut survenir n’importe où dans l’utérus, y compris, malheureusement, à des endroits où l’apport sanguin est limité. Cela peut se produire dans le cas d’une anomalie anatomique tel qu’un septum. Un septum est un morceau de tissu utérin faiblement vascularisé qui pend du sommet de la cavité utérine. Il ressemble à un morceau de tissu cicatriciel présent chez la femme depuis la naissance. Si l’embryon s’implante dans un septum, il continuera à se développer jusqu’à ce que l’apport sanguin au tissu septal devienne insuffisant. À ce stade, la grossesse se terminera par un avortement spontané.

Les causes hormonales. L’implantation exige un environnement hormonal approprié. Des quantités adéquates de progestérone doivent être sécrétées après l’ovulation dans la phase lutéale du cycle menstruel. Une sécrétion insuffisante de progestérone peut entraîner l’arrêt de la grossesse.

Recherche des causes des fausses couches précoces
À partir des données mentionnées plus haut, il est possible de mettre au point une stratégie visant à déceler les causes de fausses couches précoces à répétition. Toutefois, la première question à se poser est : à quel moment devrait-on entreprendre des examens ? La question de savoir si l’on doit entreprendre des investigations après deux ou trois fausses couches précoces est encore controversée. Bien que de nombreux obstétriciens ne recommandent pas d’examens avant trois fausses couches en début de grossesse, l’American College of Obstetricians and Gynecologists recommande désormais d’évaluer les femmes qui ont subi deux fausses couches (ou plus) précoces consécutives. L’origine de la controverse est la probabilité élevée de grossesse à terme, sans intervention, après deux avortements spontanés. Nombreux sont les médecins, cependant, qui croient qu’une intervention est justifiée après deux arrêts de grossesse, et que des examens devraient être prescrits.

En 1987, notre groupe a mis au point le programme TERM (traitement et évaluation des fausses couches récurrentes). Notre position, pour ce qui est de cette controverse, est que des examens sont justifiés après deux fausses couches précoces consécutives.

L’évaluation d’une femme ayant connu des pertes de grossesse récurrentes devrait, dans un premier temps, suivre un parcours conventionnel et réserver les études expérimentales aux situations où aucune cause ne peut être identifiée. La première série d’examens se penchera sur les causes énumérées ci-haut -- anatomiques, génétiques et hormonales -- qui doivent d’abord être éliminées.

Évaluation anatomique. Une échographie ou une radiographie permet de déceler des anomalies anatomiques dans la cavité utérine, par exemple un septum, une forme anormale, un polype ou un fibrome sous-muqueux qui altère la forme de l’utérus. En outre, ces examens peuvent aussi aider à détecter un utérus bicorne, nom donné à un utérus essentiellement divisé en deux segments distincts. Cette dernière malformation est associée plus fréquemment aux fausses couches tardives. De nouvelles techniques telles que l’échographie en 3D sont de plus en plus utiles pour dépister les anomalies anatomiques. Une fois l’anomalie identifiée, on doit déterminer si une correction chirurgicale est possible.

Tests génétiques. Une anomalie génétique peut survenir chez l’embryon lors de la divison cellulaire. Le moyen le plus facile de déterminer cette cause fréquente de fausse couche précoce est de tester le tissu prélevé sur le fœtus. Malheureusement, cela est souvent impossible, puisque le tissu doit contenir des cellules vivantes. Du tissu frais doit être recueilli dans un contenant stérile et apporté au laboratoire immédiatement. Le moment du prélèvement et l’obligation d’éviter toute contamination compliquent beaucoup cette étape de l’investigation, c’est pourquoi il est souvent impossible d’établir que la fausse couche est attribuable à un trouble génétique. Néanmoins, lorsque la chose est possible, il est très utile d’essayer de recueillir du tissu en vue d’un diagnostic génétique éventuel.

Une anomalie génétique peut également se produire si l’un des parents, ou les deux, présente une anomalie chromosomique. Celle-ci est détectée grâce à une analyse menée sur les deux partenaires. Ce test sanguin peut déceler des anomalies susceptibles de provoquer un avortement spontané. Toute personne chez qui on trouve un défaut chromosomique devrait recevoir un counselling génétique.

Investigations hormonales. La fréquence et la portée des causes hormonales des fausses couches à répétition est un sujet très controversé. Si les cycles menstruels d’une femme sont réguliers, on peut entreprendre des examens pour évaluer ses réponses hormonales. À un moment précis du cycle, une biopsie endométriale de la paroi interne de l’utérus est l’examen standard. Les cellules de l’endomètre affichent des modèles de croissance spécifiques à diverses étapes du cycle menstruel. La biopsie détermine si la phase lutéale du cycle s’établit correctement sous l’influence de la progestérone. Sinon, on fait l’hypothèse que l’implantation sera compromise et que la grossesse sera perdue. Le problème de cette approche est que, souvent, les pathologistes ne s’entendent pas sur la gradation du tissu biopsié. Par conséquent, la fiabilité du diagnostic est fréquemment remise en question. De plus, nombreux sont ceux qui doutent de l’importance d’une déficience dans la phase lutéale et qui estiment que ce facteur n’est pas associé à la fausse couche.

Investigations expérimentales
Environ 60% des fausses couches précoces demeurent inexpliquées parce que les résultats des examens cités plus haut sont normaux. Dans ces conditions, il peut être indiqué de chercher la présence d’anomalies autoimmunes ou de problèmes de coagulation. Au cours des dernières années, la recherche a établi que les anomalies du système de coagulation sont associées aux fausses couches à répétition. Ces anomalies peuvent être causées par des autoanticorps ou par des troubles héréditaires du système de coagulation.

Anticorps antiphospholipides. Il s’agit de protéines produites par le système immunitaire, qui sont dirigées contre certains tissus ou réactions biochimiques normaux. Ces anticorps peuvent être inoffensifs, mais ils peuvent aussi gêner le bon fonctionnement du système de coagulation et accroître les risques de développer des caillots dans les veines ou les artères. Chez certains individus, une coagulation excessive dans les vaisseaux sanguins survient seulement lorsque se posent des problèmes de circulation sanguine dans le placenta pendant la grossesse. Dans ces circonstances, la vascularisation du placenta sera interrompue par suite de la coagulation, ce qui diminue l’apport sanguin au fœtus. Il s’ensuit que le fœtus se développera de plus en plus lentement et sera plus petit que la normale (ceci a pour nom restriction de la croissance intra-utérine) ; dans les cas graves, ce problème pourra entraîner une fausse couche tardive. Il est également possible que le placenta soit sous-développé et présente de nombreux caillots ainsi que des zones de tissu nécrosé. Les anticorps antiphospholipides sont difficiles à mesurer et les tests ne sont pas toujours fiables. Une fois qu’ils sont détectés, le test doit être répété et confirmé au moins de huit à douze semaines plus tard.

Anticoagulant circulants. Ces anticorps perturbent directement le système de coagulation. On les mesure et on confirme leur présence par une batterie de tests. Les anticoagulants circulants peuvent en réalité être des anticorps antiphospholipides. Il est important de rechercher autant les anticorps antiphospholipides que les anticoagulants circulants lorsque l’on évalue les fausses couches à répétition, du fait qu’ils peuvent se présenter de manière indépendante.

Thrombophilies. Les thrombophilies constituent un groupe de troubles de la coagulation généralement héréditaires. Puisqu’il s’agit d’anomalies génétiques, on peut les mesurer de manière fiable, contrairement aux anticorps antiphospholipides dont les niveaux peuvent fluctuer dans le temps. En présence d’une thrombophilie, la femme peut être sujette à une coagulation anormale dans les veines des jambes ou dans une artère (ce qui provoque un accident vasculaire cérébral) avant de devenir enceinte. Il arrive aussi que le problème de coagulation ne se manifeste que durant la grossesse, provoquant une réduction de la fonction placentaire et, éventuellement, une fausse couche.

Les thrombophilies, les anticorps antiphospholipides et les anticoagulants circulants peuvent être associés à des fausses couches précoces aussi bien que tardives. Les premières études concluaient que les troubles de la coagulation étaient associés seulement aux fausses couches tardives. Cependant, les études plus récentes soutiennent que ces anomalies peuvent être à l’origine de fausses couches au début de la grossesse ou plus tard.

Traitements expérimentaux
Les publications sont nombreuses sur le traitement des fausses couches à répétition chez les femmes atteintes d’anticorps antiphospholipides ou de thrombophilie. On peut traiter ces grossesses avec de l’aspirine avec ou sans ajout d’héparine. Ce protocole est encore expérimental, bien qu’il soit de plus en plus courant.

Indications pour les tests de laboratoire touchant les anticorps antiphospholipides , les anticoagulants circulants et les thrombophilies
Les tests visant à détecter les troubles de la coagulation et les anticorps ne devraient être réalisés qu’après une évaluation conventionnelle. Il est beaucoup plus facile de faire une prise de sang et de mener un test pour détecter des anticorps ou un trouble de la coagulation que d’effectuer une biopsie endométriale. Cependant, les tests conventionnels qui dépistent les anomalies anatomiques, hormonales et génétiques ont subi l’épreuve du temps, contrairement aux tests de coagulation, qui sont relativement récents et demeurent expérimentaux. À l’heure actuelle, les nouveaux tests n’ont aucune valeur prédictive, de sorte qu’il n’y a pas de raison de mener des tests de coagulation pour prédire l’issue de la grossesse. Ces tests ne devraient être prescrits que devant un tableau de fausses couches à répétition.

Sommaire
Les fausses couches en début de grossesse continuent d’être un problème frustrant autant pour les patientes que pour les médecins, parce que la majorité des cas demeurent inexpliqués. Une investigation appropriée devrait commencer par des examens conventionnels dans le but d’éliminer les causes anatomiques, génétiques et hormonales. Si une cause est identifiée, un traitement visera à corriger le problème avant la planification d’une autre grossesse. Si aucune anomalie génétique, anatomique ou hormonale n’est mise au jour, on devrait entreprendre des examens expérimentaux visant à détecter des anticorps antiphospholipides, des anticoagulants circulants et des thrombophilies. Si une ou plusieurs anomalies du système de coagulation ou du système immunitaire sont révélées, la femme pourra être traitée au cours de la grossesse suivante à l’aide d’un protocole expérimental faisant appel à l’aspirine, avec ou sans héparine. Autant le médecin que la patiente doivent aborder le problème des fausses couches à répétition avec méthode, en faisant preuve de patience pendant que les examens sont en cours. La situation peut être frustrante, mais une stratégie d’examens désorganisée ou irrégulière ne fera qu’ajouter à la frustration et conduira souvent à des traitements inappropriés et inefficaces.

À propos de l’auteur
Carl Laskin, MD, FRCSC, est un expert en immunologie reproductive et dans les maladies autoimmunes au cours de la grossesse. Il dirige le plus important programme canadien consacré à l’étude et au traitement des fausses couches à répétition « inexpliquées », le programme TERM, à la LifeQuest Reproductive Biology Unit, à Toronto.


Source: lien ici
f
5 janvier 2013 12:44
salam, merci effectivement il y a différentes étapes à suivre, moi par exemple j'ai fais une grossesse extra utérine qui se développait bien mais on a du l'interrompre car grand risque pour moi, j'ai fais une grossesse gémélaires 1er bébé parti à 3 mois et 2ème grossesse interrompu suite au liquide amiotique on m'a dit que le bébé aurait des séquelles toutes mes fausses couches je l'ai es perdu à 2 à 3 mois donc que cela pourrait être j'ai fais toutes les prises de sang nécessaires aucune anomalie, ainsi que caryotypes nous 2 lui spermogramme aucune anomalie, d'après le médecin le seul examen qu'il me reste à faire c'est une exploration endométriale pour avoir le coeur net c'est la seule chose que je n'ai pas fais car il coute 300 euros non remboursé à la clinique à paris ou il m'envoie lui même idem et j'ai confiance en lui c'est un grand professeur donc franchement je désespère
r
5 janvier 2013 22:01
Salam,

Une autre piste à voir aussi, ça serait l'intolérance au GLUTEN qu'on appelle aussi maladie coeliaque assez sous estimée mais qui est la cause de bien nombreux maux y compris les fausses couches!!!
s
7 janvier 2013 10:26
Citation
fatihaoujdia a écrit:
salam, merci effectivement il y a différentes étapes à suivre, moi par exemple j'ai fais une grossesse extra utérine qui se développait bien mais on a du l'interrompre car grand risque pour moi, j'ai fais une grossesse gémélaires 1er bébé parti à 3 mois et 2ème grossesse interrompu suite au liquide amiotique on m'a dit que le bébé aurait des séquelles toutes mes fausses couches je l'ai es perdu à 2 à 3 mois donc que cela pourrait être j'ai fais toutes les prises de sang nécessaires aucune anomalie, ainsi que caryotypes nous 2 lui spermogramme aucune anomalie, d'après le médecin le seul examen qu'il me reste à faire c'est une exploration endométriale pour avoir le coeur net c'est la seule chose que je n'ai pas fais car il coute 300 euros non remboursé à la clinique à paris ou il m'envoie lui même idem et j'ai confiance en lui c'est un grand professeur donc franchement je désespère

Comme je te comprend , mais sois forte car le désespoir est cause de stresse et le stress est l'une des causes des fc . Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire mais je te demande de lâcher l'affaire un peu , fixés toi un objectif auquel tu tiens autre que les enfants pendant une certaine durée . Il faut que ça soit prenant en temps et en esprit ... Parfois il faut savoir se détacher un peu . Ton problème n'est pas l'infertilité , puisque tu tombes enceinte . Donc il faut essayer de changer de méthode : laisser les choses se faire
naturellement en pensant à autre chose . Améliorer son hygiène de vie est aussi un + . Nourriture saine ( pas de produits industriels bourrés de composants chimiques qui perturbent le bon fonctionnement des hormones . Un corps sain en faisant du sp.ort régulièrement ce qui améliore le fonction de la machine biologique et aussi le moral . Vivre sa vie tout simplement en savourant chaque moment passé avec notre moitié sans la pression du bb qui tarde à venir ... Inchaallah que cela sera bénéfique et que tu viendras nous annoncer une grossesse à terme .
f
7 janvier 2013 11:03
salam, merci inchallah pour moi et pour les autres qui ont le même problème inchallah si dieu le veut
n
18 janvier 2013 11:20
Bonjour à toutes

je suis enceinte de 2mois et et je désire savoir comment ça se passe au niveau du remboursement du congé de maternité par la CNSS est ce qu'on reçoit le virement mois par mois ou bien la moitié et le reste à la reprise du travail j'ai entendu dire qu'il faut reprendre le boulot pour recevoir le reste d'argent????????

merci d'avance
s
19 janvier 2013 00:05
Salem Fatihaoujdia,moi j'ai fait trois fausses couches la première à 17 sa"la plus difficile car le foetus était grand donc curetage,deuxième précoce à 9 sa,la troisième à 11 sa,on a tout fait moi et mon mari comme examens mais rien d’inquiétant,maintenant je n'arrive pas à tomber enceinte wallah j'en ai marre,toute maladie a son remède sauf la fausse couche pour l'instant je trouve pas de solutions,mais el hamdoulilah j'ai le soutien de mon mari ,des fois je dis vivre en couple c'est déjà un bonheur.
Rabi yfaraj 3lia w 3lik w 3la jmi3 el moumnines.
f
19 janvier 2013 15:35
barak allah oufik amine rabih yfaraj alina ou ala jamigh el mouslimine inchallah, tu me réconforte as tu déjà des enfants ou pas du tout
S
19 janvier 2013 20:47
salam,non pas encore et toi?
f
19 janvier 2013 23:17
comment cela non pas encore toi je comprends pas du tout expliques moi
S
20 janvier 2013 00:23
je voulais dire moi j'ai pas réussi encore à avoir des enfants.
L
7 février 2013 12:41
Salam,

Fais une hijjama au niveau des ovaires, j'en ai fais pendant plusieurs mois car on m'a fait un nouage aux ovaires pour pas enfanter, et cumule des fausses couches.

Allah isehel !
f
7 février 2013 14:49
salam, comment fait on cela merci une hijjama
L
7 février 2013 14:55
Salam

La hijjama relève de la médecine prophétique,

On te pose des ventouses sur la partie ovarienne plusieurs minutes avec lecture coranique par dessus, et on t’incise avec une lame de rasoir, ça ne fait pas du tout mal bien au contraire tu ressens un réel bienfait à la fin de la séance. Cela permets de faire sortir le sang impur et les djinns aussi si ils sont responsable de tes fausses couches.
Il faut le faire auprès de soeurs qui ont des connaissances médicales de préférences comme des infirmières car il faut respecter les conditions d’hygiène.
L
7 février 2013 15:01
Pour celles qui sont en région parisienne, je connais 3 soeurs qui font hijjama mashaAllah. Je peux vous donner les contacts en MP par contre n'oubliez pas c'est Allah qui guérit et ce n'est qu'un sebeb, toujours mettre cette intention que c'est Allah qui guérit.
De plus la hijjama pourra vous confirmer si vous êtes victimes de sihr ou non pour ne pas enfanter.
f
9 février 2013 23:36
salam, peut on avoir les coordonnées de soeurs pour la hijjama choukrane
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