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LynTu a écrit:
Salam,
Ça dépend du type de mariage.
C'est un hlel ( fameux pass sexe) ou un mariage devant le hadoul ( notaire), ou Baladiya (Mairie) ?
Si notaire et mairie : Une partie du traiteur 50 % et ta henna, tu payes.
Le reste c'est l'homme.
Si hlel : tu as déjà assez donnée avec...
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Blagueur* a écrit:
0 centime ou boussa ....
La tradition veut que la mariée amène des draps brodés, des taies d'oreillers, des couvertures pour le lit conjugal, parfois des nappes brodées.
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re.Vooriden a écrit:
Quelle tradition ? De quel pays région ?
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Blagueur* a écrit:
Tradition fassie :
Dot : 1 louis d'or (symbolique) la future épouse est considérée comme non "vendable" ...
Les parents commencent à préparer son trousseau dès l'âge 16 ans, parfois dès la puberté, vu le temps nécessaire pour broder les draps, nappes, vêtements, caftans, djellabas, selon les cas l'épouse peut amener "el frach" : lit conjugal, le salon équipé (sedaris en laine, avec leurs sommiers sur lesquels ils reposent, les tables.
Souvent les parents de l'épouse font une fête de "sortie" alors que l'époux prend en charge le mariage, le logement, l'équipement ménager nécessaire qui n'a pas été offert par les proches.
Les proches contribuent à l'équipement du foyer (frigo, télé, argenterie, théières, samovar, grands plats "taouss" etc ...)
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re.Vooriden a écrit:
Ça tombe bien, je viens de fes et justement la tradition c’est que l’homme s’occupe des cadeaux et la femme de tout le reste lol
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Blagueur* a écrit:
Récemment débarqué à Fes en termes de générations ?
Nous sommes fassis depuis plus de trois siècles et les traditions ont évolué pour nombre de fassis : durée du mariage, mixité, symbolisme, orchestre au lieu du dhikr et des annachid diniya, etc. Dans ma jeunesse j'ai assisté dans la famille à des mariages dans la tradition : époux à cheval, future épouse en sortie à cheval dans une tente, avec en guise de bonne augure, un garçon en croupe, soumise au rituel de l'époque : le jour du Hammam et du 3akar al fassi, du hénné, celui des femmes, puis celui des hommes, le jour du "sbohi" après la nuit de noces etc...
Dans notre famille, c'est comme j'ai dit, l'atelier de broderie était à Meknes (Mme Aherdane) et ma mère et ma sœur faisait la navette pour vérifier l'avancement des travaux.
Non, l'homme dans un premier temps après "arrchem" des fiancailles s'occupait du dhaz + or + les vêtements et produits par paires (deux de chaque choses, henné, dattes, 3akar al fassi etc ...) comme il offrait des vêtements pour les beaux parents.
Les parents veulent donner leur fille "bel 3ez ou machi r'khessa", c'est pourquoi ils contribuent, cependant la règle c'est que le futur époux prend en charge tout.
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Blagueur* a écrit:
Salam,
Avant le mariage durait 7 jours ...
Les femmes étaient séparées des hommes
Deux fêtes l'une chez la future épouse et l'autre chez le futur pendu , donc un 50 % c'est convenable.
Ah tu comptes le hlel comme un mariage ?