Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
ESPIONNAGE INFORMATIQUE DE JOURNALISTES MAROCAINS
3 août 2012 08:29
L'article : [www.yabiladi.com]

Ceci n'est malheureusement pas le cas que des Journalistes au Maroc. Ce phénomène touche aussi de nombreux journalistes occidentaux ET dans tous les Pays dictatoriaux.

Je me pose la question si nos commentaires sur Yabiladi sont espionnés par le Makhzen ? Qu'en pensez vous ?

Pensez vous que vos ordinateurs sont bien protégés contre les trojans ou spyware ?



Modifié 2 fois. Dernière modification le 03/08/12 08:48 par Danouni.
3 août 2012 10:47
Autre Question :


Vous est il déjà arrivé de vous auto-censurer sur un site d'information marocain et pourquoi ?
M
4 août 2012 00:43
Un spyware, que tout individu trouve un jour sur son ordi est-ce vraiment de l'espionnage et combien même, franchement, quels sont les journaux indépendants physiquement au Maroc qui sont dignent d'être espionnables tant la ligne rouge imposée aux médias est devenue un principe de démocratie d'exception.
4 août 2012 01:08
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.
M
4 août 2012 02:07
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.

80% de la presse algerienne est quasi critique et sans retenue à l'égard du pouvoir a l'exception de certains ( comme ton copain MHENNI ou LOUNES qui ne sont, par essence, pas dans la tranche du libéralisme médiatique)
D'ailleurs tu t'inspires assez de la liberté de la presse algérienne pour casser du sucre sur ces mêmes algériens.
Je peux te citer 50 journaux algeriens qui s'expriment librement et sciamment contre ou pour le pouvoir et d'ailleurs l'algerien lui même ne cesse de le faire en toute liberté dans la rue!
Qu'en est t'il des journaux marocains et même du peuple lui même qui n'ose pas souffler mot contre le makhzen ou particulierement contre le Roi (si non a le faire discretement en craignant que les murs aient des oreilles)?

Au fait, quelle est la position du maroc a propos de la liberté de la presse?

Effectivement ,l'espionnage médiatique existe dans les pays occidentaux certes, mais surement pas avec un simple spyware mais par d'autres moyens pour contrecarrer des révélations d'importance.

Mais, surement pas dans ta petite algérie et moins dans l'encore plus petit maroc qui ne reprend que ce que MAP veux!

Enfin mon pays l'algerie c'est une fierté si c'était le cas, car au moins il l'ya plus de résultats que de blabla, mais remplirais-je les conditions pour devenir ALGERIEN
m
4 août 2012 10:08
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.

80% de la presse algerienne est quasi critique et sans retenue à l'égard du pouvoir a l'exception de certains ( comme ton copain MHENNI ou LOUNES qui ne sont, par essence, pas dans la tranche du libéralisme médiatique)
D'ailleurs tu t'inspires assez de la liberté de la presse algérienne pour casser du sucre sur ces mêmes algériens.
Je peux te citer 50 journaux algeriens qui s'expriment librement et sciamment contre ou pour le pouvoir et d'ailleurs l'algerien lui même ne cesse de le faire en toute liberté dans la rue!
Qu'en est t'il des journaux marocains et même du peuple lui même qui n'ose pas souffler mot contre le makhzen ou particulierement contre le Roi (si non a le faire discretement en craignant que les murs aient des oreilles)?

Au fait, quelle est la position du maroc a propos de la liberté de la presse?

Effectivement ,l'espionnage médiatique existe dans les pays occidentaux certes, mais surement pas avec un simple spyware mais par d'autres moyens pour contrecarrer des révélations d'importance.

Mais, surement pas dans ta petite algérie et moins dans l'encore plus petit maroc qui ne reprend que ce que MAP veux!

Enfin mon pays l'algerie c'est une fierté si c'était le cas, car au moins il l'ya plus de résultats que de blabla, mais remplirais-je les conditions pour devenir ALGERIEN

whistling smileywhistling smileywhistling smiley


[www.socialgerie.net]

[www.lematindz.net]
M
4 août 2012 17:14
Citation
gambeta a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.

80% de la presse algerienne est quasi critique et sans retenue à l'égard du pouvoir a l'exception de certains ( comme ton copain MHENNI ou LOUNES qui ne sont, par essence, pas dans la tranche du libéralisme médiatique)
D'ailleurs tu t'inspires assez de la liberté de la presse algérienne pour casser du sucre sur ces mêmes algériens.
Je peux te citer 50 journaux algeriens qui s'expriment librement et sciamment contre ou pour le pouvoir et d'ailleurs l'algerien lui même ne cesse de le faire en toute liberté dans la rue!
Qu'en est t'il des journaux marocains et même du peuple lui même qui n'ose pas souffler mot contre le makhzen ou particulierement contre le Roi (si non a le faire discretement en craignant que les murs aient des oreilles)?

Au fait, quelle est la position du maroc a propos de la liberté de la presse?

Effectivement ,l'espionnage médiatique existe dans les pays occidentaux certes, mais surement pas avec un simple spyware mais par d'autres moyens pour contrecarrer des révélations d'importance.

Mais, surement pas dans ta petite algérie et moins dans l'encore plus petit maroc qui ne reprend que ce que MAP veux!

Enfin mon pays l'algerie c'est une fierté si c'était le cas, car au moins il l'ya plus de résultats que de blabla, mais remplirais-je les conditions pour devenir ALGERIEN

whistling smileywhistling smileywhistling smiley


[www.socialgerie.net]

[www.lematindz.net]

Je ne tomberais pas dans le ridicule pseudo intellectuel qui consiste à choisir des liens qui plaident une cause sans en analyser l'objectif des personnes concernées qui ont sont les auteurs ( Ahmed RAMI pour le Maroc par exemple),, mais s il y'a une chose a déplorer c'est que le MAROC n'est pas bien mieux loti que son voisin car ils ont au moins cela en commun, la competition dans le ridicule.

en témoigne le RAPPORT AMNYSTY 2012 sur le maroc pour jugement camparatif ( faut t'-il encore le vouloir):

Les forces de sécurité ont fait usage d’une force excessive contre des manifestants. Cette année encore, des détracteurs de la monarchie et des institutions étatiques, ainsi que des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental, ont été poursuivis et emprisonnés. De nouveaux cas de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus ont été signalés. Plusieurs prisonniers d’opinion et un homme victime de détention arbitraire ont recouvré la liberté à la faveur d’une grâce royale, mais les charges retenues contre plusieurs militants sahraouis n’ont pas été abandonnées. Aucune exécution n’a eu lieu.

Contexte
Des milliers de personnes ont manifesté le 20 février à Rabat et à Casablanca, entre autres villes, pour demander des réformes. Ces manifestations, autorisées, ont été généralement pacifiques. Les protestataires, qui n’ont pas tardé à créer le Mouvement du 20 février, réclamaient notamment plus de démocratie, une nouvelle Constitution, l’élimination de la corruption, une amélioration de la situation économique et un renforcement des services de santé. Alors que les manifestations se poursuivaient, un nouveau Conseil national des droits de l’homme a été créé, le 3 mars, en remplacement du Conseil consultatif des droits de l’homme. Le roi a annoncé, le 9 mars, le lancement d’une réforme constitutionnelle. À l’issue d’un processus boycotté par les chefs des protestataires, une nouvelle Constitution a été approuvée par un référendum national le 1er juillet. Les pouvoirs du roi de désigner les hauts fonctionnaires et de dissoudre le Parlement ont été transférés au Premier ministre. Le souverain restait toutefois commandant en chef des forces armées, continuait de présider le Conseil des ministres et demeurait la plus haute autorité religieuse. La nouvelle Constitution garantit également la liberté d’expression et l’égalité entre les hommes et les femmes ; en outre, elle érige en infraction pénale la torture, la détention arbitraire et la disparition forcée. Le Parti de la justice et du développement (PJD), islamiste, a remporté les élections législatives du 25 novembre et un nouveau gouvernement présidé par Abdelilah Benkirane est entré en fonction le 29 novembre.

Le Maroc a levé en avril ses réserves à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, qui concernaient la nationalité des enfants et la discrimination en matière de mariage. Le pays a également annoncé son intention de ratifier le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et le Protocole facultatif à la Convention sur les femmes [ONU].

Les négociations sur le statut du Sahara occidental entre le Maroc, qui a annexé ce territoire en 1975, et le Front Polisario étaient toujours dans l’impasse. Le Front Polisario continuait de réclamer la mise en place d’un État indépendant. Le Conseil de sécurité des Nations unies a renouvelé le 27 avril le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui ne prévoyait aucun mécanisme de surveillance de la situation des droits humains.

Top of page
Répression de la dissidence
Bien que les manifestations en faveur des réformes aient été largement pacifiques, les forces de sécurité seraient dans bien des cas intervenues brutalement contre les rassemblements ; une personne au moins est morte et beaucoup d’autres ont été blessées lors de ces interventions, qui ont donné lieu à des centaines d’interpellations. Si la plupart des manifestants ont été relâchés, certains ont été jugés et condamnés à des peines d’emprisonnement. Les forces de sécurité auraient harcelé des proches de membres du Mouvement du 20 février et elles auraient convoqué aux fins d’interrogatoire de très nombreux militants qui appelaient au boycottage des élections législatives.

•Le 15 mai, des rassemblements et manifestations organisés par le Mouvement du 20 février à Rabat, Fès, Tanger et Témara ont été dispersés à coups de matraque par les forces de sécurité, qui ont également frappé les manifestants à coups de pied et de poing.
•Le 29 mai, une manifestation organisée à Safi par le Mouvement du 20 février a été violemment dispersée par les forces de sécurité. Un manifestant, Kamel Ammari, est mort quelques jours plus tard des suites de ses blessures.
•Le 20 novembre, des membres des forces de sécurité ont pris d’assaut les bureaux de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Bou-Arafa ; ils auraient battu plusieurs membres du personnel ainsi que des jeunes qui se préparaient à rejoindre une manifestation.
Top of page
Liberté d'expression
Des journalistes, entre autres, risquaient toujours d’être poursuivis et emprisonnés pour avoir critiqué publiquement les autorités ou des institutions ou pour avoir commenté des sujets considérés comme politiquement sensibles.

•Le 2 mars, le roi a accordé son pardon à Kaddour Terhzaz, un militaire de haut rang à la retraite qui était emprisonné pour avoir menacé « la sécurité extérieure » du Maroc. Cet homme avait envoyé une lettre au roi dans laquelle il réclamait l’amélioration de la situation des anciens pilotes de l’armée de l’air.
•Le 14 avril, le roi a gracié Chekib El Khiari, journaliste et défenseur des droits humains, qui purgeait une peine de trois ans d’emprisonnement prononcée à son encontre en 2009 parce qu’il avait dénoncé la corruption.
•Le rédacteur en chef du quotidien El Massa, Rachid Nini, a été condamné le 9 juin à un an d’emprisonnement pour diffusion de fausses nouvelles et atteinte à la sécurité nationale. Il avait été arrêté le 28 avril à la suite de la publication d’articles qui critiquaient les pratiques des services de sécurité dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Sa condamnation a été confirmée en appel en octobre.
•Zakaria Moumni, un boxeur condamné pour escroquerie à l’issue d’un procès inéquitable, a été rejugé en décembre et de nouveau déclaré coupable. Il s’est vu infliger une peine de 20 mois d’emprisonnement. Cet homme avait été arrêté en septembre 2010 après avoir critiqué des associations sportives marocaines et tenté à plusieurs reprises de rencontrer le roi. Sa première condamnation reposait sur des « aveux » qui lui auraient été extorqués sous la torture.
•Le chanteur de rap Mouad Belrhouate a été arrêté le 9 septembre, selon toute apparence parce que certaines de ses chansons étaient considérées comme insultantes envers la monarchie. Il était toujours en détention à la fin de l’année, son procès ayant été ajourné à plusieurs reprises.
Top of page
Répression de la dissidence - militants sahraouis
Les autorités continuaient de restreindre l’exercice de la liberté d’expression, d’association et de réunion des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental. Cette année encore, des militants de premier plan ont fait l’objet de poursuites.

•Les militants sahraouis Ahmed Alnasiri, Brahim Dahane et Ali Salem Tamek ont été libérés sous caution le 14 avril. Incarcérés depuis le 8 octobre 2009, ils étaient toujours inculpés, ainsi que quatre autres militants sahraouis, de menace à la « sécurité intérieure » du Maroc en raison de leurs activités pacifiques en faveur de l’autodétermination du Sahara occidental.
•Vingt-trois Sahraouis étaient maintenus en détention dans la prison de Salé, dans l’attente d’un procès inéquitable devant un tribunal militaire pour leur participation présumée à des violences à la fin de 2010, dans le campement de protestation de Gdim Izik, non loin de Laayoune. Les prisonniers ont entamé une grève de la faim à la fin du mois d’octobre pour protester contre leurs conditions de vie et leur maintien en détention sans jugement. Ils n’avaient toujours pas comparu à la fin de l’année.
Aucune enquête indépendante et impartiale n’a été effectuée sur les événements qui se sont déroulés à Gdim Izik et à Laayoune en novembre 2010, lorsque les forces de sécurité marocaines ont démoli le campement de protestation sahraoui. Treize personnes, dont 11 membres des forces de sécurité, avaient trouvé la mort dans les violences consécutives.

Top of page
Torture et autres mauvais traitements
De nouvelles informations ont fait état d’actes de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus, par des agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST) notamment. Les militants islamistes présumés et les membres du Mouvement du 20 février étaient tout particulièrement pris pour cible. Des détenus étaient toujours maintenus au secret, dans certains cas au-delà de la durée maximale de 12 jours de garde à vue autorisée par la loi.

•Les 16 et 17 mai, des détenus de la prison de Salé condamnés pour des infractions liées au terrorisme se sont mutinés pour dénoncer l’iniquité de leurs procès et le recours à la torture dans le centre de détention non reconnu de Témara. Des affrontements ont opposé les détenus et les gardiens, dont plusieurs ont été retenus en otages pendant une courte période ; les membres de l’administration pénitentiaire ont ensuite tiré à balles réelles pour réprimer la mutinerie. Plusieurs prisonniers ont été blessés.
À la fin du mois de mai, Mohamed Hajib, un ressortissant germano-marocain qui purgeait une peine de 10 ans d’emprisonnement, a dû recevoir des soins à l’hôpital après avoir été roué de coups et menacé de viol par des gardiens de la prison de Toulal, à Meknès, où il avait été transféré après avoir participé à la mutinerie de la prison de Salé.

Top of page
Lutte contre le terrorisme et sécurité
Le 28 avril, 17 personnes – des touristes étrangers pour la plupart – ont été tuées et plusieurs autres blessées dans un attentat à l’explosif perpétré dans un café de Marrakech et qui n’a pas été revendiqué. Les autorités l’ont attribué à Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui a nié toute responsabilité.

•Adil Othmani, déclaré coupable de participation à l’attentat à l’explosif contre le café de Marrakech, a été condamné à mort en octobre.
Cinq hommes déclarés coupables en juillet 2009 d’infractions liées au terrorisme dans l’affaire de la « cellule Belliraj » ont été remis en liberté à la faveur de la grâce accordée par le roi le 14 avril. Leur procès avait été entaché d’irrégularités et leurs allégations de torture n’avaient pas fait l’objet d’une enquête.

Top of page
Justice de transition
Les autorités n’ont pas mis en œuvre les recommandations importantes émises par l’Instance équité et réconciliation dans son rapport de novembre 2005. Les victimes d’atteintes graves aux droits humains commises entre l’indépendance du Maroc, en 1956, et la mort du roi Hassan II, en 1999, étaient toujours privées d’accès effectif à la justice.

Top of page
Peine de mort
Les tribunaux marocains prononçaient toujours la peine capitale. La dernière exécution a eu lieu en 1993. À la faveur d’une amnistie prononcée par le roi en avril, cinq condamnés à mort ont vu leur sentence commuée en peine d’emprisonnement

Top of page
Camps du Front Polisario
Le Front Polisario n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’impunité dont bénéficiaient ceux qui étaient accusés d’avoir commis des atteintes aux droits humains durant les années 1970 et 1980 dans les camps de Tindouf (région de Mhiriz, en Algérie), qu’il contrôle.

En octobre, trois employés d’organisations humanitaires – un homme, de nationalité espagnole, et deux femmes, une Italienne et une Espagnole – ont été enlevés par un groupe armé dans un camp de réfugiés géré par le Front Polisario. Ils n’avaient pas été libérés à la fin de l’année.
4 août 2012 22:21
@MELKAFR

Arrête tes copier coller et donne nous directement le lien pour qu'on vérifie par nous même le contenu.

Excuse moi, mais je ne fais pas confiance aux algériens qui viennent sur ce site destiné aux Marocains (en particulier de l’Étranger ) pour nous vendre l’État FLN.

D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi Yabiladi vous autorise à venir nous parler CAR Franchement nous les Marocains, en particulier les MRE, on a strictement RIEN à Faire de l'Algérie.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/08/12 23:57 par Danouni.
4 août 2012 23:37
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Arrête tes copier coller et donnes nous le lien pour qu'on vérifie par nous même le contenu.

Excuse moi, mais je ne fais pas confiance aux algériens qui viennent sur ce site destiné aux Marocains (en particulier de l'Etranger ) pour nous vendre l’État FLN.

D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi Yabiladi vous autorise à venir nous parler CAR Franchement nous les Marocains en particulier MRE, on a strictement RIEN à Faire de l'Algérie.

Là tu m'a bien fait rire...
C'est qui déjà l'auteur de sujets tels que :
"CRISE IDENTITAIRE EN ALGERIE"
" REVELATIONS SUR LE FLN ET LE POLISARI"
"COMMENT LES ALGERIENS VOIENT LES MAROCAINS"
" BOUTEFLIKA EN GRANDE DIFFICULTE "
"..........................................................................."

Ne serait-ce pas un certain Danouni ?



sinon...Maroc/ Algérie qui est le plus au fond ? La bataille continue à faire rage pour la première place ! ptdr
4 août 2012 23:56
@PICDUCAS


Si le FLN n'avait pas créé le Polisario pour nuire au Maroc et Si des propagandistes du FLN ne venaient pas venir nous provoquer sur ce site, je te promets que ni les MRE ni les MRM ne parleraient de l'Algérie.

Crois moi, les MRE , en particulier , ne fantasment sur aucun pays Maghrébin ou Arabe.

Les MRE viennent sur ce site pour parler du Maroc, pays de leurs parents ou grand parents et le reste est secondaire.

Quant aux MRM, ils ont tous les yeux tournés vers l'Europe.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 05/08/12 00:30 par Danouni.
e
5 août 2012 10:24
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
gambeta a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.

80% de la presse algerienne est quasi critique et sans retenue à l'égard du pouvoir a l'exception de certains ( comme ton copain MHENNI ou LOUNES qui ne sont, par essence, pas dans la tranche du libéralisme médiatique)
D'ailleurs tu t'inspires assez de la liberté de la presse algérienne pour casser du sucre sur ces mêmes algériens.
Je peux te citer 50 journaux algeriens qui s'expriment librement et sciamment contre ou pour le pouvoir et d'ailleurs l'algerien lui même ne cesse de le faire en toute liberté dans la rue!
Qu'en est t'il des journaux marocains et même du peuple lui même qui n'ose pas souffler mot contre le makhzen ou particulierement contre le Roi (si non a le faire discretement en craignant que les murs aient des oreilles)?

Au fait, quelle est la position du maroc a propos de la liberté de la presse?

Effectivement ,l'espionnage médiatique existe dans les pays occidentaux certes, mais surement pas avec un simple spyware mais par d'autres moyens pour contrecarrer des révélations d'importance.

Mais, surement pas dans ta petite algérie et moins dans l'encore plus petit maroc qui ne reprend que ce que MAP veux!

Enfin mon pays l'algerie c'est une fierté si c'était le cas, car au moins il l'ya plus de résultats que de blabla, mais remplirais-je les conditions pour devenir ALGERIEN

whistling smileywhistling smileywhistling smiley


[www.socialgerie.net]

[www.lematindz.net]

Je ne tomberais pas dans le ridicule pseudo intellectuel qui consiste à choisir des liens qui plaident une cause sans en analyser l'objectif des personnes concernées qui ont sont les auteurs ( Ahmed RAMI pour le Maroc par exemple),, mais s il y'a une chose a déplorer c'est que le MAROC n'est pas bien mieux loti que son voisin car ils ont au moins cela en commun, la competition dans le ridicule.

en témoigne le RAPPORT AMNYSTY 2012 sur le maroc pour jugement camparatif ( faut t'-il encore le vouloir):

Les forces de sécurité ont fait usage d’une force excessive contre des manifestants. Cette année encore, des détracteurs de la monarchie et des institutions étatiques, ainsi que des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental, ont été poursuivis et emprisonnés. De nouveaux cas de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus ont été signalés. Plusieurs prisonniers d’opinion et un homme victime de détention arbitraire ont recouvré la liberté à la faveur d’une grâce royale, mais les charges retenues contre plusieurs militants sahraouis n’ont pas été abandonnées. Aucune exécution n’a eu lieu.

Contexte
Des milliers de personnes ont manifesté le 20 février à Rabat et à Casablanca, entre autres villes, pour demander des réformes. Ces manifestations, autorisées, ont été généralement pacifiques. Les protestataires, qui n’ont pas tardé à créer le Mouvement du 20 février, réclamaient notamment plus de démocratie, une nouvelle Constitution, l’élimination de la corruption, une amélioration de la situation économique et un renforcement des services de santé. Alors que les manifestations se poursuivaient, un nouveau Conseil national des droits de l’homme a été créé, le 3 mars, en remplacement du Conseil consultatif des droits de l’homme. Le roi a annoncé, le 9 mars, le lancement d’une réforme constitutionnelle. À l’issue d’un processus boycotté par les chefs des protestataires, une nouvelle Constitution a été approuvée par un référendum national le 1er juillet. Les pouvoirs du roi de désigner les hauts fonctionnaires et de dissoudre le Parlement ont été transférés au Premier ministre. Le souverain restait toutefois commandant en chef des forces armées, continuait de présider le Conseil des ministres et demeurait la plus haute autorité religieuse. La nouvelle Constitution garantit également la liberté d’expression et l’égalité entre les hommes et les femmes ; en outre, elle érige en infraction pénale la torture, la détention arbitraire et la disparition forcée. Le Parti de la justice et du développement (PJD), islamiste, a remporté les élections législatives du 25 novembre et un nouveau gouvernement présidé par Abdelilah Benkirane est entré en fonction le 29 novembre.

Le Maroc a levé en avril ses réserves à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, qui concernaient la nationalité des enfants et la discrimination en matière de mariage. Le pays a également annoncé son intention de ratifier le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et le Protocole facultatif à la Convention sur les femmes [ONU].

Les négociations sur le statut du Sahara occidental entre le Maroc, qui a annexé ce territoire en 1975, et le Front Polisario étaient toujours dans l’impasse. Le Front Polisario continuait de réclamer la mise en place d’un État indépendant. Le Conseil de sécurité des Nations unies a renouvelé le 27 avril le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui ne prévoyait aucun mécanisme de surveillance de la situation des droits humains.

Top of page
Répression de la dissidence
Bien que les manifestations en faveur des réformes aient été largement pacifiques, les forces de sécurité seraient dans bien des cas intervenues brutalement contre les rassemblements ; une personne au moins est morte et beaucoup d’autres ont été blessées lors de ces interventions, qui ont donné lieu à des centaines d’interpellations. Si la plupart des manifestants ont été relâchés, certains ont été jugés et condamnés à des peines d’emprisonnement. Les forces de sécurité auraient harcelé des proches de membres du Mouvement du 20 février et elles auraient convoqué aux fins d’interrogatoire de très nombreux militants qui appelaient au boycottage des élections législatives.

•Le 15 mai, des rassemblements et manifestations organisés par le Mouvement du 20 février à Rabat, Fès, Tanger et Témara ont été dispersés à coups de matraque par les forces de sécurité, qui ont également frappé les manifestants à coups de pied et de poing.
•Le 29 mai, une manifestation organisée à Safi par le Mouvement du 20 février a été violemment dispersée par les forces de sécurité. Un manifestant, Kamel Ammari, est mort quelques jours plus tard des suites de ses blessures.
•Le 20 novembre, des membres des forces de sécurité ont pris d’assaut les bureaux de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Bou-Arafa ; ils auraient battu plusieurs membres du personnel ainsi que des jeunes qui se préparaient à rejoindre une manifestation.
Top of page
Liberté d'expression
Des journalistes, entre autres, risquaient toujours d’être poursuivis et emprisonnés pour avoir critiqué publiquement les autorités ou des institutions ou pour avoir commenté des sujets considérés comme politiquement sensibles.

•Le 2 mars, le roi a accordé son pardon à Kaddour Terhzaz, un militaire de haut rang à la retraite qui était emprisonné pour avoir menacé « la sécurité extérieure » du Maroc. Cet homme avait envoyé une lettre au roi dans laquelle il réclamait l’amélioration de la situation des anciens pilotes de l’armée de l’air.
•Le 14 avril, le roi a gracié Chekib El Khiari, journaliste et défenseur des droits humains, qui purgeait une peine de trois ans d’emprisonnement prononcée à son encontre en 2009 parce qu’il avait dénoncé la corruption.
•Le rédacteur en chef du quotidien El Massa, Rachid Nini, a été condamné le 9 juin à un an d’emprisonnement pour diffusion de fausses nouvelles et atteinte à la sécurité nationale. Il avait été arrêté le 28 avril à la suite de la publication d’articles qui critiquaient les pratiques des services de sécurité dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Sa condamnation a été confirmée en appel en octobre.
•Zakaria Moumni, un boxeur condamné pour escroquerie à l’issue d’un procès inéquitable, a été rejugé en décembre et de nouveau déclaré coupable. Il s’est vu infliger une peine de 20 mois d’emprisonnement. Cet homme avait été arrêté en septembre 2010 après avoir critiqué des associations sportives marocaines et tenté à plusieurs reprises de rencontrer le roi. Sa première condamnation reposait sur des « aveux » qui lui auraient été extorqués sous la torture.
•Le chanteur de rap Mouad Belrhouate a été arrêté le 9 septembre, selon toute apparence parce que certaines de ses chansons étaient considérées comme insultantes envers la monarchie. Il était toujours en détention à la fin de l’année, son procès ayant été ajourné à plusieurs reprises.
Top of page
Répression de la dissidence - militants sahraouis
Les autorités continuaient de restreindre l’exercice de la liberté d’expression, d’association et de réunion des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental. Cette année encore, des militants de premier plan ont fait l’objet de poursuites.

•Les militants sahraouis Ahmed Alnasiri, Brahim Dahane et Ali Salem Tamek ont été libérés sous caution le 14 avril. Incarcérés depuis le 8 octobre 2009, ils étaient toujours inculpés, ainsi que quatre autres militants sahraouis, de menace à la « sécurité intérieure » du Maroc en raison de leurs activités pacifiques en faveur de l’autodétermination du Sahara occidental.
•Vingt-trois Sahraouis étaient maintenus en détention dans la prison de Salé, dans l’attente d’un procès inéquitable devant un tribunal militaire pour leur participation présumée à des violences à la fin de 2010, dans le campement de protestation de Gdim Izik, non loin de Laayoune. Les prisonniers ont entamé une grève de la faim à la fin du mois d’octobre pour protester contre leurs conditions de vie et leur maintien en détention sans jugement. Ils n’avaient toujours pas comparu à la fin de l’année.
Aucune enquête indépendante et impartiale n’a été effectuée sur les événements qui se sont déroulés à Gdim Izik et à Laayoune en novembre 2010, lorsque les forces de sécurité marocaines ont démoli le campement de protestation sahraoui. Treize personnes, dont 11 membres des forces de sécurité, avaient trouvé la mort dans les violences consécutives.

Top of page
Torture et autres mauvais traitements
De nouvelles informations ont fait état d’actes de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus, par des agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST) notamment. Les militants islamistes présumés et les membres du Mouvement du 20 février étaient tout particulièrement pris pour cible. Des détenus étaient toujours maintenus au secret, dans certains cas au-delà de la durée maximale de 12 jours de garde à vue autorisée par la loi.

•Les 16 et 17 mai, des détenus de la prison de Salé condamnés pour des infractions liées au terrorisme se sont mutinés pour dénoncer l’iniquité de leurs procès et le recours à la torture dans le centre de détention non reconnu de Témara. Des affrontements ont opposé les détenus et les gardiens, dont plusieurs ont été retenus en otages pendant une courte période ; les membres de l’administration pénitentiaire ont ensuite tiré à balles réelles pour réprimer la mutinerie. Plusieurs prisonniers ont été blessés.
À la fin du mois de mai, Mohamed Hajib, un ressortissant germano-marocain qui purgeait une peine de 10 ans d’emprisonnement, a dû recevoir des soins à l’hôpital après avoir été roué de coups et menacé de viol par des gardiens de la prison de Toulal, à Meknès, où il avait été transféré après avoir participé à la mutinerie de la prison de Salé.

Top of page
Lutte contre le terrorisme et sécurité
Le 28 avril, 17 personnes – des touristes étrangers pour la plupart – ont été tuées et plusieurs autres blessées dans un attentat à l’explosif perpétré dans un café de Marrakech et qui n’a pas été revendiqué. Les autorités l’ont attribué à Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui a nié toute responsabilité.

•Adil Othmani, déclaré coupable de participation à l’attentat à l’explosif contre le café de Marrakech, a été condamné à mort en octobre.
Cinq hommes déclarés coupables en juillet 2009 d’infractions liées au terrorisme dans l’affaire de la « cellule Belliraj » ont été remis en liberté à la faveur de la grâce accordée par le roi le 14 avril. Leur procès avait été entaché d’irrégularités et leurs allégations de torture n’avaient pas fait l’objet d’une enquête.

Top of page
Justice de transition
Les autorités n’ont pas mis en œuvre les recommandations importantes émises par l’Instance équité et réconciliation dans son rapport de novembre 2005. Les victimes d’atteintes graves aux droits humains commises entre l’indépendance du Maroc, en 1956, et la mort du roi Hassan II, en 1999, étaient toujours privées d’accès effectif à la justice.

Top of page
Peine de mort
Les tribunaux marocains prononçaient toujours la peine capitale. La dernière exécution a eu lieu en 1993. À la faveur d’une amnistie prononcée par le roi en avril, cinq condamnés à mort ont vu leur sentence commuée en peine d’emprisonnement

Top of page
Camps du Front Polisario
Le Front Polisario n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’impunité dont bénéficiaient ceux qui étaient accusés d’avoir commis des atteintes aux droits humains durant les années 1970 et 1980 dans les camps de Tindouf (région de Mhiriz, en Algérie), qu’il contrôle.

En octobre, trois employés d’organisations humanitaires – un homme, de nationalité espagnole, et deux femmes, une Italienne et une Espagnole – ont été enlevés par un groupe armé dans un camp de réfugiés géré par le Front Polisario. Ils n’avaient pas été libérés à la fin de l’année.



MOHAMED SMAIN n 'a rien d un Ahmed rami , tu te ridiculise , car lui aux moins il défends une bonne cause :la disparition de nombreux Algériens disparus dans les années 90 , contrairement à toi pour qui ça ne fait ni chaud ,ni froid !
de plus tu nous ramène des petits paragraphes copiés collés par ci par là , pour nous faire croire que ça vient de toi .

D ' ailleurs on s 'en fou !



Je suis Gambeta



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/08/12 12:40 par esprit200.
M
5 août 2012 23:39
Citation
esprit200 a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
gambeta a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.

80% de la presse algerienne est quasi critique et sans retenue à l'égard du pouvoir a l'exception de certains ( comme ton copain MHENNI ou LOUNES qui ne sont, par essence, pas dans la tranche du libéralisme médiatique)
D'ailleurs tu t'inspires assez de la liberté de la presse algérienne pour casser du sucre sur ces mêmes algériens.
Je peux te citer 50 journaux algeriens qui s'expriment librement et sciamment contre ou pour le pouvoir et d'ailleurs l'algerien lui même ne cesse de le faire en toute liberté dans la rue!
Qu'en est t'il des journaux marocains et même du peuple lui même qui n'ose pas souffler mot contre le makhzen ou particulierement contre le Roi (si non a le faire discretement en craignant que les murs aient des oreilles)?

Au fait, quelle est la position du maroc a propos de la liberté de la presse?

Effectivement ,l'espionnage médiatique existe dans les pays occidentaux certes, mais surement pas avec un simple spyware mais par d'autres moyens pour contrecarrer des révélations d'importance.

Mais, surement pas dans ta petite algérie et moins dans l'encore plus petit maroc qui ne reprend que ce que MAP veux!

Enfin mon pays l'algerie c'est une fierté si c'était le cas, car au moins il l'ya plus de résultats que de blabla, mais remplirais-je les conditions pour devenir ALGERIEN

whistling smileywhistling smileywhistling smiley


[www.socialgerie.net]

[www.lematindz.net]

Je ne tomberais pas dans le ridicule pseudo intellectuel qui consiste à choisir des liens qui plaident une cause sans en analyser l'objectif des personnes concernées qui ont sont les auteurs ( Ahmed RAMI pour le Maroc par exemple),, mais s il y'a une chose a déplorer c'est que le MAROC n'est pas bien mieux loti que son voisin car ils ont au moins cela en commun, la competition dans le ridicule.

en témoigne le RAPPORT AMNYSTY 2012 sur le maroc pour jugement camparatif ( faut t'-il encore le vouloir):

Les forces de sécurité ont fait usage d’une force excessive contre des manifestants. Cette année encore, des détracteurs de la monarchie et des institutions étatiques, ainsi que des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental, ont été poursuivis et emprisonnés. De nouveaux cas de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus ont été signalés. Plusieurs prisonniers d’opinion et un homme victime de détention arbitraire ont recouvré la liberté à la faveur d’une grâce royale, mais les charges retenues contre plusieurs militants sahraouis n’ont pas été abandonnées. Aucune exécution n’a eu lieu.

Contexte
Des milliers de personnes ont manifesté le 20 février à Rabat et à Casablanca, entre autres villes, pour demander des réformes. Ces manifestations, autorisées, ont été généralement pacifiques. Les protestataires, qui n’ont pas tardé à créer le Mouvement du 20 février, réclamaient notamment plus de démocratie, une nouvelle Constitution, l’élimination de la corruption, une amélioration de la situation économique et un renforcement des services de santé. Alors que les manifestations se poursuivaient, un nouveau Conseil national des droits de l’homme a été créé, le 3 mars, en remplacement du Conseil consultatif des droits de l’homme. Le roi a annoncé, le 9 mars, le lancement d’une réforme constitutionnelle. À l’issue d’un processus boycotté par les chefs des protestataires, une nouvelle Constitution a été approuvée par un référendum national le 1er juillet. Les pouvoirs du roi de désigner les hauts fonctionnaires et de dissoudre le Parlement ont été transférés au Premier ministre. Le souverain restait toutefois commandant en chef des forces armées, continuait de présider le Conseil des ministres et demeurait la plus haute autorité religieuse. La nouvelle Constitution garantit également la liberté d’expression et l’égalité entre les hommes et les femmes ; en outre, elle érige en infraction pénale la torture, la détention arbitraire et la disparition forcée. Le Parti de la justice et du développement (PJD), islamiste, a remporté les élections législatives du 25 novembre et un nouveau gouvernement présidé par Abdelilah Benkirane est entré en fonction le 29 novembre.

Le Maroc a levé en avril ses réserves à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, qui concernaient la nationalité des enfants et la discrimination en matière de mariage. Le pays a également annoncé son intention de ratifier le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et le Protocole facultatif à la Convention sur les femmes [ONU].

Les négociations sur le statut du Sahara occidental entre le Maroc, qui a annexé ce territoire en 1975, et le Front Polisario étaient toujours dans l’impasse. Le Front Polisario continuait de réclamer la mise en place d’un État indépendant. Le Conseil de sécurité des Nations unies a renouvelé le 27 avril le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui ne prévoyait aucun mécanisme de surveillance de la situation des droits humains.

Top of page
Répression de la dissidence
Bien que les manifestations en faveur des réformes aient été largement pacifiques, les forces de sécurité seraient dans bien des cas intervenues brutalement contre les rassemblements ; une personne au moins est morte et beaucoup d’autres ont été blessées lors de ces interventions, qui ont donné lieu à des centaines d’interpellations. Si la plupart des manifestants ont été relâchés, certains ont été jugés et condamnés à des peines d’emprisonnement. Les forces de sécurité auraient harcelé des proches de membres du Mouvement du 20 février et elles auraient convoqué aux fins d’interrogatoire de très nombreux militants qui appelaient au boycottage des élections législatives.

•Le 15 mai, des rassemblements et manifestations organisés par le Mouvement du 20 février à Rabat, Fès, Tanger et Témara ont été dispersés à coups de matraque par les forces de sécurité, qui ont également frappé les manifestants à coups de pied et de poing.
•Le 29 mai, une manifestation organisée à Safi par le Mouvement du 20 février a été violemment dispersée par les forces de sécurité. Un manifestant, Kamel Ammari, est mort quelques jours plus tard des suites de ses blessures.
•Le 20 novembre, des membres des forces de sécurité ont pris d’assaut les bureaux de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Bou-Arafa ; ils auraient battu plusieurs membres du personnel ainsi que des jeunes qui se préparaient à rejoindre une manifestation.
Top of page
Liberté d'expression
Des journalistes, entre autres, risquaient toujours d’être poursuivis et emprisonnés pour avoir critiqué publiquement les autorités ou des institutions ou pour avoir commenté des sujets considérés comme politiquement sensibles.

•Le 2 mars, le roi a accordé son pardon à Kaddour Terhzaz, un militaire de haut rang à la retraite qui était emprisonné pour avoir menacé « la sécurité extérieure » du Maroc. Cet homme avait envoyé une lettre au roi dans laquelle il réclamait l’amélioration de la situation des anciens pilotes de l’armée de l’air.
•Le 14 avril, le roi a gracié Chekib El Khiari, journaliste et défenseur des droits humains, qui purgeait une peine de trois ans d’emprisonnement prononcée à son encontre en 2009 parce qu’il avait dénoncé la corruption.
•Le rédacteur en chef du quotidien El Massa, Rachid Nini, a été condamné le 9 juin à un an d’emprisonnement pour diffusion de fausses nouvelles et atteinte à la sécurité nationale. Il avait été arrêté le 28 avril à la suite de la publication d’articles qui critiquaient les pratiques des services de sécurité dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Sa condamnation a été confirmée en appel en octobre.
•Zakaria Moumni, un boxeur condamné pour escroquerie à l’issue d’un procès inéquitable, a été rejugé en décembre et de nouveau déclaré coupable. Il s’est vu infliger une peine de 20 mois d’emprisonnement. Cet homme avait été arrêté en septembre 2010 après avoir critiqué des associations sportives marocaines et tenté à plusieurs reprises de rencontrer le roi. Sa première condamnation reposait sur des « aveux » qui lui auraient été extorqués sous la torture.
•Le chanteur de rap Mouad Belrhouate a été arrêté le 9 septembre, selon toute apparence parce que certaines de ses chansons étaient considérées comme insultantes envers la monarchie. Il était toujours en détention à la fin de l’année, son procès ayant été ajourné à plusieurs reprises.
Top of page
Répression de la dissidence - militants sahraouis
Les autorités continuaient de restreindre l’exercice de la liberté d’expression, d’association et de réunion des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental. Cette année encore, des militants de premier plan ont fait l’objet de poursuites.

•Les militants sahraouis Ahmed Alnasiri, Brahim Dahane et Ali Salem Tamek ont été libérés sous caution le 14 avril. Incarcérés depuis le 8 octobre 2009, ils étaient toujours inculpés, ainsi que quatre autres militants sahraouis, de menace à la « sécurité intérieure » du Maroc en raison de leurs activités pacifiques en faveur de l’autodétermination du Sahara occidental.
•Vingt-trois Sahraouis étaient maintenus en détention dans la prison de Salé, dans l’attente d’un procès inéquitable devant un tribunal militaire pour leur participation présumée à des violences à la fin de 2010, dans le campement de protestation de Gdim Izik, non loin de Laayoune. Les prisonniers ont entamé une grève de la faim à la fin du mois d’octobre pour protester contre leurs conditions de vie et leur maintien en détention sans jugement. Ils n’avaient toujours pas comparu à la fin de l’année.
Aucune enquête indépendante et impartiale n’a été effectuée sur les événements qui se sont déroulés à Gdim Izik et à Laayoune en novembre 2010, lorsque les forces de sécurité marocaines ont démoli le campement de protestation sahraoui. Treize personnes, dont 11 membres des forces de sécurité, avaient trouvé la mort dans les violences consécutives.

Top of page
Torture et autres mauvais traitements
De nouvelles informations ont fait état d’actes de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus, par des agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST) notamment. Les militants islamistes présumés et les membres du Mouvement du 20 février étaient tout particulièrement pris pour cible. Des détenus étaient toujours maintenus au secret, dans certains cas au-delà de la durée maximale de 12 jours de garde à vue autorisée par la loi.

•Les 16 et 17 mai, des détenus de la prison de Salé condamnés pour des infractions liées au terrorisme se sont mutinés pour dénoncer l’iniquité de leurs procès et le recours à la torture dans le centre de détention non reconnu de Témara. Des affrontements ont opposé les détenus et les gardiens, dont plusieurs ont été retenus en otages pendant une courte période ; les membres de l’administration pénitentiaire ont ensuite tiré à balles réelles pour réprimer la mutinerie. Plusieurs prisonniers ont été blessés.
À la fin du mois de mai, Mohamed Hajib, un ressortissant germano-marocain qui purgeait une peine de 10 ans d’emprisonnement, a dû recevoir des soins à l’hôpital après avoir été roué de coups et menacé de viol par des gardiens de la prison de Toulal, à Meknès, où il avait été transféré après avoir participé à la mutinerie de la prison de Salé.

Top of page
Lutte contre le terrorisme et sécurité
Le 28 avril, 17 personnes – des touristes étrangers pour la plupart – ont été tuées et plusieurs autres blessées dans un attentat à l’explosif perpétré dans un café de Marrakech et qui n’a pas été revendiqué. Les autorités l’ont attribué à Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui a nié toute responsabilité.

•Adil Othmani, déclaré coupable de participation à l’attentat à l’explosif contre le café de Marrakech, a été condamné à mort en octobre.
Cinq hommes déclarés coupables en juillet 2009 d’infractions liées au terrorisme dans l’affaire de la « cellule Belliraj » ont été remis en liberté à la faveur de la grâce accordée par le roi le 14 avril. Leur procès avait été entaché d’irrégularités et leurs allégations de torture n’avaient pas fait l’objet d’une enquête.

Top of page
Justice de transition
Les autorités n’ont pas mis en œuvre les recommandations importantes émises par l’Instance équité et réconciliation dans son rapport de novembre 2005. Les victimes d’atteintes graves aux droits humains commises entre l’indépendance du Maroc, en 1956, et la mort du roi Hassan II, en 1999, étaient toujours privées d’accès effectif à la justice.

Top of page
Peine de mort
Les tribunaux marocains prononçaient toujours la peine capitale. La dernière exécution a eu lieu en 1993. À la faveur d’une amnistie prononcée par le roi en avril, cinq condamnés à mort ont vu leur sentence commuée en peine d’emprisonnement

Top of page
Camps du Front Polisario
Le Front Polisario n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’impunité dont bénéficiaient ceux qui étaient accusés d’avoir commis des atteintes aux droits humains durant les années 1970 et 1980 dans les camps de Tindouf (région de Mhiriz, en Algérie), qu’il contrôle.

En octobre, trois employés d’organisations humanitaires – un homme, de nationalité espagnole, et deux femmes, une Italienne et une Espagnole – ont été enlevés par un groupe armé dans un camp de réfugiés géré par le Front Polisario. Ils n’avaient pas été libérés à la fin de l’année.



MOHAMED SMAIN n 'a rien d un Ahmed rami , tu te ridiculise , car lui aux moins il défends une bonne cause :la disparition de nombreux Algériens disparus dans les années 90 , contrairement à toi pour qui ça ne fait ni chaud ,ni froid !
de plus tu nous ramène des petits paragraphes copiés collés par ci par là , pour nous faire croire que ça vient de toi .

D ' ailleurs on s 'en fou !



Je suis Gambeta

Tu deshonore Gambetta!
Tu semble pas connaitre AHMED RAMI le marocain,
Veux tu que je fasse quelque copie coller pour que tu comprenne bien de qui il s'agit?
e
6 août 2012 08:57
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
esprit200 a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
gambeta a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.

80% de la presse algerienne est quasi critique et sans retenue à l'égard du pouvoir a l'exception de certains ( comme ton copain MHENNI ou LOUNES qui ne sont, par essence, pas dans la tranche du libéralisme médiatique)
D'ailleurs tu t'inspires assez de la liberté de la presse algérienne pour casser du sucre sur ces mêmes algériens.
Je peux te citer 50 journaux algeriens qui s'expriment librement et sciamment contre ou pour le pouvoir et d'ailleurs l'algerien lui même ne cesse de le faire en toute liberté dans la rue!
Qu'en est t'il des journaux marocains et même du peuple lui même qui n'ose pas souffler mot contre le makhzen ou particulierement contre le Roi (si non a le faire discretement en craignant que les murs aient des oreilles)?

Au fait, quelle est la position du maroc a propos de la liberté de la presse?

Effectivement ,l'espionnage médiatique existe dans les pays occidentaux certes, mais surement pas avec un simple spyware mais par d'autres moyens pour contrecarrer des révélations d'importance.

Mais, surement pas dans ta petite algérie et moins dans l'encore plus petit maroc qui ne reprend que ce que MAP veux!

Enfin mon pays l'algerie c'est une fierté si c'était le cas, car au moins il l'ya plus de résultats que de blabla, mais remplirais-je les conditions pour devenir ALGERIEN

whistling smileywhistling smileywhistling smiley


[www.socialgerie.net]

[www.lematindz.net]

Je ne tomberais pas dans le ridicule pseudo intellectuel qui consiste à choisir des liens qui plaident une cause sans en analyser l'objectif des personnes concernées qui ont sont les auteurs ( Ahmed RAMI pour le Maroc par exemple),, mais s il y'a une chose a déplorer c'est que le MAROC n'est pas bien mieux loti que son voisin car ils ont au moins cela en commun, la competition dans le ridicule.

en témoigne le RAPPORT AMNYSTY 2012 sur le maroc pour jugement camparatif ( faut t'-il encore le vouloir):

Les forces de sécurité ont fait usage d’une force excessive contre des manifestants. Cette année encore, des détracteurs de la monarchie et des institutions étatiques, ainsi que des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental, ont été poursuivis et emprisonnés. De nouveaux cas de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus ont été signalés. Plusieurs prisonniers d’opinion et un homme victime de détention arbitraire ont recouvré la liberté à la faveur d’une grâce royale, mais les charges retenues contre plusieurs militants sahraouis n’ont pas été abandonnées. Aucune exécution n’a eu lieu.

Contexte
Des milliers de personnes ont manifesté le 20 février à Rabat et à Casablanca, entre autres villes, pour demander des réformes. Ces manifestations, autorisées, ont été généralement pacifiques. Les protestataires, qui n’ont pas tardé à créer le Mouvement du 20 février, réclamaient notamment plus de démocratie, une nouvelle Constitution, l’élimination de la corruption, une amélioration de la situation économique et un renforcement des services de santé. Alors que les manifestations se poursuivaient, un nouveau Conseil national des droits de l’homme a été créé, le 3 mars, en remplacement du Conseil consultatif des droits de l’homme. Le roi a annoncé, le 9 mars, le lancement d’une réforme constitutionnelle. À l’issue d’un processus boycotté par les chefs des protestataires, une nouvelle Constitution a été approuvée par un référendum national le 1er juillet. Les pouvoirs du roi de désigner les hauts fonctionnaires et de dissoudre le Parlement ont été transférés au Premier ministre. Le souverain restait toutefois commandant en chef des forces armées, continuait de présider le Conseil des ministres et demeurait la plus haute autorité religieuse. La nouvelle Constitution garantit également la liberté d’expression et l’égalité entre les hommes et les femmes ; en outre, elle érige en infraction pénale la torture, la détention arbitraire et la disparition forcée. Le Parti de la justice et du développement (PJD), islamiste, a remporté les élections législatives du 25 novembre et un nouveau gouvernement présidé par Abdelilah Benkirane est entré en fonction le 29 novembre.

Le Maroc a levé en avril ses réserves à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, qui concernaient la nationalité des enfants et la discrimination en matière de mariage. Le pays a également annoncé son intention de ratifier le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et le Protocole facultatif à la Convention sur les femmes [ONU].

Les négociations sur le statut du Sahara occidental entre le Maroc, qui a annexé ce territoire en 1975, et le Front Polisario étaient toujours dans l’impasse. Le Front Polisario continuait de réclamer la mise en place d’un État indépendant. Le Conseil de sécurité des Nations unies a renouvelé le 27 avril le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui ne prévoyait aucun mécanisme de surveillance de la situation des droits humains.

Top of page
Répression de la dissidence
Bien que les manifestations en faveur des réformes aient été largement pacifiques, les forces de sécurité seraient dans bien des cas intervenues brutalement contre les rassemblements ; une personne au moins est morte et beaucoup d’autres ont été blessées lors de ces interventions, qui ont donné lieu à des centaines d’interpellations. Si la plupart des manifestants ont été relâchés, certains ont été jugés et condamnés à des peines d’emprisonnement. Les forces de sécurité auraient harcelé des proches de membres du Mouvement du 20 février et elles auraient convoqué aux fins d’interrogatoire de très nombreux militants qui appelaient au boycottage des élections législatives.

•Le 15 mai, des rassemblements et manifestations organisés par le Mouvement du 20 février à Rabat, Fès, Tanger et Témara ont été dispersés à coups de matraque par les forces de sécurité, qui ont également frappé les manifestants à coups de pied et de poing.
•Le 29 mai, une manifestation organisée à Safi par le Mouvement du 20 février a été violemment dispersée par les forces de sécurité. Un manifestant, Kamel Ammari, est mort quelques jours plus tard des suites de ses blessures.
•Le 20 novembre, des membres des forces de sécurité ont pris d’assaut les bureaux de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Bou-Arafa ; ils auraient battu plusieurs membres du personnel ainsi que des jeunes qui se préparaient à rejoindre une manifestation.
Top of page
Liberté d'expression
Des journalistes, entre autres, risquaient toujours d’être poursuivis et emprisonnés pour avoir critiqué publiquement les autorités ou des institutions ou pour avoir commenté des sujets considérés comme politiquement sensibles.

•Le 2 mars, le roi a accordé son pardon à Kaddour Terhzaz, un militaire de haut rang à la retraite qui était emprisonné pour avoir menacé « la sécurité extérieure » du Maroc. Cet homme avait envoyé une lettre au roi dans laquelle il réclamait l’amélioration de la situation des anciens pilotes de l’armée de l’air.
•Le 14 avril, le roi a gracié Chekib El Khiari, journaliste et défenseur des droits humains, qui purgeait une peine de trois ans d’emprisonnement prononcée à son encontre en 2009 parce qu’il avait dénoncé la corruption.
•Le rédacteur en chef du quotidien El Massa, Rachid Nini, a été condamné le 9 juin à un an d’emprisonnement pour diffusion de fausses nouvelles et atteinte à la sécurité nationale. Il avait été arrêté le 28 avril à la suite de la publication d’articles qui critiquaient les pratiques des services de sécurité dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Sa condamnation a été confirmée en appel en octobre.
•Zakaria Moumni, un boxeur condamné pour escroquerie à l’issue d’un procès inéquitable, a été rejugé en décembre et de nouveau déclaré coupable. Il s’est vu infliger une peine de 20 mois d’emprisonnement. Cet homme avait été arrêté en septembre 2010 après avoir critiqué des associations sportives marocaines et tenté à plusieurs reprises de rencontrer le roi. Sa première condamnation reposait sur des « aveux » qui lui auraient été extorqués sous la torture.
•Le chanteur de rap Mouad Belrhouate a été arrêté le 9 septembre, selon toute apparence parce que certaines de ses chansons étaient considérées comme insultantes envers la monarchie. Il était toujours en détention à la fin de l’année, son procès ayant été ajourné à plusieurs reprises.
Top of page
Répression de la dissidence - militants sahraouis
Les autorités continuaient de restreindre l’exercice de la liberté d’expression, d’association et de réunion des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental. Cette année encore, des militants de premier plan ont fait l’objet de poursuites.

•Les militants sahraouis Ahmed Alnasiri, Brahim Dahane et Ali Salem Tamek ont été libérés sous caution le 14 avril. Incarcérés depuis le 8 octobre 2009, ils étaient toujours inculpés, ainsi que quatre autres militants sahraouis, de menace à la « sécurité intérieure » du Maroc en raison de leurs activités pacifiques en faveur de l’autodétermination du Sahara occidental.
•Vingt-trois Sahraouis étaient maintenus en détention dans la prison de Salé, dans l’attente d’un procès inéquitable devant un tribunal militaire pour leur participation présumée à des violences à la fin de 2010, dans le campement de protestation de Gdim Izik, non loin de Laayoune. Les prisonniers ont entamé une grève de la faim à la fin du mois d’octobre pour protester contre leurs conditions de vie et leur maintien en détention sans jugement. Ils n’avaient toujours pas comparu à la fin de l’année.
Aucune enquête indépendante et impartiale n’a été effectuée sur les événements qui se sont déroulés à Gdim Izik et à Laayoune en novembre 2010, lorsque les forces de sécurité marocaines ont démoli le campement de protestation sahraoui. Treize personnes, dont 11 membres des forces de sécurité, avaient trouvé la mort dans les violences consécutives.

Top of page
Torture et autres mauvais traitements
De nouvelles informations ont fait état d’actes de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus, par des agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST) notamment. Les militants islamistes présumés et les membres du Mouvement du 20 février étaient tout particulièrement pris pour cible. Des détenus étaient toujours maintenus au secret, dans certains cas au-delà de la durée maximale de 12 jours de garde à vue autorisée par la loi.

•Les 16 et 17 mai, des détenus de la prison de Salé condamnés pour des infractions liées au terrorisme se sont mutinés pour dénoncer l’iniquité de leurs procès et le recours à la torture dans le centre de détention non reconnu de Témara. Des affrontements ont opposé les détenus et les gardiens, dont plusieurs ont été retenus en otages pendant une courte période ; les membres de l’administration pénitentiaire ont ensuite tiré à balles réelles pour réprimer la mutinerie. Plusieurs prisonniers ont été blessés.
À la fin du mois de mai, Mohamed Hajib, un ressortissant germano-marocain qui purgeait une peine de 10 ans d’emprisonnement, a dû recevoir des soins à l’hôpital après avoir été roué de coups et menacé de viol par des gardiens de la prison de Toulal, à Meknès, où il avait été transféré après avoir participé à la mutinerie de la prison de Salé.

Top of page
Lutte contre le terrorisme et sécurité
Le 28 avril, 17 personnes – des touristes étrangers pour la plupart – ont été tuées et plusieurs autres blessées dans un attentat à l’explosif perpétré dans un café de Marrakech et qui n’a pas été revendiqué. Les autorités l’ont attribué à Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui a nié toute responsabilité.

•Adil Othmani, déclaré coupable de participation à l’attentat à l’explosif contre le café de Marrakech, a été condamné à mort en octobre.
Cinq hommes déclarés coupables en juillet 2009 d’infractions liées au terrorisme dans l’affaire de la « cellule Belliraj » ont été remis en liberté à la faveur de la grâce accordée par le roi le 14 avril. Leur procès avait été entaché d’irrégularités et leurs allégations de torture n’avaient pas fait l’objet d’une enquête.

Top of page
Justice de transition
Les autorités n’ont pas mis en œuvre les recommandations importantes émises par l’Instance équité et réconciliation dans son rapport de novembre 2005. Les victimes d’atteintes graves aux droits humains commises entre l’indépendance du Maroc, en 1956, et la mort du roi Hassan II, en 1999, étaient toujours privées d’accès effectif à la justice.

Top of page
Peine de mort
Les tribunaux marocains prononçaient toujours la peine capitale. La dernière exécution a eu lieu en 1993. À la faveur d’une amnistie prononcée par le roi en avril, cinq condamnés à mort ont vu leur sentence commuée en peine d’emprisonnement

Top of page
Camps du Front Polisario
Le Front Polisario n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’impunité dont bénéficiaient ceux qui étaient accusés d’avoir commis des atteintes aux droits humains durant les années 1970 et 1980 dans les camps de Tindouf (région de Mhiriz, en Algérie), qu’il contrôle.

En octobre, trois employés d’organisations humanitaires – un homme, de nationalité espagnole, et deux femmes, une Italienne et une Espagnole – ont été enlevés par un groupe armé dans un camp de réfugiés géré par le Front Polisario. Ils n’avaient pas été libérés à la fin de l’année.



MOHAMED SMAIN n 'a rien d un Ahmed rami , tu te ridiculise , car lui aux moins il défends une bonne cause :la disparition de nombreux Algériens disparus dans les années 90 , contrairement à toi pour qui ça ne fait ni chaud ,ni froid !
de plus tu nous ramène des petits paragraphes copiés collés par ci par là , pour nous faire croire que ça vient de toi .

D ' ailleurs on s 'en fou !



Je suis Gambeta

Tu deshonore Gambetta!
Tu semble pas connaitre AHMED RAMI le marocain,
Veux tu que je fasse quelque copie coller pour que tu comprenne bien de qui il s'agit?


Bientôt tu viendra nous apprendre comment faire pour gérer notre vie et nous dire que c ' est toi qui nous connait mieux que nous même ptdr

Je ne tiens pas à débattre avec toi à ce sujet puisque tu fais partie de ces gens là que tu nous cite !
e
6 août 2012 09:13
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
esprit200 a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
gambeta a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
Danouni a écrit:
@MELKAFR

Tous les journalistes même dans des pays démocratiques sont espionnés.

Dans le cas de l'Algérie, ton pays, j'espère que tu n’ignores pas que ce phénomène existe aussi.

Tu peux lire SAAD LOUNES, journaliste algérien indépendant qui vit en exil en France suite à des persécutions répétées du FLN.

80% de la presse algerienne est quasi critique et sans retenue à l'égard du pouvoir a l'exception de certains ( comme ton copain MHENNI ou LOUNES qui ne sont, par essence, pas dans la tranche du libéralisme médiatique)
D'ailleurs tu t'inspires assez de la liberté de la presse algérienne pour casser du sucre sur ces mêmes algériens.
Je peux te citer 50 journaux algeriens qui s'expriment librement et sciamment contre ou pour le pouvoir et d'ailleurs l'algerien lui même ne cesse de le faire en toute liberté dans la rue!
Qu'en est t'il des journaux marocains et même du peuple lui même qui n'ose pas souffler mot contre le makhzen ou particulierement contre le Roi (si non a le faire discretement en craignant que les murs aient des oreilles)?

Au fait, quelle est la position du maroc a propos de la liberté de la presse?

Effectivement ,l'espionnage médiatique existe dans les pays occidentaux certes, mais surement pas avec un simple spyware mais par d'autres moyens pour contrecarrer des révélations d'importance.

Mais, surement pas dans ta petite algérie et moins dans l'encore plus petit maroc qui ne reprend que ce que MAP veux!

Enfin mon pays l'algerie c'est une fierté si c'était le cas, car au moins il l'ya plus de résultats que de blabla, mais remplirais-je les conditions pour devenir ALGERIEN

whistling smileywhistling smileywhistling smiley


[www.socialgerie.net]

[www.lematindz.net]

Je ne tomberais pas dans le ridicule pseudo intellectuel qui consiste à choisir des liens qui plaident une cause sans en analyser l'objectif des personnes concernées qui ont sont les auteurs ( Ahmed RAMI pour le Maroc par exemple),, mais s il y'a une chose a déplorer c'est que le MAROC n'est pas bien mieux loti que son voisin car ils ont au moins cela en commun, la competition dans le ridicule.

en témoigne le RAPPORT AMNYSTY 2012 sur le maroc pour jugement camparatif ( faut t'-il encore le vouloir):

Les forces de sécurité ont fait usage d’une force excessive contre des manifestants. Cette année encore, des détracteurs de la monarchie et des institutions étatiques, ainsi que des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental, ont été poursuivis et emprisonnés. De nouveaux cas de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus ont été signalés. Plusieurs prisonniers d’opinion et un homme victime de détention arbitraire ont recouvré la liberté à la faveur d’une grâce royale, mais les charges retenues contre plusieurs militants sahraouis n’ont pas été abandonnées. Aucune exécution n’a eu lieu.

Contexte
Des milliers de personnes ont manifesté le 20 février à Rabat et à Casablanca, entre autres villes, pour demander des réformes. Ces manifestations, autorisées, ont été généralement pacifiques. Les protestataires, qui n’ont pas tardé à créer le Mouvement du 20 février, réclamaient notamment plus de démocratie, une nouvelle Constitution, l’élimination de la corruption, une amélioration de la situation économique et un renforcement des services de santé. Alors que les manifestations se poursuivaient, un nouveau Conseil national des droits de l’homme a été créé, le 3 mars, en remplacement du Conseil consultatif des droits de l’homme. Le roi a annoncé, le 9 mars, le lancement d’une réforme constitutionnelle. À l’issue d’un processus boycotté par les chefs des protestataires, une nouvelle Constitution a été approuvée par un référendum national le 1er juillet. Les pouvoirs du roi de désigner les hauts fonctionnaires et de dissoudre le Parlement ont été transférés au Premier ministre. Le souverain restait toutefois commandant en chef des forces armées, continuait de présider le Conseil des ministres et demeurait la plus haute autorité religieuse. La nouvelle Constitution garantit également la liberté d’expression et l’égalité entre les hommes et les femmes ; en outre, elle érige en infraction pénale la torture, la détention arbitraire et la disparition forcée. Le Parti de la justice et du développement (PJD), islamiste, a remporté les élections législatives du 25 novembre et un nouveau gouvernement présidé par Abdelilah Benkirane est entré en fonction le 29 novembre.

Le Maroc a levé en avril ses réserves à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, qui concernaient la nationalité des enfants et la discrimination en matière de mariage. Le pays a également annoncé son intention de ratifier le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et le Protocole facultatif à la Convention sur les femmes [ONU].

Les négociations sur le statut du Sahara occidental entre le Maroc, qui a annexé ce territoire en 1975, et le Front Polisario étaient toujours dans l’impasse. Le Front Polisario continuait de réclamer la mise en place d’un État indépendant. Le Conseil de sécurité des Nations unies a renouvelé le 27 avril le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui ne prévoyait aucun mécanisme de surveillance de la situation des droits humains.

Top of page
Répression de la dissidence
Bien que les manifestations en faveur des réformes aient été largement pacifiques, les forces de sécurité seraient dans bien des cas intervenues brutalement contre les rassemblements ; une personne au moins est morte et beaucoup d’autres ont été blessées lors de ces interventions, qui ont donné lieu à des centaines d’interpellations. Si la plupart des manifestants ont été relâchés, certains ont été jugés et condamnés à des peines d’emprisonnement. Les forces de sécurité auraient harcelé des proches de membres du Mouvement du 20 février et elles auraient convoqué aux fins d’interrogatoire de très nombreux militants qui appelaient au boycottage des élections législatives.

•Le 15 mai, des rassemblements et manifestations organisés par le Mouvement du 20 février à Rabat, Fès, Tanger et Témara ont été dispersés à coups de matraque par les forces de sécurité, qui ont également frappé les manifestants à coups de pied et de poing.
•Le 29 mai, une manifestation organisée à Safi par le Mouvement du 20 février a été violemment dispersée par les forces de sécurité. Un manifestant, Kamel Ammari, est mort quelques jours plus tard des suites de ses blessures.
•Le 20 novembre, des membres des forces de sécurité ont pris d’assaut les bureaux de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Bou-Arafa ; ils auraient battu plusieurs membres du personnel ainsi que des jeunes qui se préparaient à rejoindre une manifestation.
Top of page
Liberté d'expression
Des journalistes, entre autres, risquaient toujours d’être poursuivis et emprisonnés pour avoir critiqué publiquement les autorités ou des institutions ou pour avoir commenté des sujets considérés comme politiquement sensibles.

•Le 2 mars, le roi a accordé son pardon à Kaddour Terhzaz, un militaire de haut rang à la retraite qui était emprisonné pour avoir menacé « la sécurité extérieure » du Maroc. Cet homme avait envoyé une lettre au roi dans laquelle il réclamait l’amélioration de la situation des anciens pilotes de l’armée de l’air.
•Le 14 avril, le roi a gracié Chekib El Khiari, journaliste et défenseur des droits humains, qui purgeait une peine de trois ans d’emprisonnement prononcée à son encontre en 2009 parce qu’il avait dénoncé la corruption.
•Le rédacteur en chef du quotidien El Massa, Rachid Nini, a été condamné le 9 juin à un an d’emprisonnement pour diffusion de fausses nouvelles et atteinte à la sécurité nationale. Il avait été arrêté le 28 avril à la suite de la publication d’articles qui critiquaient les pratiques des services de sécurité dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Sa condamnation a été confirmée en appel en octobre.
•Zakaria Moumni, un boxeur condamné pour escroquerie à l’issue d’un procès inéquitable, a été rejugé en décembre et de nouveau déclaré coupable. Il s’est vu infliger une peine de 20 mois d’emprisonnement. Cet homme avait été arrêté en septembre 2010 après avoir critiqué des associations sportives marocaines et tenté à plusieurs reprises de rencontrer le roi. Sa première condamnation reposait sur des « aveux » qui lui auraient été extorqués sous la torture.
•Le chanteur de rap Mouad Belrhouate a été arrêté le 9 septembre, selon toute apparence parce que certaines de ses chansons étaient considérées comme insultantes envers la monarchie. Il était toujours en détention à la fin de l’année, son procès ayant été ajourné à plusieurs reprises.
Top of page
Répression de la dissidence - militants sahraouis
Les autorités continuaient de restreindre l’exercice de la liberté d’expression, d’association et de réunion des Sahraouis partisans de l’autodétermination du Sahara occidental. Cette année encore, des militants de premier plan ont fait l’objet de poursuites.

•Les militants sahraouis Ahmed Alnasiri, Brahim Dahane et Ali Salem Tamek ont été libérés sous caution le 14 avril. Incarcérés depuis le 8 octobre 2009, ils étaient toujours inculpés, ainsi que quatre autres militants sahraouis, de menace à la « sécurité intérieure » du Maroc en raison de leurs activités pacifiques en faveur de l’autodétermination du Sahara occidental.
•Vingt-trois Sahraouis étaient maintenus en détention dans la prison de Salé, dans l’attente d’un procès inéquitable devant un tribunal militaire pour leur participation présumée à des violences à la fin de 2010, dans le campement de protestation de Gdim Izik, non loin de Laayoune. Les prisonniers ont entamé une grève de la faim à la fin du mois d’octobre pour protester contre leurs conditions de vie et leur maintien en détention sans jugement. Ils n’avaient toujours pas comparu à la fin de l’année.
Aucune enquête indépendante et impartiale n’a été effectuée sur les événements qui se sont déroulés à Gdim Izik et à Laayoune en novembre 2010, lorsque les forces de sécurité marocaines ont démoli le campement de protestation sahraoui. Treize personnes, dont 11 membres des forces de sécurité, avaient trouvé la mort dans les violences consécutives.

Top of page
Torture et autres mauvais traitements
De nouvelles informations ont fait état d’actes de torture et de mauvais traitements infligés à des détenus, par des agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST) notamment. Les militants islamistes présumés et les membres du Mouvement du 20 février étaient tout particulièrement pris pour cible. Des détenus étaient toujours maintenus au secret, dans certains cas au-delà de la durée maximale de 12 jours de garde à vue autorisée par la loi.

•Les 16 et 17 mai, des détenus de la prison de Salé condamnés pour des infractions liées au terrorisme se sont mutinés pour dénoncer l’iniquité de leurs procès et le recours à la torture dans le centre de détention non reconnu de Témara. Des affrontements ont opposé les détenus et les gardiens, dont plusieurs ont été retenus en otages pendant une courte période ; les membres de l’administration pénitentiaire ont ensuite tiré à balles réelles pour réprimer la mutinerie. Plusieurs prisonniers ont été blessés.
À la fin du mois de mai, Mohamed Hajib, un ressortissant germano-marocain qui purgeait une peine de 10 ans d’emprisonnement, a dû recevoir des soins à l’hôpital après avoir été roué de coups et menacé de viol par des gardiens de la prison de Toulal, à Meknès, où il avait été transféré après avoir participé à la mutinerie de la prison de Salé.

Top of page
Lutte contre le terrorisme et sécurité
Le 28 avril, 17 personnes – des touristes étrangers pour la plupart – ont été tuées et plusieurs autres blessées dans un attentat à l’explosif perpétré dans un café de Marrakech et qui n’a pas été revendiqué. Les autorités l’ont attribué à Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui a nié toute responsabilité.

•Adil Othmani, déclaré coupable de participation à l’attentat à l’explosif contre le café de Marrakech, a été condamné à mort en octobre.
Cinq hommes déclarés coupables en juillet 2009 d’infractions liées au terrorisme dans l’affaire de la « cellule Belliraj » ont été remis en liberté à la faveur de la grâce accordée par le roi le 14 avril. Leur procès avait été entaché d’irrégularités et leurs allégations de torture n’avaient pas fait l’objet d’une enquête.

Top of page
Justice de transition
Les autorités n’ont pas mis en œuvre les recommandations importantes émises par l’Instance équité et réconciliation dans son rapport de novembre 2005. Les victimes d’atteintes graves aux droits humains commises entre l’indépendance du Maroc, en 1956, et la mort du roi Hassan II, en 1999, étaient toujours privées d’accès effectif à la justice.

Top of page
Peine de mort
Les tribunaux marocains prononçaient toujours la peine capitale. La dernière exécution a eu lieu en 1993. À la faveur d’une amnistie prononcée par le roi en avril, cinq condamnés à mort ont vu leur sentence commuée en peine d’emprisonnement

Top of page
Camps du Front Polisario
Le Front Polisario n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’impunité dont bénéficiaient ceux qui étaient accusés d’avoir commis des atteintes aux droits humains durant les années 1970 et 1980 dans les camps de Tindouf (région de Mhiriz, en Algérie), qu’il contrôle.

En octobre, trois employés d’organisations humanitaires – un homme, de nationalité espagnole, et deux femmes, une Italienne et une Espagnole – ont été enlevés par un groupe armé dans un camp de réfugiés géré par le Front Polisario. Ils n’avaient pas été libérés à la fin de l’année.



MOHAMED SMAIN n 'a rien d un Ahmed rami , tu te ridiculise , car lui aux moins il défends une bonne cause :la disparition de nombreux Algériens disparus dans les années 90 , contrairement à toi pour qui ça ne fait ni chaud ,ni froid !
de plus tu nous ramène des petits paragraphes copiés collés par ci par là , pour nous faire croire que ça vient de toi .

D ' ailleurs on s 'en fou !



Je suis Gambeta

Tu deshonore Gambetta!
Tu semble pas connaitre AHMED RAMI le marocain,
Veux tu que je fasse quelque copie coller pour que tu comprenne bien de qui il s'agit?


Si j ai un conseil à te donner ,occupe toi de ce qui se passe dans ton pays , concentre toi sur les journaux de l algérie winking smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/08/12 10:13 par esprit200.
m
6 août 2012 10:03
ehooo là, on est pas là pour comparer les pays, qui est mieux que l'autre,
si l'algérie se porte bien niveau presse tant mieux pour vous, d'ailleurs c est intéressant à savoir mais sans tomber dans la comparaison, car dans ce cas là il faudra tout comparer, et aucun des deux pays n'en sortira indemne et ce sera une discusion stérile. donc concentrons nous sur le sujet posté! merci
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook