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Histoires de trésors...Vrais ou faux?
ok
22 octobre 2007 12:32
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N7abb-bladi a écrit:
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ok a écrit:
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N7abb-bladi a écrit:
Merci Mr Ok,

Je sais que la région de Debdou, Taourirt, Guecif, Taza contient beaucoup de trésors pour les raisons suivantes:

1) La route enre le Maroc et l'Algérie vers Oran ou Fès. On connait que cette route est pleine d'Histoire car elle était prise par toutes les puissances pour soumettre le Maghreb

2) Les routes caravanières passèrent par ces lieux, vers le Rif ou vers Fès ou vers l'Algérie ou vers la Sahara

3) Les Dynasties Zénètes Ouattasside et Mérinides sont originaire de ces lieux et ils étaient à Guercif, Taza et Fès. Les Ouattasides dans tout le NOrd du MAroc.

4) Les juifs qui revinrent d'Andalousie se sont installés à Debdou en particulier (appellée la petite Civille et la fameuse chanson Tik Chbilla). Il y avait même un prince juif je pense

5) Bouhmara était aussi dans ce coin et donc surement il doit cacher des trucs intéressant

6) Banou El 3Afia qui ont pris le pouvoir après les Idrissides étaient de cette région,
etc....

Il ne faut pas donner les détails car il faut protéger le patrimoine national...grinning smiley



Les raisons que tu me donnes ne sont pas suffisantes!

Ce ne sont que des généralités qui me permettent tout au plus de deviner la présence de richesses dans le coin et je ne pense pas que Debdou soit la seule localité dans tout le Maroc à connaître ce genre de situation. La présence d'un trésor dans un lieu dépend aussi et surtout d'une histoire plus ciblé à des moments clefs qu'il faut rattacher à l'histoire de familles voir d'individus en particulier. Faire le lien entre une histoire événementielle et caricaturale à proprement parlé et des faits plus précis (la conjoncture) qu'il faut rattaché à tout un ensemble qu'il faut lié à des faits culturels (mentalités,croyance etc) plus ou moins structurels n'est pas si facile. C'est tout un travail d'investigation de trés longue haleine, des historiens et des anthropologue passe leur vie à étudié le sujet sans l'avoir tari. Cela fait quelques années que j'étudi l'histoire de Debdou et je peux en témoigner! Par exemple une tribu se réclamant de telle ou telle ascendance un siècle plus tôt fini par la rattacher à une autre qui lui conviens mieux. (NB: pr le debdoubis qui me lisent je n'accuse persn que ce soit bien claire). Mais cela prouve que même la perception du passé évolu avec le temps, de même que l'histoire de ces "trésor" qu'on pense pouvoir trouver partout! Je pense qu'il doit y en avoir mais pas tant qu'on le dit!

Ces histoires de trésors sont avant tout des traditions populaire qui fait parti de la culture de ces popualtions de même que ces croyances supersticieuses plus ou moins liées à la religion (je la reli à titre persnlle à celle des saints! Peut être même qu'au départ ces rumeurs ont été lancés par les personnes même qui ont cachés leur richesse pour éviter qu'on ne leur vole à la base!

D'abord, c'est toi qui avait dit qu'à Debdou, il y avait des trésors...et non pas moi. En se basant sur tes dires, j'ai donné en quelques points les axes de reflexion qui pourront expliquer l'existence de ses trésors...Je n'ai jamais dit que je mairise ce domaine aussi...Au contraire j'apprend tous les jours...

Peux-tu nous donner des raisons suffisantes de l'existence des trésors dont tu as parlé avant dans ta région de Debdou et sachant que tu nous a dit que tu sais que c'est à Fès qu'on cherche les plans de ces trésors...

Le livre que tu donnes du BNF relate l'Histoire et surtout celle de l'Algérie depuis l'invasion turque et donc ne donne aucune indication claire sur l'existence de trésors dans aucun pays du Maghreb..


C'est faux. Il n'est pas necessaire de trouver le terme trésor dans une source quelconque pour en déterminer la présence. Ne t'attends encore moins à ce que l'on y fasse allusion directement. il faut le déduire par une reconstitution logique du contexte et des événements corrélé par un travail de source plus approfondi. C'est pour cela que j'insiste depuis un moment sur le travail de l'historien! C'est un travail complexe! Bon j'avoue que pour le cas des trésors il peut aussi y avoir une part de chance et de connaissance du terrain. C'est pr cette raison que ce sont surtout les gens du coin qui arrivent à les retrouver!
24 octobre 2007 16:43
salut si nhabb-bladi

on se demande sur l'absence de si Nhabb-bladi,
esperons que tu soit bien est en parfaite santé et nous voudrons que tu reviens parmi nous ..
rabbi yhafdak si Nhabb-bladi
N
29 octobre 2007 00:02
Citation
belmahjoub a écrit:
salut si nhabb-bladi

on se demande sur l'absence de si Nhabb-bladi,
esperons que tu soit bien est en parfaite santé et nous voudrons que tu reviens parmi nous ..
rabbi yhafdak si Nhabb-bladi

Merci Si Belmahjoub....c'est dur de quitter de lieu de discussion et de débat....Notre drogue est la lecture/écriture....

j'ai été dans l'obligation de faire un voyage pour célebrer une fête avec la famille...mais je suis revenu et donc on reprend nos discussions....
l
29 octobre 2007 00:43
un ami m'a raconte que dns la prison d'agadir il a rencontre deux fkih qui ont trouve et pris un tresor dans la region d'agadir.
le problem c que la gendarmerie a decouvert ca.et a pris un des trois fkih qui ont particie a l affaire .
en cherchant la gendarmerie a pu mettre la main sur un des fkih qui n'a pas tarder a balancer ses complices.
ce fkih la est mort en plein jeep des des gendarme "etrangler" mais par bdes mains inisible.
pour definir les lieux et emplacements des tresors les fkih utilise les jinns "a3oud bilah mina chaytane rajim" en leur mettant la pression apres la suite vous la connaissez.


un autre ami m'a raconter que lors de lors achat d'une ferme l'ex propritaire leur a dis qu'il y avai un tresor cache et qu'il fallais faire attention,au debut il ne le croye pas mais un jour un jeune employe est tombe raid et a eu une crise qui ressemble a ce que vous avez decrit au paravant "avec crispation et "lkackoucha" qui sorte de sa bouche.
d
29 octobre 2007 08:01
qund j'éais au maroc j'ai entendu beaucoup de ces histoire et il y avait un truc qui revenait souvent c'est que pour ouvrir "lkhazna" il fallait un enfant qui a un trait complet dans la paume de la main et que lkhazna s'ouvre (en egorgeant/rn faisant seigner la main de cette enfant sur le lieu) mais je ne sais pas eactement laquelle des deu mais celà fait 3 ans j'avais entendu l'histoire de certains souassa qui avaient de capturer un enfant ayant cette caractéristique et que c'est parents avaient suignalé ça à la police, je ne sais pa commet ça s'est teminé mais j'avais entendu qu'ils avaientdit au parents quoi que vous fassiez en finira par le retrouver.je demanerai pus de détails sur ses rituels à ma mère
N
31 octobre 2007 20:56
Voici une autre histoire de trésor où la gendarmerie a pu récupérer 468 pièces de monnaies anciennes de 10 sciècles. C'est un trésor archéologique, mais les chercheurs ne connaissent pas le leu où a été trouvé ces pièces pour effectuer d'autres fouilles. Voici le site:

[www.maghrebarts.ma] ou bien vous pouvez lire le même article ici:


Mystérieuse Découverte d'une Monnaie du XX Siècle

Les autorités judiciaires d'Asilah mènent, depuis près d'un mois, une enquête pour élucider les circonstances de la découverte d'un lot de pièces de monnaie vielles de près de 10 siècles, dans un douar près de Sidi-Yamani.

Les 468 pièces de monnaies, remises aux soins du musée Al-Kasbah de Tanger, représentent une grande valeur archéologique et historique. De par la date frappée en chiffres hindou (480 de l'hégire), les anciennes pièces de monnaies remontraient à l'époque du règne de la dynastie des Almoravides.

Faites d'un alliage métallique jaunâtre, probablement du cuivre ou du bronze, les pièces sont dans un excellent état de conservation. D'une circonférence de 2,1 cm et d'un poids moyen de 10,10 gr, les pièces sont frappées par l'invocation religieuse: ''Il n y'a de Dieu qu'Allah'' sur la face et de ''Mohammed est le messager d'Allah'' au verso. Même si ces inscriptions ne laissent aucun doute sur l'origine musulmane de l'ancienne monnaie, aucun autre indice n'indique, par contre, le pays où le règne qui a mis cette monnaie en circulation.

Tout en soulignant la valeur archéologique inestimable des pièces découvertes, un responsable en charge du service du patrimoine à la délégation de la culture de Tanger, a expliqué que seules des analyses approfondies par des spécialistes de la numismatique sont capable d'éclairer avec précision l'origine exacte de la monnaie.

Cependant, le mystère demeure complet sur les circonstances de cette importante découverte archéologique. Selon les éléments de l'enquête, les autorités locales ont été informées, il y'a quelques semaines, sur la circulation de pièces de monnaies anciennes entre des jeunes du douar dit ''Labrana'' (caïdat Sidi Yamani). La gendarmerie est arrivée à identifier le pourvoyeur des jeunes du douar en pièces curieuses. N'ayant aucune idée sur la valeur de ces pièces, B. Miloud (22 ans) avoue sans détour qu'il détient un lot important de pièces semblables qu'il grade cachées dans un champs dont il assure la garde.

Il a expliqué qu'il a trouvé les pièces de monnaie sur le chantier de travaux de terrassement pour la construction de hangars destinés à l'élevage. Les travaux ont été entrepris récemment par le nouveau propriétaire du lopin de terre. Il n'a pas été possible pour les enquêteurs d'interroger le propriétaire des lieux qui se trouve actuellement en Espagne.

Le responsable de la délégation de la culture explique que le douar en question se situe à proximité d'une très ancienne route commerciale. La route baptisée ''route des sultans'' figure sur les premiers parchemins et ébauches de cartes de la région au 18-eme et 19-eme siècles. Sous le règne de plusieurs dynasties marocaines, la route était empruntée par les caravanes de commerce ainsi que par les délégations européennes qui débarquaient au port de Tanger ou Asilah pour se rendre ensuite à la ville impériale de Fès pour y rencontrer le sultan. Le long de cette route se trouvent de nombreux vestiges de campements militaires et de Kasbah où stationnaient des soldats chargés de la sécuriser.

D'autre part, un conservateur de musée rappelle que toute trouvaille archéologique tombe sous les dispositions de la loi 22/80 relative à la protection du patrimoine, des sites et des objets d'antiquité. La loi stipule que tout objet d'antiquité découvert sous le sol est considéré comme propriété de l'Etat. Les pièces archéologiques découvertes sont mises à la disposition de la direction du patrimoine du ministère de la culture.

Chercheurs de trésors:

Après études, les objets d'antiquité sont finalement remis au musée de la région où la découverte a été faite. Des archéologues déplorent le fait que l'emplacement original de la trouvaille ne soit pas encore identifié. ''Cela nous aurait permis d'effectuer des fouilles minutieuses sur ce site, et les chances de faire de nouvelles trouvailles sont fort probables'', regrettent-ils. Un détail intrigue encore plus ces spécialistes. L'état excellent de conservation des pièces suppose qu'il étaient entreposées dans des ustensiles ou tout autre objet qui devrait être aussi de grande valeur archéologique.


Suite trésor Larache....
N
31 octobre 2007 20:58
Suite trésor Larache....

Dans l'attente des résultats de l'enquête, certaines sources ont exprimé les craintes que les pièces découvertes ne représentent qu'une partie d'un lot plus important d'objet de grande importance archéologique. L'ont suppose même que les 468 pièces récupérées seraient délaissés par les personnes qui ont fait la découverte. D'après des expériences similaires, les ''déterreurs de trésors'' sont souvent intéressés uniquement par les pièces en métaux précieux comme l'or ou l'argent.

Plusieurs histoires circulent dans les douars de la région sur les mystérieux chercheurs de trésors. Ils seraient des étrangers à la région qui opèrent souvent la nuit, ne laissant de traces de leur passage que des trous béants au sol. Réputés pour détenir des pouvoirs maléfiques grâce à la magie, les visiteurs nocturnes ne sont nullement importunés par la curiosité des riverains.

Le Dr. Ahmed Siraj est l'un des rares chercheurs universitaires à avoir consacré une étude au phénomène des chercheurs de trésors au Maroc. Dans une étude intitulée ''l'Archéologie clandestine au Maroc'', cet enseignant d'histoire à la faculté des sciences humaines de Mohammedia affirme que le phénomène est très ancien au Maroc en déclinant des documents attestant de son existence depuis le 11e siècle. Les chercheurs de trésors ne se limitaient pas au territoire du Maroc. Ils sillonnaient différents endroits dans la région de l'Afrique du Nord. Une région riche en histoire et où se sont succédées plusieurs civilisations prospères.

M. Siraj rapporte dans son étude que dans le 16-eme siècle à Fès, les chercheurs de trésors s'organisaient en corps de métier tels les ferronniers ou les menuisiers. Au delà des croyances et légendes entourant cette pratique, les chercheurs de trésors disposent de techniques efficaces pour dénicher des biens de valeur enfouies sous terre depuis des siècles. A une époque où le seul moyen de mettre à l'abri sa fortune consistait à creuser, en toute discrétion, un trou qui garde parfois le secret à jamais.
N
31 octobre 2007 21:25
le trésor de la Grotte de Tafoughalt: le Maroc, comme l’un des plus anciens centres de diffusion des premiers objets de parure au monde


Cet article est extrait du site suivant:

[www.lagazettedumaroc.com]


Le Maroc ancré dans l’Histoire

C’est une semaine très riche de bonnes nouvelles pour le patrimoine marocain. Mais cette découverte archéologique dépasse de loin tout le reste. Des chercheurs ont découvert des mollusques marins perforés de type Nassarius, dans la grotte des Pigeons à Tafoghalt, dans l’Oriental. Une région connue pour ses grottes magnifiques, qui recèlent des trésors du patrimoine humain.
Datés de 82 000 ans, ce sont des pièces qui comptent parmi les plus anciennes représentant des parures dans le monde et qui placent le Maroc, comme un pays où la civilisation a fait son apparition, bien avant d’autres régions du monde. Car, pour les chercheurs, de telles parures sont l’indice d’une grande avancée sur le plan de la vie sociale des habitants de la région. A la fois un témoignage de progrès et de grande maîtrise technique. Ces objets donnent aussi une indication de taille, qui remet en cause beaucoup de partis pris archéologiques, dans le monde : ils indiquent très clairement, selon les grands spécialistes qui ont salué cette découverte, que les humains ont utilisé des symboles en Afrique, 40 000 ans avant l’Europe. Selon l’un des scientifiques : «une telle découverte permet de clore le débat sur l’origine africaine des objets de parure et place l’Afrique du Nord, et notamment le Maroc, comme l’un des plus anciens centres de diffusion des premiers objets de parure au monde.» D’ailleurs, pour l’Académie des Sciences aux Etats-Unis, qui a fait un large commentaire sur cette découverte importante, cela préfigure d’autres trouvailles, qui pourront aider les chercheurs à revoir certaines dates et surtout résoudre quelques énigmes liées aux datations dans certaines régions. Quoi qu’il en soit, la découverte de Tafoughalt a démontré l’emploi de quatre méthodes de datations différentes, ce qui a permis de remonter à l’âge de 82 000 ans de ces objets de parure, dont certains ont été couverts par de l’ocre rouge.
C’est simple, grâce à ses techniques de datation, c’est un pan entier de l’histoire de l’archéologie de l’Afrique du Nord et du Proche-Orient qui est revisité : la parure de la grotte des Pigeons à Tafoughalt est plus ancienne que ce qui a été découvert auparavant en Algérie, en Afrique du Sud et en Palestine.
Il faut aussi souligner que l’équipe composée de chercheurs de l’Institut National des Sciences de l’Archéologie et du Patrimoine (INSAP) du Ministère de la Culture au Maroc et de l’Université d’Oxford, a bénéficié de plusieurs collaborations nationales et internationales, ce qui a permis de réaliser des fouilles exactes et d’aboutir à des résultats qui font office de bombe dans le milieu de l’archéologie mondiale. L’INSAP, le Laboratoire des Recherches, d’Analyses Techniques et Scientifiques de la Gendarmerie Royale (LARATES, Maroc), l’Université d’Oxford, le Centre National de la Recherche Scientifique en France (CNRS), le Römisch-Germanisches Zentralmuseum Forschungsbereich Altsteinzeit (RGZM) et de l’Université Nationale d’Australie à Canberra, toutes ces compétences pour certifier de la plus grande découverte de l’année, voire de ces dix dernières années. Il faut aussi savoir que les recherches dans la grotte des Pigeons à Tafoughalt, ont été en partie financées par le Programme Thématique d’Appui à la Recherche Scientifique (PROTARS P32/09) du Ministère marocain de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et ont bénéficié de l’appui logistique sur place, de l’Association des Amis de Tafoughalt (AAT). L’équipe internationale a été dirigée par Abdeljalil Bouzouggar, enseignant-chercheur à l’INSAP et Nick Barton d’Oxford University en Angleterre.
N
31 octobre 2007 21:46
Voici des lien qui donne une bibliographie sur les trésors archéologiques au Maroc et au Maghreb:

1) [laportj.club.fr]

2) format PDF: [laportj.club.fr]

3) Format DOC: [laportj.club.fr]

4) les chercheurs et recherches faites sur l'archéologie au Maroc:

[www.minculture.gov.ma]

5) Ahmed Siraj est spécialiste des trésors archéologiques à la faculté des lettres de Mohamedia. IL est professeur et Vice Doyen de cette faculté. Il fait partie du Laboratoire d’Archéologie et du Patrimoine Culturel du Littoral.

Son émail: a.siraj@univh2m.ac.ma - tél. : +212 23 24873, fax: +212 23 325377

[www.univh2m.ac.ma]

6) [www.asays.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 31/10/07 22:04 par N7abb-bladi.
N
1 novembre 2007 21:58
Dr Ahmed Siraj: Un des rares chercheurs ayant fait des études sur le phénomène de chercheurs clandestins de trésors



Le Dr. Ahmed Siraj est l'un des rares chercheurs universitaires à avoir consacré une étude au phénomène des chercheurs de trésors au Maroc. Dans une étude intitulée ''l'Archéologie clandestine au Maroc'', cet enseignant d'histoire à la faculté des sciences humaines de Mohammedia affirme que le phénomène est très ancien au Maroc en déclinant des documents attestant de son existence depuis le 11e siècle. Les chercheurs de trésors ne se limitaient pas au territoire du Maroc. Ils sillonnaient différents endroits dans la région de l'Afrique du Nord. Une région riche en histoire et où se sont succédées plusieurs civilisations prospères.

M. Siraj rapporte dans son étude que dans le 16-eme siècle à Fès, les chercheurs de trésors s'organisaient en corps de métier tels les ferronniers ou les menuisiers. Au delà des croyances et légendes entourant cette pratique, les chercheurs de trésors disposent de techniques efficaces pour dénicher des biens de valeur enfouies sous terre depuis des siècles. A une époque où le seul moyen de mettre à l'abri sa fortune consistait à creuser, en toute discrétion, un trou qui garde parfois le secret à jamais.

Ahmed Siraj est spécialiste des trésors archéologiques à la faculté des lettres de Mohamedia. IL est professeur et Vice Doyen de cette faculté. Il fait partie du Laboratoire d’Archéologie et du Patrimoine Culturel du Littoral.

Son émail: a.siraj@univh2m.ac.ma

- tél. : +212 23 24873, fax: +212 23 325377
N
2 novembre 2007 20:54
Queqtions sans réponses sur les trésors


Vous savez bien que le but de notre sujet est répodre à des questions posées sur les trésors hantés ou non. Nous avons eu beacoup de réponses, mais certaines questions restent en suspens. Alors si quelqu'un pourra nous répondre surtout sur :

1) comment les gens ou les fqihs de Souss arrivent à avoir les plans (ta9yidas)? D'après l'article précedent, nous asvons qu'à Fès au moyen age, ils se regroupaient en corps de métier. Existe-t il des structures semblables actuellement?

2) Comment ils sont initiés ces fqihs pour maitriser les incantations ou les oraisons (3azimas) pour extraire ces trésors dont le Maroc regorge...Si quelqu'un possède une 3azima de trésor comme Demiaté qu'il nous fasse parvenir une copie ou même une copie de la Kabbale juive.

3) Sous quels formes apparaissent les djinns qui protègent les trésors dit hantés?

4) Pourquoi des fois, il faut faire des offrandes pour ces djinns?

5) Pourquoi les djinns balancent des fois ces chercheurs de trésors sur des centaines de Km?

6) Que dit la loi marocaine sur ces trésors? on a déjà vu la Sunna imposer le 1/5 comme Zakat (aumône légal) au trésor trouvé.

7) Connaissez vous des histoires arrivées à des chercheurs de trésors qu'ils soient des amis ou non? Comment ont-ils fait pour localaiser le trésor (indices, tarbi3, cryptage,...)? ont-ils réussis à avoir quelque chose? 3azima? Offrande?....ces lieux sont hantés ou pas?....Que dit la science exacte à ce sujet? y a-t il d'autres chercheurs académicien autres que Dr Siraj Ahmed qui ont consacré des études ou travaux à ce domaine? peut-on avoir des références bibliographiques?


Vous pouvez aussi nous éclairer sur des points précis scientifiques, juridiques et religieux par exemple....nous raconter une histoire de trésors arrivée à vous ou à des amis ou à des proches...Nous voulons avoir l'avis de ceux qui ont assisté pour confirmer ou infirmer les dires des autres dans les précedents posts...Vous pouvez utilser les MP aussi pour nous dire plus....pour connaitre la Vérité sur ce domaine et la restituer aux autres...



Modifié 2 fois. Dernière modification le 04/11/07 15:44 par N7abb-bladi.
N
3 novembre 2007 00:46
Tester l'or avec l'eau régale

L'or en solution colloidale



extrait du site: [www.metaldetection.net]

L’eau régale c'est quoi ?

L'eau régale, utilisée par les bijoutiers pour tester la pureté de l'or, est un mélange en volumes de 3 parties d'acide chlorhydrique pour une partie d'acide nitrique (acides concentrés). Ce mélange a la propriété de dissoudre l'or en le transformant en ion complexe soluble. A noter que ni l'acide nitrique seul, ni l'acide chlorhydrique seul ne réagissent sur l’or. Le chlorure d'or a pour formule AuCl3 et il est soluble dans l'eau.

Les acides utilisés sont dangereux (très corrosifs et toxiques), surtout l'acide nitrique, et doivent donc être manipulés avec beaucoup de précautions : lunettes de protection, gants en latex, récipients en pyrex et une bonne aération. Le mélange des acides doit se faire lentement et par petite quantité et non d’un seul coup.

Récupération de l’or dissous dans l’eau régale :

Pour récupérer de l'or dans une solution de chlorure d'or (l'eau régale), on peut simplement y ajouter une solution de sulfate ferreux. L'or se précipitera alors au fond du récipient sous forme de poudre brune qu’il suffit de récupérer par filtrage et fondre ensuite. L'acide oxalique peut aussi convenir, mais la réaction est plus lente. On peut aussi utiliser un métal comme le zinc, mais là on obtiendra une solution colloïdale d’où la récupération de l’or sous forme métallique est plus compliquée. D’autres utilisent de la soude pour précipiter l’or.

L’or en solution colloïdale

Une substance colloïdale dans un milieu donné, ne se dissout pas, mais se disperse en particules extrêmement fines d’une taille inférieure à 5 micromètres (Un micromètre - symbole μm - vaut 10-6 = 0, 000 001 mètre ou encore 0,001 millimètre ou encore un millième de millimètre).

Pratiquement chaque forme d'or existe dans les dépôts alluviaux et les zones oxydées de dépôts de l'or associés. Les formes les plus communes sont les paillettes, les plaques, les grains et les pépites mais aussi la forme la plus fine appelée "farine" ou "poudre d'or" qui se compose de minuscules particules d'or de la taille de quelques centièmes de millimètres.
N
3 novembre 2007 00:50
Attention aux escrocs : Des lingots d’or … qui n’en étaient pas


Extrait du site: [www.metaldetection.net]

Un ami de France qui cherchait à faire un « bon placement » vient de se faire escroquer par une bande d’arnaqueurs de l’ex union soviétique. Il rencontra un des leurs lors de ses dernières vacances à Playa de Carmen (Cancun), une plage mexicaine de renommée très à la mode. Rentré chez lui à Paris il fut contacté quelques temps après par cette même personne qui lui dit avoir un besoin urgent de liquidité pour acheter un commerce à Moscou. Il lui proposa de lui vendre deux lingots d’or de 1 kilo chacun pour le prix d’un, prétextant qu’il les avait introduit en France sans papier et qu’il ne voulait pas d’ennui avec les autorités. Trouvant l’affaire alléchante mon ami lui fixa un rendez; on contrôla le poids et les volumes des deux lingots et tout paraissant parfait (relation poids/volume), notre larron empocha bien vite la monnaie et sans fut.
Le lendemain matin mon ami se rendit chez un fondeur qui par mesure de sûreté réalisa le sciage du premier lingot devant mon ami pour vérifier si tout était correcte. Après quelques millimètres la scie bien vite ne pu mordre le métal qui paraissait plus dur que la normale. On s’aperçu bien vite qu’en fait de lingot d’or il s’agissait d’un bloc de tungstène recouvert d’une couche d’or de quelques millimètres d'épaisseur ! Le tungstène ayant une densité identique a celle de l’or, elle rassure l’acheteur qui oublie de forer ou de sciez les lingots afin de se prémunir de ce genre de mésaventure.

Tout ce qui brille n'est pas or!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/11/07 00:51 par N7abb-bladi.
N
3 novembre 2007 21:54
Un trésor attaché à un piège à loup


Extrait du site : [www.metaldetection.net]

Vous dites que trésor il n’y à pas !


Un membre du Club, digne de foi et possesseur d’un Deepers, qui fêtera cette année ses 62 ans, m'a raconté il y a peu que cherchant un magot au bas d'un mur très ancien éboulé depuis pas mal de temps, après plusieurs trous infructueux de 50 cm et plus encore où il déterrait fers à bœufs, vieux sots galvanisés et même une fossile, il trouva dans sa dernière tentative un piège à loup tout oxydé mais bien solide encore. Voulant le retirer du trou à plus de 65 cm de profondeur, la chaîne que l'on accroche généralement du piège à un arbuste pour ne pas que la bête prise s'échappe, l'en empêcha car elle était visiblement retenue par les racines et pierrailles environnantes. Se faisant tard et de plus harassé de son labeur et dégoûté de ne trouver que vieilles ferrailles il abandonna les recherches, reboucha le trou et s'en fut chez lui dans le Nord de la France à la fin des vacances d’été de l’année dernière. Il raconta son aventure à un ami qui devait se rendre justement dans le même coin à Pâques.

Quelle ne fut pas sa surprise de voir revenir quelques temps après l'ami honnête et reconnaissant qui lui déversa sur la table une bonne trentaine de grosses monnaies en or de Louis XVIII. L'heureux chercheur perspicace s'était tout bonnement rendu au même endroit, avait parfaitement localisé l'emplacement du trou du piège à loup grâce aux renseignements précis de son indicateur, avait retrouvé l'engin puis patiemment avait dégagé peu à peu la chaîne .... qui était encore uni par la anse à un bon gros pichet de fer, lequel contenait 65 monnaies en or. Pourquoi ce piège? Je pense personnellement que l'enfouisseur l'avait placé au dessus de son butin pour le protéger, puis avait recouvert de terre l'endroit au pied du mur qui par la suite s'écroula, enfouissant encore plus profondément le piège, le pot de fer et son précieux dépôt. En matière de recherche trésoraire il faut un bon jugement, beaucoup de patiente et aussi sans aucun doute un bon matériel de détection.
Alain Châtillon
N
3 novembre 2007 21:57
Un détecteur de trésors (infraction vitsse) qui est un trésor detécté par le Ministère de l'Intérieur



Un détecteur qui rapporte 200 millions d’Euros par an à l’état Français (et ce n’est que le début)

Oui mes amis, un détecteur millionnaire, hélas ce n’est pas un détecteur de métal commun qui aurait pu localiser un dépôt historique fantastique, ce qui est encore possible dans bien des endroits, non pas mais mais un super détecteur de carrosseries fait pour piéger les conducteurs qui ne respectent pas les limitations de vitesse !

Alors prenez garde si l’envie vous prend d’appuyer un peu trop sur le champignon de votre véhicule, les détecteurs de vitesse, ou radar si vous préférez, sont vigilants et dissimulés un peu partout sur nos bonnes routes de France. Des centaines sont à l’affût et ce n’est que le début. On se demande où tout cela s’arrêtera …. Au train où vont les interdits que sera notre monde de demain ? Il faut interdire d’interdire au pays de la liberté ou alors c’est un grand mensonge que de dire Liberté – Egalité – Fraternité.
N
4 novembre 2007 00:04
merveilles et trésors de l'HISTOIRE: Jardins Suspendues de Babylone


Extrait du site: [www.metaldetection.net]

Les jardins suspendus de Babylone étaient situés à Babylone, sur la rive est de l'Euphrate, à environ 50 km au sud de la ville actuelle de Bagdad, en Irak.

Les Jardins étaient construits en forme de pyramide, chaque escalier formant ainsi une terrasse. Les fleurs et arbres qui y poussaient, cachaient les fondements du site ce qui fait qu'on aurait dit que les Jardins flottaient dans l'air sans support. Un immense escalier de marbre reliait ces terrasses, où l'eau, par des vis hydrauliques, était amenée depuis l'Euphrate. C'était un véritable jardin botanique où l'on cultivait les plantes et les arbres de Mésopotamie et ceux des montagnes de Médie. Les fouilles ont révélé les assises du jardin et ses voûtes puissantes dominant le fleuve...q
Ce fut Nabuchodonosor II qui fit aménager ces magnifiques jardins en l'honneur de son épouse Amytis, fille d'Astyage, roi des Mèdes, au VIe siècle avant J.-C., et non, comme le disent les Anciens, pour la reine mythique Sémiramis. Il aurait fait aménager ces jardins pour qu'ils rappellent à son épouse la végétation des montagnes de son pays d'origine.
Leur construction date de 600 av. J-C. Aucun historien grec n'a vu les jardins suspendus, il s'agit en fait de récits ou d'histoires racontées par les soldats.

Le mur d'enceinte de Babylone, célèbre par ses deux cent cinquante tours et ses neuf portes de bronze, fut élevé par le père de Nabuchodonosor II, mais il fut achevé par ses successeurs.
La date de leur destruction est inconnue.

En dépit du fait qu'un grand nombre de descriptions des Jardins proviennent d'historiens grecs, les annales babyloniennes restent muettes à ce propos. Les tablettes du temps de Nebuchadnezzar ne font aucune référence aux Jardins Suspendus, malgré les descriptions trouvées de son palais et de la ville.

Cependant, au XXe siècle on a retrouvé quelques fondations mystérieuses qui pourraient appartenir aux Jardins. Mais les archéologues essaient de trouver d'avantage de preuves avant de tirer des conclusions quant à la localisation précise des Jardins Suspendus, son système d'irrigation et son apparence réelle.
N
4 novembre 2007 20:06
Livre complet sur la recherche de trésors



Voici un livre traiatnt la recherche de trésors (pas hantés biensûr grinning smiley) et qui est en vente sur amazon.fr:

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Ce livre est intitulé :

Comment ils ont trouvé un trésor (Broché)
de Alain Cloarec (Auteur)


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Prix éditeur: EUR 17,00
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Économisez : EUR 0,85 (5%)

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Descriptions du produit

Quatrième de couverture

Il ne se passe guère de mois en France sans qu'un trésor soit trouvé, le plus souvent par le pur effet du hasard, pendant l'exécution de travaux de réhabilitation d'un bâtiment, de réfection d'une cave, d'un jardin ou d'une route. Bien que ces découvertes soient nombreuses, elles ne représentent qu'une infime partie des trésors qui sont encore cachés à quelques centimètres sous nos pieds, attendant un heureux coup de pioche. Passionné de prospection depuis l'âge de 14 ans, Alain Cloarec est devenu l'un des grands spécialistes de la détection et de la recherche de trésors. Il nous livre ici les plus belles des multiples découvertes qu'il a effectuées au fil des années, dont celle d'un trésor de plus de 70 kg d'or à Saint-Cloud! Merveilleuses, insolites, parfois drôles, ses aventures nous entraînent dans un monde qui mêle tour à tour histoires, péripéties, enquêtes et connaissance du terrain.
Alain Cloarec dirige à Paris une société de vente de matériel de détection (IDS) depuis 1985. Prospecteur chevronné, il exerce une activité de recherche à l'échelon national, au service tant des particuliers que des institutions. En 1992, il a participé à la fondation de l'Association française des prospecteurs.

L'auteur vu par l'éditeur

Alain Cloarec dirige à Paris une société de vente de matériel de détection (IDS) depuis 1985. Prospecteur chevronné, il exerce une activité de recherche à l'échelon national, au service tant des particuliers que des institutions. En 1992, il a participé à la fondation de l Association française des prospecteurs.

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Détails sur le produit

Broché: 203 pages
Editeur : Le Cherche-midi Editeur (juin 2001)
Collection : Documents
Langue : Français
ISBN-10: 286274851X
ISBN-13: 978-2862748511
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Classement parmi les ventes Amazon.fr : 191.910 en Livres


Table des matières

Introduction. Le besoin et le goût de cacher l'or

Chapitre 1 : Comment on devient chasseur de trésors

Chapitre 2 : Les trésors de l'aubergiste, de l'employé modèle, du moulin de Luzarches et des Compagnons d'Emmaüs

Chapitre 3 : L'abbaye de Saint-Wandrille, la rue Mouffetard, le trésor d'Arras

Chapitre 4 : Sept millions de francs à Saint-Cloud

Chapitre 5 : Le site de Rennes-le-Château et les dollars du K.G.B.

Chapitre 6 : L'échec du japonais, la chance du comte

Chapitre 7 : Dans un tonneau, dans le « piano », dans un garage...

Chapitre 8 : Souterrain, poulailler, champ en jachère...

Chapitre 9 : Trois tentatives, deux victoires

Chapitre 10 : La détection de loisir

Chapitre 11 : Un trésor parmi les sangliers, la vieille dame qui a peur...

Chapitre 12 : Les chasseurs de météorites

Chapitre 13 : Les trésors faciles à dénicher

Chapitre 14 : Le scandale de Boucq, un maire bienveillant, « Great Britain is rich... »

Chapitre 15 : De l'or dans la cave, le trésor de Lorient, l'or de Grenoble

Chapitre 16 : L'imbroglio de l'Île-aux-Moines

Chapitre 17 : Le trésor des Sablons, le trésor de Rodrigue

Chapitre 18 : Au château de Chizé

Chapitre 19 : La fatalité du trésor de Graincourt

Chapitre 20 : Dans les barres à rideaux

Chapitre 21 : Des trésors à la pelle !

Chapitre 22 : La fièvre de l'or en Australie

Chapitre 23 : Les découvertes extraordinaires : Antoine de Saint-Exupéry, deux torques gaulois, un trésor sous-marin en Corse, le corps d'Alain Fournier, la bague venue d'Amérique, le trafic de Lalique

Chapitre 24 : Le protocole d'accord ; six lingots d'or sur la route de Dreux

Chapitre 25 : Les trésors et le droit
N
4 novembre 2007 20:32
Le trésor de Toutankhamon: un trésor inestimable trouvé en Egypte en 1922



Voici le lien qui parle de ce trésor fabuleux. Il s'agit du trésor trouvé dans la tombe de Toutankhamon (En arabe Toute Ankh3 Amoun). C'étaient les égypriens qui avaient montré le tombeau à cet archéologue britannique Howard britannique et non lui seul qui l'avait trouvé. Il a eu juste après la trouvaille de ce trésor la malédiction des Pharaons comme on dit.

Voici le lien pour cet article qui se trouve aussi ci-dessous:

[www.lycee-fontromeu.com]

Voici l'article au complet:


Le trésor de Toutankhamon
Une découverte fabuleuse...


Le trésor de Toutankhamon a été découvert le 4 novembre 1922 par l’archéologue britannique Howard Carter. Après dix ans de recherche, il trouve le tombeau de Toutankhamon dans la vallée des rois, près de Louxor.

Un trésor inestimable

Le sarcophage de Toutankhamon, Musée de Louxor

On a retrouvé plus de 2500 objets dont un masque en or, serti de pierres précieuses. Le troisième sarcophage entièrement recouvert d’or pense plus d’une tonne.

Parmi les objets que l’on peut admirer, il y a aussi des pendentifs égyptiens, un masque en or, des jeux de société, une statue de la déesse Serket.

L’entrée de la salle du trésor était gardée par une statue d’Anubis, posée sur un coffre rempli de bijoux et d’amulettes.

La momie de Toutankhamon
La momie de Toutankhamon a été retrouvée dans la salle du tombeau. Dans la tombe de Toutankhamon se trouvent des boîtes de jeux, le trône, des pendentifs, son lit, et même ses sandales.

Nicola Font et Romain Cendron 6°1

Sources :
Arkéo junior, n°121 de juillet 2005
SIMON, Philippe. L’Egypte ancienne. Fleurus, 2003.
N
4 novembre 2007 20:35
Suite Touthankamon....

Un autre lien sur le même site: [www.lycee-fontromeu.com]

Toutankhamon, un pharaon célèbre pour la découverte de son trésor
Fils d’Aménophis III et de Tiyi, Toutankhamon est un pharaon de la 18ème dynastie.
Il n’a régné que 10 ans, probablement de 1334 à 1325 avant Jésus-Christ, année supposée de sa mort. Un règne bien court pour ce très jeune pharaon qui n’avait que neuf ans quand il est monté sur le trône. On s’est posé beaucoup de questions sur sa mort survenue dans des circonstances mystérieuses : assassinat ? accident ? maladie ?

Toutankhamon est presque aussi célèbre que Ramsès II. Mais pas pour les mêmes raisons. C’est la découverte de l’archéologue Howard Carter qui l’a sorti de l’ombre : le fabuleux trésor retrouvé dans sa tombe se trouve aujourd’hui au Musée du Caire dans une salle spécialement aménagée.

Loïc Kérivel et Quentin Bourrier, 6°1

Sources : Arkéo Junior N°121 de juillet 2005

P.S: Le XXII éme Pharaon était un berbère du Maghreb Chechonq I après que l'armée maghrébine avait battu l'armée des Pharaons. Son trésor n'a pas été trouvé jusuq'à nos jours. Alors MAghrébins cherchez-le!!!!!!!!!!!grinning smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/11/07 20:38 par N7abb-bladi.
N
4 novembre 2007 20:54
Voici 2 sites traitant les sujets de trésors.



1) Site parlant de trésors avec forums intéressant: [www.caminteresse.fr]

2) Site rappelant la loi et le réglement sur la recherche de trésors en France. On espère avoir un site pariel pour le Maroc:

[www.archeodroit.net]
Emission spécial MRE
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