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immigration une affaire de chiffre
f
21 juin 2006 13:49
Modification de la loi CESEDA:
La précarisation généralisée
comme méthode de gestion
A peine deux ans après la dernière réforme d'ampleur de la législation sur l'immigration, un nouveau projet de loi est dévoilé en ce début d'année. La réforme de 2003 avait déjà fortement durci la législation, rendant la vie impossible pour des milliers d'étrangers et leur famille, remplissant les centres de rétention par son aveugle politique du chiffre.
A lire le nouveau projet de loi sur l’immigration de Nicolas Sarkozy, les étrangers doivent être des gens bien sous tout rapport faute de quoi ils resteront sans papiers. Pour obtenir et conserver leur titre de séjour ils doivent être bien intégrés, bien vus par le maire de leur commune, en bonne entente avec leur conjoint, appréciés par leur patron, disposant d’un bon salaire et d’un grand logement. Un licenciement, une dispute avec le conjoint, des difficultés pour apprendre le français ? Ceci signifie la fin du droit au séjour en France.
Un étranger est renvoyé dans son pays, un autre plus docile prendra sa place pour satisfaire les besoins de l'économie. Que cela contrevienne aux engagements de la France relatifs au respect du droit à la vie familiale des personnes n’est pas un problème. Au contraire c’est même l’objectif affiché : mettre un frein à l’immigration familiale, quels que soient les moyens utilisés.

Des travailleurs jetables
Ce projet évacue l'être humain pour ne voir que de la main d’œuvre et organise l'immigration jetable, sans autre droit que de se taire et de travailler. Il étend très largement le cadre de délivrance des titres de séjour pour les travailleurs. Cette disposition, qui répond à la volonté exprimée depuis plusieurs mois d'une "immigration choisie", constitue en fait un retour de 30 années en arrière. Le séjour légal des étrangers devient totalement dépendant du contrat de travail. Licencié par son patron, l'étranger sera expulsé. Une nouvelle double peine ?
Cette libéralisation du séjour des travailleurs laisse les coudées franches aux employeurs pour sélectionner et exploiter les étrangers "utiles", et pour accélérer les mises en concurrence des hommes, par exemple au sein d'une même entreprise multinationale. Faute de cadre juridique garantissant le maintien des droits sociaux pour les étrangers menacés de licenciement ou victimes d'exploitation et de harcèlement, elle ouvre la voie à l'immigration "kleenex".
Sauf exceptions, la carte de séjour temporaire ne sera délivrée que sur présentation d'un visa de long séjour : l’étranger ne sera donc plus uniquement soumis à la décision du préfet, mais aussi à celle du consulat de France.
Pour les "utiles" ou les "talentueux", ce projet légalise les faveurs. Nouveau gadget de la législation, la carte de séjour "compétences et talents" officialise la vision générale de l'immigration pour ce gouvernement. C'est le "mérite", les "talents" choisis et sélectionnés par l'administration qui donnent droit à séjourner en France, et non plus le fait que sa famille et ses attaches se soient construites dans ce pays. En légalisant le droit pour l'administration de choisir qui elle veut, en fonction de critères volontairement flous, le projet officialise comme règle générale le fait du prince et les faveurs.

Rendre impossible la vie en famille des étrangers et des français conjoints d'étrangers.
Le projet de loi établit à 18 mois, au lieu de 12 actuellement, le délai permettant à un étranger de solliciter un regroupement familial en faveur de son conjoint et ses enfants mineurs et continuerait d’exiger qu’il justifie de son intégration dans la société française et de sa connaissance suffisante de la langue française. De plus le conjoint et les enfants mineurs entrés en France par regroupement familial devront attendre trois ans pour pouvoir solliciter une carte de résident, délivrée au bon vouloir du préfet. Enfin, la personne entrée en France par regroupement familial serait dans une situation de totale dépendance vis-à-vis de son conjoint puisque si le couple se sépare, même plusieurs années après le mariage, le titre de séjour serait retiré. Ces dispositions peuvent emporter des conséquences plus préjudiciables pour les femmes dans la mesure où environ 80 % des conjoints rejoignants sont les épouses. Ces dernières, afin de mener une vie familiale, continueront certainement à venir sur le territoire français, mais hors regroupement familial. Elles seront donc plus nombreuses à être en situation irrégulière et sans aucune perspective de pouvoir obtenir un titre de séjour.
Pour les conjoints de Français, la lutte contre les mariages blancs devient un prétexte pour restreindre les droits : pour obtenir des papiers les étrangers mariés avec des français devront obligatoirement retourner dans leur pays d’origine pour y attendre la délivrance hypothétique d’un visa de long séjour. Parmi tous ceux qui partiront, certains n’arriveront pas à l’obtenir et resteront bloqués dans leur pays : un bon moyen de réduire l’immigration familiale !
Ceux qui arriveront à obtenir des papiers devront faire preuve d’une stabilité dans le couple exemplaire : le titre de séjour sera retiré si les époux se séparent pendant les quatre années qui suivent le mariage. Cette condition fait réfléchir lorsque l’on sait que les deux tiers des couples français se séparent au bout de trois ans de vie commune ! La fin de la délivrance de plein droit d'une carte de résident aux conjoints de français va faire basculer des étrangers dans l'irrégularité et l'attente de l'octroi discrétionnaire d'un titre de longue durée. De plus le délai de mariage permettant de solliciter une carte de résident passe de deux à trois ans. Par ailleurs, la durée de communauté de vie permettant aux conjoints de Français de demander l’acquisition de la nationalité française passerait de deux à quatre ans si le couple réside en France et de trois à cinq ans si le couple réside à l’étranger.
Les modifications annoncées devraient dans les faits toucher davantage les femmes, en ce qu’elles renforcent les situations de dépendance conjugale. Or, on constate que les femmes peuvent se trouver davantage enfermées dans des situations conjugales oppressives. En outre, les situations de dépendance (dépendance administrative, économique,…) sont propices aux violences. Il est donc à craindre que la précarisation du séjour des conjointes de français favorise encore plus les situations de violence.
Après la lutte contre le mariage de complaisance, le gouvernement traque les reconnaissances en paternité de complaisance. Les reconnaissances d’enfant, comme pour les mariages, donnera lieu à une saisine du procureur de la République qui pourra s’opposer à l’enregistrement de la reconnaissance ou faire procéder à une enquête de police. La reconnaissance d’un enfant qui était jusqu’à présent l’affaire du couple, deviendra celle de la justice. Fera t'elle procéder pour toute reconnaissance à des tests d'ADN ou des enquêtes dans les lits conjugaux pour prouver la filiation d'un enfant ?
Les parents d’enfants français devront attendre trois ans de séjour régulier au lieu de deux actuellement pour pouvoir solliciter une carte de résident, que la préfecture n’est de toute façon pas obligée d’accorder.
f
21 juin 2006 13:53
Modification de la loi CESEDA (suite)
Pas d’intégration, pas de papiers
Pour ceux qui justifient de liens personnels et familiaux en France la carte de séjour temporaire «vie privée et familiale» constituait une voie légale rendant compatible la loi française avec les obligations issues de l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme. Avec ce projet de loi, les conditions pour bénéficier d’un titre de séjour deviennent inaccessibles. En effet, on exige d'eux qu’ils justifient de ressources stables et suffisantes, d’un logement répondant à des critères stricts et d’une intégration déterminée par la connaissance de la langue française et «l’adhésion aux principes qui régissent la République française et leur respect dans son comportement quotidien».
L'abrogation de la possibilité de délivrer un titre de séjour pour les étrangers prouvant leur présence en France depuis au moins dix années signifie la disparition d'une mesure née en 1997, à la suite de la grève de la faim à l'église St Bernard à Paris. A l'époque votée par une majorité de droite au parlement, cette mesure marquait la reconnaissance des attaches personnelles nouées par un étranger ayant vécu et travaillé de longues années en France. La disparition de cette disposition va enfoncer dans la précarité perpétuelle des étrangers ayant vocation à vivre en France. Elle ne conduira qu'à des actes désespérés.

Carte de résident : au bon vouloir du préfet
La carte de résident est la carte de séjour la plus stable qui soit. Et c’est justement parce qu’elle confère une stabilité que Nicolas Sarkozy continue l’entreprise de démolition qu’il a entamé dans sa précédente loi sur l’immigration. Ainsi les personnes entrées par regroupement familial, les parents d’enfants français et les conjoints de Français devront attendre trois ans au lieu de deux pour pouvoir la solliciter. Plus grave encore, les cartes de résident seront presque toutes délivrées selon le bon vouloir de l’administration. Elles seront donc l’exception tandis que la règle sera la carte de séjour temporaire, c’est-à-dire la précarité administrative, statut beaucoup plus pratique pour se débarrasser des gens dont on ne veut plus. Les privilégiés qui arriveront à l’obtenir ne seront pas pour autant à l’abri puisqu’il est prévu de pouvoir la retirer à son bénéficiaire en cas de rupture de la vie commune avec son conjoint, ce qui jusqu’à présent n’était possible que pour des motifs tenant au trouble à l’ordre public.

Réforme du statut des centres d'accueil des demandeurs d'asile
Pour la première fois, est crée dans la loi, un centre d’hébergement spécifique pour des personnes de nationalité étrangère. Qui plus est, la loi légalise la pratique de n’accueillir que les personnes admises au séjour au titre de l’asile et ayant une demande d’asile en cours d’examen. Cependant il est prévu une prorogation de trois mois en cas d’accord et d’un mois en cas de refus. La mission d’insertion des CHRS est supprimée et seuls subsistent l’accueil, l’hébergement et le suivi social administratif. Cependant, subsiste la possibilité d’entrer dans un CHRS spécialisé (les Centres Provisoires d’Hébergement) en cas d’octroi du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire.
Le projet de loi prévoit un contrôle étroit du public accueilli (pas de réfugiés, pas de déboutés) et des sanctions lourdes contre les organismes gestionnaires récalcitrants. Le CADA est une nouvelle catégorie des centres médico-sociaux, soumis à habilitation. Cette habilitation est soumise à une convention qui précise notamment «les objectifs, les moyens, les activités et les modalités de contrôle d’un centre d’accueil pour demandeur d’asile». Le projet de loi prévoit une possibilité de retrait d’habilitation si les responsables des centres méconnaissent «des dispositions définissant les catégories de public pouvant être accueillies dans ces centres». Est ajoutée également la possibilité de mettre en demeure l’établissement ou le service de prendre les mesures nécessaires pour respecter la définition des catégories des publics accueillis dans un délai qui ne peut être inférieur à trois mois.

Ce projet de loi ne se contente pas d'organiser une immigration jetable, la désintégration des familles et la clandestinité perpétuelle. Il restreint massivement les possibilités de contester les décisions de l'administration devant les tribunaux (nous y reviendrons dans le prochain numéro). Avec ces modifications, les préfectures pourront sans véritable contrôle appliquer leur fameux pouvoir discrétionnaire, s'apparentant surtout à l'arbitraire et à la loterie.
d
21 juin 2006 15:58
H
21 juin 2006 16:31
Excellent rien à dire
Mais Etes-vous au courant que le gouvernement Marocain aussi essaye de réagir, en rédigant un loi spécial pour stoper les homosexuelles et ces experts de pédophilie comme Jack-Henry Soumère qui rentrent au Maroc avec VISA et tous et situation bien réglé

Vous devez savoir une chose importante que le Maroc à établi un loi encore sévere vis-à-vis de ces étrangers en leur garantissant un séjour de luxe et en leur accordant tous les moyens pour faire de Marrakech et d'agadir et d'autres villes du Maroc les paradis qu'ils ont pas réussi à le construire dans leur France.

Rien à dire Sarko invente des lois qui se pratique mot par mot celui qui osent dire non EXPULSION, et d'autres sont conscients que leur pays est devenu le capital du sex et ne réagissant même pas car tout simplement ....(c'est même pas la peine de le l'écrire car vous et moi est au courant de tout)

La hawla wa la kowata illa bi allah
C
21 juin 2006 21:27
Citation
fasiya77 a écrit:
Modification de la loi CESEDA (suite)
Pas d’intégration, pas de papiers
Pour ceux qui justifient de liens personnels et familiaux en France la carte de séjour temporaire «vie privée et familiale» constituait une voie légale rendant compatible la loi française avec les obligations issues de l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme. Avec ce projet de loi, les conditions pour bénéficier d’un titre de séjour deviennent inaccessibles. En effet, on exige d'eux qu’ils justifient de ressources stables et suffisantes, d’un logement répondant à des critères stricts et d’une intégration déterminée par la connaissance de la langue française et «l’adhésion aux principes qui régissent la République française et leur respect dans son comportement quotidien».
L'abrogation de la possibilité de délivrer un titre de séjour pour les étrangers prouvant leur présence en France depuis au moins dix années signifie la disparition d'une mesure née en 1997, à la suite de la grève de la faim à l'église St Bernard à Paris. A l'époque votée par une majorité de droite au parlement, cette mesure marquait la reconnaissance des attaches personnelles nouées par un étranger ayant vécu et travaillé de longues années en France. La disparition de cette disposition va enfoncer dans la précarité perpétuelle des étrangers ayant vocation à vivre en France. Elle ne conduira qu'à des actes désespérés.

Carte de résident : au bon vouloir du préfet
La carte de résident est la carte de séjour la plus stable qui soit. Et c’est justement parce qu’elle confère une stabilité que Nicolas Sarkozy continue l’entreprise de démolition qu’il a entamé dans sa précédente loi sur l’immigration. Ainsi les personnes entrées par regroupement familial, les parents d’enfants français et les conjoints de Français devront attendre trois ans au lieu de deux pour pouvoir la solliciter. Plus grave encore, les cartes de résident seront presque toutes délivrées selon le bon vouloir de l’administration. Elles seront donc l’exception tandis que la règle sera la carte de séjour temporaire, c’est-à-dire la précarité administrative, statut beaucoup plus pratique pour se débarrasser des gens dont on ne veut plus. Les privilégiés qui arriveront à l’obtenir ne seront pas pour autant à l’abri puisqu’il est prévu de pouvoir la retirer à son bénéficiaire en cas de rupture de la vie commune avec son conjoint, ce qui jusqu’à présent n’était possible que pour des motifs tenant au trouble à l’ordre public.

Réforme du statut des centres d'accueil des demandeurs d'asile
Pour la première fois, est crée dans la loi, un centre d’hébergement spécifique pour des personnes de nationalité étrangère. Qui plus est, la loi légalise la pratique de n’accueillir que les personnes admises au séjour au titre de l’asile et ayant une demande d’asile en cours d’examen. Cependant il est prévu une prorogation de trois mois en cas d’accord et d’un mois en cas de refus. La mission d’insertion des CHRS est supprimée et seuls subsistent l’accueil, l’hébergement et le suivi social administratif. Cependant, subsiste la possibilité d’entrer dans un CHRS spécialisé (les Centres Provisoires d’Hébergement) en cas d’octroi du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire.
Le projet de loi prévoit un contrôle étroit du public accueilli (pas de réfugiés, pas de déboutés) et des sanctions lourdes contre les organismes gestionnaires récalcitrants. Le CADA est une nouvelle catégorie des centres médico-sociaux, soumis à habilitation. Cette habilitation est soumise à une convention qui précise notamment «les objectifs, les moyens, les activités et les modalités de contrôle d’un centre d’accueil pour demandeur d’asile». Le projet de loi prévoit une possibilité de retrait d’habilitation si les responsables des centres méconnaissent «des dispositions définissant les catégories de public pouvant être accueillies dans ces centres». Est ajoutée également la possibilité de mettre en demeure l’établissement ou le service de prendre les mesures nécessaires pour respecter la définition des catégories des publics accueillis dans un délai qui ne peut être inférieur à trois mois.

Ce projet de loi ne se contente pas d'organiser une immigration jetable, la désintégration des familles et la clandestinité perpétuelle. Il restreint massivement les possibilités de contester les décisions de l'administration devant les tribunaux (nous y reviendrons dans le prochain numéro). Avec ces modifications, les préfectures pourront sans véritable contrôle appliquer leur fameux pouvoir discrétionnaire, s'apparentant surtout à l'arbitraire et à la loterie.




la loi apparemment c pas pour tt le monde car une personne à vu son mariage annulée car son conjoint a entamé cette procédure et il a malgré tt pu obtenir une carte salarié surtt que ct pas la premiére fois kil fraude!

il y en aura tjrs qui réussiront je ne m'inkiéte pas trop car ça dépend des préfectures, il y en a ki st bcp plus souple kune autres et tt le monds c ou elles se trouvent! il ye a ki st bcp plus malins ke sarko je peux te l'assurer!
t
21 juin 2006 21:29
Cette loi est une reponse aux mariages d'interets (voir posts sur ce forum), il faut simplement ecrire a Sarko tant qu'il est là quand cela se passe .. et crois moi sa carte salariee il se la fera sucree tout court.

A bon entendeur ..
y
21 juin 2006 21:49
oui immigration jetable : les membres du gouvernement oublient que eux aussi sont des enfants d'immigres et que si on ne leur avait pas donne leur chance avec 'l'ecole publique' ils n'en seraient pas ou ils en sont aujourd'hui !!

bref c'est une honte car comment justifier d'une situation stable si la carte de sejour qu'on a n'est pas une stabilite : pour la famille c'est franchement honteux d'etendre les années pour l'obtention d'une carte de resident ou de nationalite car deja c'est deja dur d'affronter pendant un certains nombres d'annees les administrations francaises pour avoir un statut stable mais la franchement c'est une honte de voir comment les etrangers sont traites

bref je suis en couple mixte et je vois dans notre couple que cela va ralentir nos projets et l'installation durable dans la vie !

verifier que les mariages ne sont pas blancs ni forces c'est un e chose mais la ils empechent les gens qui s'aiment de vraiment pouvoir s'installer dans la vie !

2007 : tous ceux qui ont la nationalite francaise il faut qu'on fasse changer ca : dis nationalite francaise par rapport au droit de vote bien sur
et ceux qui ne sont pas encore inscrit sur les listes il faut aller a votre mairie avant le 31 decemblre 2006 si je ne me trompe pas



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/06/06 21:51 par younval44.
C
22 juin 2006 02:04
Citation
tachelhit a écrit:
Cette loi est une reponse aux mariages d'interets (voir posts sur ce forum), il faut simplement ecrire a Sarko tant qu'il est là quand cela se passe .. et crois moi sa carte salariee il se la fera sucree tout court.

A bon entendeur ..

c trop tard il a déja eu sa carte salarié et il parait ke l'annulation de mariage concerne unikement l'annulation des papiers acquis grace au mariage c a dire la carte vie privée et familial. La carte salarié il la eu grace a son taf et son patron et comme il a eu ds une préfecture trés trés souple, cette derniére n'a mem pas tenu comptes de son passé.

Pour sarko, un courrier a été envoyé et a pas répondu juska ce jour, remark il doit etre content car c'est une arabe ki s'est fait avoir. elle a écrit a toutes les administrations possibles et personne a bougé ss pretexte que monsieur a des droits.

Franchement ceux qui panik pour les papiers ya rien a craindre car franchement si ce gars a réussit a les avoir ( et bien d'autres encore vu ts les témoingnages ke g entendu) YA PAS DE SOUCI.

SARKO NE FAIT RIEN, tu a beau te battre pour annulé ton mariage le gars s'en sort kan mem.

Il parait que c un délit en plus!! mon oeil!!!
C
23 juin 2006 00:26
 
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