Je suis >pour< Pour sauver des vies,je le ferai sans hésiter,signer de mon vivant,des documents pour donner mes organes à mon décès. Quand plus il parait que je possède 4 reins Là,je ne plaisante pas!!! :p Je ne pense pas être un cas unique au monde. Il doit y en avoir d'autres....
La vie est belle, Pour ton info en Belgique tu es donneur d'office à moins d'y faire objection de ton vivant en allant signer un papier à la maison communale.
La loi belge du 13 juin 1986
[b][u]Sidi Moulay Charif Al Teleboutik BATATA, Tél: (999).12.34.56.78.90[/u][/b][i]** TOUTE RESSEMBLANCE AVEC DES PERSONNES EXISTANTES OU AYANT EXISTE NE SERAIT QUE PURE COÏNCIDENCE.** [/i]
...Oui mais moi,je ne suis pas 'une Belge d'origine',donc je ne pensais pas à ce pays,je pensais à la France (ou je suis née et vécu)ou ....la Tunisie (pays de mon paternel) mes deux pays d'origine. J'aimerai être enterré en France ...ou en Tunisie,auprés des miens (aprés qu'on est retiré 'de moi 'les organes en question ... Un peu morbide mais bon.....
Je ne suis pas contre le don d'organes mais ce n'est pas pour autant que je donnerai les miens après ma mort. Pourquoi ? J'en sais rien. Sûrement un gros manque de confiance en la science, peut être aussi une croyance profonde en Dieu (même s'il ne se prononce pas là-dessus). Par contre, si c'est pour mon entourage familial, là je signe tout de suite. Pourquoi ? j'en sais rien. Les tripes probablement !
Sérieusement, je crois que l'on n'est pas assez informé là dessus, on n'est pas assez sensibilisé sur ce sujet qui nous concerne tous, c'est pourquoi j'en sais rien du tout. Je sais juste que quelque chose me dérange là dedans mais je ne sais pas quoi.
Amicalement
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
Oui mister teleboutique,probablement...mais là on parlait de don d'organes..pas de nationalité. Si j'avais un choix,ou une volonté,avant ma mort,ça aurait été cela : Fr. ou Tn. Même si je me fiche de la loi PS urtout s'il s'agit de personnes proches (famille,amis....)là aucune hésitation!
de mon vivant je donne mon sang et si je meurt je fait don de mes organes
Souvent confondu avec le don du corps, le don d'organe mérite des explications sur son origine et son fonctionnement.
Les greffes, qui se sont multipliées avec le développement du don d'organe et de tissus (la peau, par exemple), peuvent contribuer à prolonger ou à améliorer considérablement la vie d'une autre personne. Ce don, ainsi que l'utilisation des organes et autres éléments du corps humain ainsi prélevés (appelés aussi " greffons ", obéissent à des règles très strictes et sont placés sous le contrôle d'un organisme public : l'Etablissement Français des Greffes.
Le don d'organes est un acte de générosité et de solidarité humaine. Il est donc entièrement gratuit. Il respecte l'anonymat donneur / receveur : la famille du donneur ne connaîtra pas le nom du receveur et vice versa. Toutefois, la famille du donneur pourra être informée du résultat des greffes par les équipes médicales.
La réglementation La loi dite " bioéthique " du 29/07/1994 a prévu que toute personne est supposée avoir consenti au don d'organes en vue de greffes après son décès, si elle n'a pas manifesté son opposition de son vivant. A partir de ces règles générales, plusieurs cas de figure peuvent se présenter :
Si le défunt avait clairement manifesté, de son vivant, le souhait de faire don de ses organes (par exemple en portant sur lui la carte de donneur de l'Etablissement Français des Greffes), le prélèvement peut être effectué immédiatement. La manifestation de la volonté du donneur peut également avoir été exprimée lors de son admission à l'hôpital, avant une opération.
Si le médecin ne connaît pas la décision du défunt, il devra s'efforcer de recueillir le témoignage de sa volonté auprès de sa famille.
Si le défunt est un mineur, seuls ses parents (ou son représentant légal) sont autorisés à consentir par écrit au don d'organes en vue de greffe.
La mise en œuvre Les organes qui peuvent faire l'objet d'une greffe sont notamment le cœur, les poumons, le rein, le foie ou le pancréas. On peut également prélever et greffer des tissus comme la cornée, les os, les valves cardiaques, les tissus ou la peau.
Le don d'organe ne peut intervenir qu'en cas de mort encéphalique, appelée également " mort cérébrale ". Il s'agit d'un état particulier (environ 2000 décès sur les 500 000 constatés chaque année en France), dans lequel le cerveau est irrémédiablement détruit, mais où les équipes médicales peuvent maintenir artificiellement l'activité cardiaque et la respiration durant quelques heures. Ceci explique la nécessité d'une décision rapide pour organiser un éventuel prélèvement.
Certains tissus, telle la cornée, peuvent en revanche faire l'objet d'un don quelles que soient les circonstances médicales du décès.
Le prélèvement est un acte chirurgical, effectué avec toutes les précautions nécessaires pour respecter l'aspect extérieur du corps. Ce dernier est ensuite rendu à la famille, qui peut alors organiser les obsèques selon les souhaits du défunt ou, à défaut, selon ses propres décisions. Bien entendu, aucun frais relatif au transport du corps et à son retour après le prélèvement n'est à la charge de la famille.
A savoir La brochure éditée par l'établissement français des greffes contient notamment deux documents très utiles : - Si vous acceptez le don d'organes en cas de décès : Une carte de donneur, qu'il vous suffira de porter sur vous après l'avoir remplie. Par précaution, pensez également à faire connaître clairement votre accord à vos proches, afin qu'ils sachent quelle attitude adopter en cas de décès. - Si vous refusez le don d'organes en cas de décès : Un formulaire qui vous permettra d'être inscrit au Registre National des Refus (RNR), que les médecins doivent obligatoirement consulter avant tout prélèvement. Après l'avoir rempli, il vous suffira de l'adresser, avec une copie lisible d'un document d'identité et une enveloppe timbrée à vos nom et adresse pour confirmation de l'enregistrement au RNR. Adresses utiles
Bureau des opérations mortuaires 9 boulevard du Palais Paris 4ème Escalier F, 1er étage, bureau 1519 Tél. : 01 53 71 31 28 ou 01 53 71 31 29
L'Etablissement Français des Greffes 5 rue Lacuée Paris 12ème Tél. : 01 44 67 55 50 Fax : 01 44 67 67 55 55
France ADOT (Fédération des associations pour le don d'organes et de tissus humains) BP 35 75462 Paris cedex 10 Tél. : 01 42 45 63 40 Minitel : 3614 ADOT Site internet : www.pratique.fr/˜adot
Registre national des refus BP 2331 13213 Marseille cedex 02
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
Je suis jeune mais j'en ai déjà parlé à mes proches, après tout on ne sait jamais ce qui pourrait m'arriver sur la route (par contre je ne veux pas prendre de carte de donneur, j'ai toujours peur qu'on ne fasse pas tous les efforts pour me réanimer si jamais quelqu'un attend un coeur dans le lit d'à côté...). Si un de mes organes pouvait sauver la vie de quelqu'un, je pense que ça rendrai mon sommeil éternel beaucoup plus paisible
________________" Etre libre, ce n'est pas pouvoir faire ce que l'on veut, mais c'est vouloir ce que l'on peut. " Jean-Paul Sartre, Situations I
"Le jour du jugement, quand les hommes seront ressuscités, qu'adviendra-t-il de l'organe qui aura appartenu à une personne puis, à la mort de celle-ci, aura été greffée sur une autre ? En ce jour du jugement, les organes témoigneront de ce qu'aura fait leur possesseur sur terre ; eh bien, pour lequel des deux l'organe greffé viendra-t-il témoigner ?" Le jour du jugement l'homme sera certes ressuscité avec un corps, mais il ne sera pas composé de ces organes précis qu'ils aura eus sur terre : ceux-ci auront été réduits en poussière depuis longtemps ; il recevra d'autres organes ressemblant à ceux-ci. Le Hadîth ne dit-il pas que les hommes seront ressuscités non circoncis (rapporté par Al-Bukhârî, n° 3071, Muslim, n° 2860) ? Il y a même des hommes qui auront été voyants sur terre et qui seront aveugles le jour du jugement (Coran). Le simple fait qu'un organe aura appartenu à l'un, puis, après son décès, aura été greffé sur un autre ne semble donc pas empêcher que l'un et l'autre auront tous leurs organes le jour du jugement.
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
Moi je veux les pieds de Zidane et le cerveau d'Enstein
[b][u]Sidi Moulay Charif Al Teleboutik BATATA, Tél: (999).12.34.56.78.90[/u][/b][i]** TOUTE RESSEMBLANCE AVEC DES PERSONNES EXISTANTES OU AYANT EXISTE NE SERAIT QUE PURE COÏNCIDENCE.** [/i]