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toumi10 a écrit:
A l'occasion de Aïd Alfitr , je vous souhaite à toutes et à tous : 3idoune Moubarak .
Il ya un adage populaire qui dit : Men Daha fik ya lahrira nhar Al 3ïd ( personne ne penserait à toi - lahrira - le jour de L'Aïd ) . Moi je dirai : Il y'aura une personne qui pensera à Lahrira demain !!! . devinez qui !!!. ( Mghili )
Je souhaite la bienvenue à notre ami Adrej , et content de le voir defendre de tels projets ! Bravo .
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froissart a écrit:
Bonjour à tous et à toutes!
Pendant que nous avalions nos bols de harira, les travaux allaient bon train pour la construction de la route de Mghila.
Notre ami Sandawi, le ventre creux, en pleine canicule, a surveillé l'avancement de ce programme, et en a fait un reportage photographique à découvrir sur:
[beniyazgha.kazeo.com]
Bientôt l'autoroute à péage El Menzel-Mghila?
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mghili a écrit:
Quant au péage, nous pensons bien l'installer, mon cher Kader, au lieudit ''Menjeh'', situé au pied de l'escarpement montagneux du même nom, juste à côté de la cascade ''zerrab Slimane''(photo n°8 du reportage), pour permettre au visiteur à l'arrêt, de contempler à titre gracieux, le panorama que lui offre la vallée.[/b][/i]
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Fandlaoui a écrit:
Bonjour tout le monde.
Si vous permettez, je vais, dans ce qui suit, entamer une série d’anecdotes, à travers lesquelles apparaissent certains indices d’un imaginaire yazghi tout à fait typique.
Un certain « ould n… » avait un fils à tête dure, un de ces jeunes qui contestent tout et se croient capables de sortir indemnes de n’importe quelle épreuve. Ainsi, chaque fois qu’il se trouve dans de beaux draps, son pauvre père vient à son secours et souvent finit par lui faire des reproches
- Tu vois je te l’avais dit. Alors, qu’est ce que tu vas faire maintenant ?
- C’est mon affaire « choughli , oumachi souqak» réplique toujours le fils.
- Si c’est ton affaire, alors débrouille toi » : 3oum bahrak ». et la discussion s’achève toujours comme cela.
Un jour, suite è une altercation avec un chauffeur de taxi à Fès, l’altercation tourne en bagarre et le fils se fait arrêter. Le père compatissant, décide de rendre visite à son fils emprisonné. Au parloir, bouche cousue, il sort un short de sa sacoche et le tend à son fils
Tiens « ha bach t3oum ou3andak taghraq flabhar voici un short pour nager et prends garde tu risque de te noyer.
Sur ce je vous laisse et à la prochaine.