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graziella a écrit:
MAGNIFIQUE...
BarakAllah ou fik pour ces rappels
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jamal.b a écrit:
Barak Allah oufik graziella pour tes histoires, je vois que ton sac etait plein d'histoire...
Barak Allah oufik Nice_Dido pour avoir ouvert ce post et pour ton histoire excéllente
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jamal.b a écrit:
Barak Allah oufik graziella pour tes histoires, je vois que ton sac etait plein d'histoire...
Barak Allah oufik Nice_Dido pour avoir ouvert ce post et pour ton histoire excéllente
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graziella a écrit:
Retenez Vos Larmes !!!
Voici une petite histoire suivie de quelques versets très émouvants .
Retenez vos larmes, qui peuvent être des larmes de tristesse, d'amour, d'émotion et d'admiration.
Un jour, l'épouse de Abdoul-lah Ibn Hirâm rendit l'âme, lui laissant la charge de leurs neufs filles et leur garçon unique (Jâber). Le père dut alors faire face et élever seul ses dix enfants qui constituaient une lourde responsabilité. Cependant, ce devoir de père ne l’empêchait pas de combattre dans le sentier d'Allah. En effet, Abdoul-lah participa à la bataille de Badr. Jâber, son fils, demanda à combattre aussi, mais le père refusa en raison de son jeune âge.
Plus tard, à l'aube de la bataille d’Ohod, Jâber ayant acquis une certaine maturité et un certain âge, était fin prêt à combattre au côté des Musulmans. Malheureusement père et fils ne purent partir à l'expédition côte à côte et laisser les filles vouées à elles-mêmes sans tuteur à Médine. Ils étaient animés d'une grande ferveur, tous deux voulurent plus que tout participer au combat, mais l'un des deux devait impérativement rester pour veiller sur les filles. Ils n'eurent d'autre alternative que le tirage au sort.
Le père fut sorti vainqueur du tirage. C’est alors que Jâber se mit à pleurer, des larmes d’amour pour Allah, l’Islam et le Paradis.
Le père voyant son fils triste le réconforta en ces termes : « Mon fils, par Allah, si c’était autre chose que le Paradis, je te l’aurais laissé… ».
Salam Alikoum
BARAKALLAHOUFIK GRAZIELLA, ANA, NICE DIDO.
désolé, je n'en n'ai point.
Le fils continua à pleurer et le père s’approcha de lui et poursuivit : « Jâber, je me vois mort en Chahid aujourd’hui ; même le premier des Chahids. Par Allah, la personne que j’aime le plus, après le Messager d’Allah, c’est toi mon fils. Sache aussi que j’ai des dettes, je te charge des les régler. Je te confie tes sœurs ; soit bon envers elles. »
Le père partit alors au combat et mourut effectivement en Chahid ; il fut même le premier des Chahids de la bataille.
Le jour même, on informa Jâber : « Jâber, ton père est mort ! » Bouleversé, celui-ci courut sur le champ de bataille à la recherche du cadavre de son père, mais les mécréants, après avoir tué ce dernier, l’avaient mutilé si cruellement, que la vue de son corps fut insoutenable, si bien que les compagnons n'autorisèrent pas Jâber à le voir.
Jâber raconte :
« Je voulais voir mon père ; mais les compagnons du Prophète me repoussaient ! Je leur disais de me laisser le voir ! Le Prophète leur donna l'ordre de me laisser m'approcher. J’ai donc regardé mon père, puis j’ai caché mes yeux remplit de larmes dans ma manche… Le Prophète m’a regardé et m’a dit « Mon fils, pleure-le ou ne le pleure pas ; les anges le recouvrent quand même de leurs ailes d’ici jusqu’au Ciel. Sois content, ô Jâber ! ». J’ai répondu :
- content de quoi, ô Messager d’Allah ?
- Jâber, tu sais quoi ?
- Oui, ô Messager d’Allah ?
- Allah ne parle au gens que derrière un voile. Cependant, il a parlé à ton père sans voile ! Allah lui a dit : « oh serviteur, que souhaites-tu ? » Ton père a répondu : « Je souhaite revenir sur le champ de bataille, combattre aux cotés de ton Prophète et mourir sur Ton sentier, parce que j’ai trouvé cette mort magnifique ! » Allah lui a dit : « J’ai déjà affirmé qu’il n’y a de retour vers le bas monde, ô serviteur, souhaite autre chose. » Ton père a donc répondu : « Je souhaite que Tu informes mes frères combien je suis heureux ! »
Des versets ont alors été révélés au Prophète, paix et salut sur lui
« _Wala tahsabanna allatheenaqutiloo fee sabeeli Allahi amwatan bal ahyaonAAinda rabbihim yurzaqoona. »
Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus
« _Fariheena bima atahumuAllahu min fadlihi wayastabshiroona biallatheenalam yalhaqoo bihim min khalfihim alla khawfunAAalayhim wala hum yahzanoona. »
et soyez joyeux de la faveur qu'Allah leur a accordée, et ravis que ceux qui sont restés derrière eux et ne les ont pas encore rejoints, ne connaîtront aucune crainte et ne seront point affligés.
« _Yastabshiroona biniAAmatin mina Allahiwafadlin waanna Allaha la yudeeAAuajra almu/mineena »
Ils sont ravis d'un bienfait d'Allah et d'une faveur, et du fait qu'Allah ne laisse pas perdre la récompense des croyants.
Qu'Allah nous accorde une mort sur Son sentier. Amine.
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nice_dido a écrit:
salam alaykom
j'ouvre ce poste pour tous ceux et celles qui connaissent des bonnes histoires qui ont une relation avec notre religion et qui peuvent nous donner des leçons utiles dans notre vie quotidienne .
bon je commence avec une petite histoire:
Un homme s'est réveillé Tôt pour faire la priére d'al fajr à la mosquée. Après s'être habillé et avoir fait ses ablutions, il se mis en marche vers la mosquée. Une fois rendu à la moitié du chemin ,il trébucha, salissant ainsi ses vêtements. Il rebroussa chemin vers sa maison, refit ses ablutions et pris une seconde fois le chemin de la mosquée. Au même endroit, il trébucha salissant une seconde fois ses vêtements et s'en retourna chez lui pour refaire ses ablutions et changer de vêtements. Sur le chemin de la mosquée, un homme éclairant la route d'une lanterne l'aborda:
-qui es-tu? demanda l'homme à l'inconnu,
- je t'ai vu tomber deux fois, alors j'ai décidé de t'aider en
t'éclairant le chemin.
À la porte de la mosquée, l'homme demanda à l'inconnu d'entrer pour prier avec lui; une offre qu'il déclina vigouresement. L'homme lui demanda la raison de son refus d'entrer à la mosquée:
-Je suis Satan, répondit l'inconnu. Je t'ai fait tomber la première fois pour t'empêcher de prier, mais quand tu es revenu après avoir refais tes ablutions et changé tes vêtements, Allah t'avait pardonné tous tes péchés. La seconde fois que je t'ai fais tomber, Allah pardonna à ta famille. J'ai eu peur qu'Allah pardonne à tout ton village si tu tombais une troisième fois!
Qu'Allah nous guide vers Sa lumière, amine
a vos claviers
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Rrrrgh a écrit:
Salam Ailikoum
Un jour, un ami et moi sommes montés dans un taxi. J'ai remarqué que le chauffeur avait déposé sur le devant de la voiture un Coran ouvert, comme le font beaucoup de conducteurs, pour se protéger contre les risques d'accidents. Mon ami fit alors une remarque pertinente et demanda au chauffeur: -Apparemment tu aimes le Coran et tu le vénères, autrement tu ne l'aurais pas déposé dans ta voiture !
- Oui, je l'aime et je le sanctifie, mais je le mets ici surtout pour rechercher la bénédiction et pour me protéger contre les dangers, dit le chauffeur.
- Mais est- ce que tu le lis ?, lui demande mon ami
- Non, répond-il
- Si tu avais un pot de miel pur sur une étagère de ta cuisine, l'aurais-tu laissé comme un décor sans le savourer, en sachant surtout qu'à part sa douceur, le miel est un remède pour toutes sortes de maladies?
- Certainement pas , je l'aurais dévoré, autrement je ne l'aurai pas acheté, dit le chauffeur.
- Il en va de même pour le Coran. C'est un miel pur... pourtant tu l'as laissé sur le bord de la voiture, tout comme quelqu'un qui délaisse le pot de miel. Pourquoi n'essaies tu pas de le goûter?
Le chauffeur ayant saisi l'allusion, sourit et dit : " je le ferai Incha Allah "
Pendant que ma pensé plongeait dans les propos de mon ami je contemplais l'omniprésence de la verdure exubérante du printemps et je me demandais comment les gens pouvaient abandonner les coupes cristallines du miel coranique sur les étagères de leurs bibliothèques, de leurs maisons et les bords de leurs voitures sans tenter d'en tester la saveur. Car je suis sûre que, s'ils y goûtaient, ils ne s'en détourneraient jamais au profit de quelque chose d'autre. C'est un miel qui n'est pas comme les autres miels dont la saveur disparaît dès qu'il quitte la langue. En effet, la douceur du miel coranique ne quitte jamais la langue de l'intellect, la langue du coeur et la langue de l'âme...
C'est un appel qui s'adresse à vous, jeune Musulman et jeune Musulmane, pour que vous débouchiez avec moi les coupes de ce miel afin d'y goûter ou d'apprendre comment le savourer...
Bonne appétit !
Ailikoum Salam
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nasanditaf a écrit:Citation
Rrrrgh a écrit:
Salam Ailikoum
Un jour, un ami et moi sommes montés dans un taxi. J'ai remarqué que le chauffeur avait déposé sur le devant de la voiture un Coran ouvert, comme le font beaucoup de conducteurs, pour se protéger contre les risques d'accidents. Mon ami fit alors une remarque pertinente et demanda au chauffeur: -Apparemment tu aimes le Coran et tu le vénères, autrement tu ne l'aurais pas déposé dans ta voiture !
- Oui, je l'aime et je le sanctifie, mais je le mets ici surtout pour rechercher la bénédiction et pour me protéger contre les dangers, dit le chauffeur.
- Mais est- ce que tu le lis ?, lui demande mon ami
- Non, répond-il
- Si tu avais un pot de miel pur sur une étagère de ta cuisine, l'aurais-tu laissé comme un décor sans le savourer, en sachant surtout qu'à part sa douceur, le miel est un remède pour toutes sortes de maladies?
- Certainement pas , je l'aurais dévoré, autrement je ne l'aurai pas acheté, dit le chauffeur.
- Il en va de même pour le Coran. C'est un miel pur... pourtant tu l'as laissé sur le bord de la voiture, tout comme quelqu'un qui délaisse le pot de miel. Pourquoi n'essaies tu pas de le goûter?
Le chauffeur ayant saisi l'allusion, sourit et dit : " je le ferai Incha Allah "
Pendant que ma pensé plongeait dans les propos de mon ami je contemplais l'omniprésence de la verdure exubérante du printemps et je me demandais comment les gens pouvaient abandonner les coupes cristallines du miel coranique sur les étagères de leurs bibliothèques, de leurs maisons et les bords de leurs voitures sans tenter d'en tester la saveur. Car je suis sûre que, s'ils y goûtaient, ils ne s'en détourneraient jamais au profit de quelque chose d'autre. C'est un miel qui n'est pas comme les autres miels dont la saveur disparaît dès qu'il quitte la langue. En effet, la douceur du miel coranique ne quitte jamais la langue de l'intellect, la langue du coeur et la langue de l'âme...
C'est un appel qui s'adresse à vous, jeune Musulman et jeune Musulmane, pour que vous débouchiez avec moi les coupes de ce miel afin d'y goûter ou d'apprendre comment le savourer...
Bonne appétit !
Ailikoum Salam
ton humour laisse à désirer...