[color=#000066][b]itre : On finira par aboyer Album : Pour la couleur de nos yeux Année : 2007
Paroles : On voit changer le regard du monde sur l'Orient Comme si certains événements avaient réveillé un racisme béant Paumés dans leur attirail Depuis la chute soviet il leur fallait exhiber un nouvel épouvantail La télé a trouvé son nouveau Scream errant l'accessoire n'est plus un masque mais une barbe et un turban Et qu'est ce qu'ils connaissent de l'islam ? ils freinent Sur l'image du marchand de tapis, voleur ou de la bombe humaine Ce genre d'attaque explicite Pour info n'importe quelle forme de suicide dans ma religion est illicite Mais dans ce cas on fait un extra Comme à sa veille habitude elle subit la surenchère des médias Quelle mauvaise foi De faire naître en elle une soi-disante exception que les autres religions n'ont pas Un attribut en dehors de leur civisme Pour information l'islam n'est qu'une réforme du christianisme Pour cela que ça choque quand j'entends le pape Brailler les phrases de ces ancêtres comme vérité de l'époque L'église passe pour modérée Parce qu'elle a demandé pardon sur certaines fautes commises Histoire aberrante Comme si 2,3 excuses suffisent à effacer 1000 ans de dictature sanglante Ils s'amusent à abstraire les bons côtés Un bête d'discours et on se croirait retourner au 1er millénaire dans la presse même teint On caricature le musulman comme on caricaturait le juif à l'époque de Pétain En s'attaquant à ces symboles les plus lourds, Et tant qu'on réconforte dans leur angoisse la basse-cour ils parlent de calmer la tempête xénophobe En mettant une bombe sur la tête du prophète Apres on s'étonne des échos que ça a dans le tiers-monde, De voir des gars frustrés se déchaîner sur les ondes On s'étonne de la réponse âpre des musulmans Pourtant ici en Europe on n'a pas brûlé d'ambassades On a juste manifesté contre cette offense Un droit démocratique valable pour tous à ma connaissance T'aguichent après avec leur liberté d'expression Pour défendre leurs caricatures racistes pleines d'aversion Liberté d'expression cynique « désolé m'sieur l'agent j'avais pas vu le panneau sens unique » C'est ça qu'ils ont dicté Quand il s'agit d'taper sur les doigts des petits Arabes toutes les télés s'y sont jeté Mais quand c'est pour dénoncer les hautes sphères du pouvoir, coupure Là on leur fait une séance de manucure Je suis peut-être alarmiste qui sait quand Je les accuse de donner du pain béni aux intégristes Qu'ils prennent de l'altitude Tellement qu'ils verraient que leur parano leur a fait voter une loi absurde D'ailleurs qu'est-ce qui dérange dans le foulard et comment expliquer la passion que ça a déclenché quelle situation ambiguë De voir toute l'Europe trembler en face d'un morceau d'tissu à les faire passer comme honteuses au système scolaire pourtant leurs notes elle prouvent qu'elles sont studieuses ça agit presque comme un réflexe de tout temps les hommes se sont souvent servi des femmes comme prétexte regarde toi-même, aux suites du 11 septembre, les programmes nous mitraillaient de reportages sur les femmes afghanes mettant même au premier rang leur libération,condition amère comme justificatif pour une guerre Émus Nous on s'est uniquement contentés d'étaler Lu et approuvé sur leurs papiers en cadeau offert une aviation hostile en leur demandant de serrer les dents pendant les rafles de missile et de prier pour que leurs méchants maris décident de se repentir ou crèvent sous l'explosion de celles-ci la coalition est passée et a écrasé l'ennemi 5 ans après pour elles qu'est-ce qui a réellement changé maintenant que là-bas les caméras tombent en panne mon frère mais dis-moi qui s'inquiète du sort des femmes afghanes sur nos canapés armés de bonne conscience, on décide d'une guerre sans penser subir ses conséquences sur nos fauteuils on se surprend la bouche bée quand on se prend le retour du boomerang à la gueule au format Walt Disney on se met à réfléchir, croyant que sous une pluie de bombes les fleurs se mettront à jaillir Nous sous le feu de l'ivresse tellement qu'ils se sentent obligés de payer les foules pour simuler la liesse c'est typique comprend après pourquoi nos antennes ont tant de peine à leur être réceptives L'Occident veut faire la morale, d'accord à condition de voir ce qui traîne dans son corridor à force de donner des leçons au monde de son abri on a cette fausse impression qu'elle applique sur elle sa théorie oui par l'emprise de la mode d'avoir rétrogradé les femmes au rang de marchandises si bien qu'aujourd'hui bénin(innocent) pour te vendre un savon on se sent obligé de mettre à côté une paire de seins la tonne de photos de mannequins sur les murs, magazines et sticks agressent et laissent de pauvres filles anorexiques l'estime se vide ne laisse le choix que de se détester ou de recourir à la chirurgie esthétique se charcuter pour plus de crédit charnel car le mythe veut qu'on souffre pour être belle faut pas croire ici aussi c' est dur d'être une femme, d'affronter chez les mecs leur connerie d'amalgame des clichés éloignés de l'image de la muse, ici aussi elles se font siffler, racoler, les insultes fusent traitées de putes par des cons qui connaissent d'elles que ce qui passe crypté le samedi soir à canal+ nulle part à l'abri de ces pervers funestes qui limitent leurs champs de vision à une paire de fesses ici aussi elles ont le pouls qui s'accélère à sentir le danger quand elles marchent seul dans la nuit les histoires de viol sont nombreuses pour rappeler à une femme combien les ruelles peuvent être dangereuses l'obsession des uns à leur faire porter la bourka n'a d'égal que l'obsession des autres à les voir à poil c'est quasi le même barrage et à défaut de l'émanciper on a seulement changé la couleur de sa cage alors qu'on pense pas qu'il y'a que dans les bleds perdus qu'ils puissent êtres malades de sexisme aigu et derrière leurs grands discours d'égalité, les médias ne sont là que pour cacher les craquelures d'une réalité je suis en plein dans cette fissure l'oiseau de mauvais augure que la rancoeur a abrité mais on force nos rêves à se broyer et peut-être qu'à force d'être traités comme des chiens on finira par aboyer[/b][/color]
Out of the night that covers me, Black as the pit from pole to pole, I thank whatever gods may be For my unconquerable soul.
In the fell clutch of circumstance I have not winced nor cried aloud. Under the bludgeonings of chance My head is bloody, but unbow'd.
Beyond this place of wrath and tears Looms but the Horror of the shade, And yet the menace of the years Finds and shall find me unafraid.
It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll, I am the master of my fate: I am the captain of my soul
Poème favori de Nelson Mandela qui l'avait écrit sur les murs de sa prison. Il le lisait et relisait chaque jour, et il explique lui même que c'est probablement ce qui l'a fait tenir dans les moments les plus sombres.
Plusieurs traductions sont possibles, en voici trois (merci Wiki)
Dans la nuit qui m'environne, Dans les ténèbres qui m'enserrent, Je loue les Dieux qui me donnent Une âme, à la fois noble et fière.
Prisonnier de ma situation, Je ne veux pas me rebeller. Meurtri par les tribulations, Je suis debout bien que blessé.
En ce lieu d'opprobres et de pleurs, Je ne vois qu'horreur et ombres Les années s'annoncent sombres Mais je ne connaîtrai pas la peur.
Aussi étroit soit le chemin, Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme Je suis le maître de mon destin, Le capitaine de mon âme.
Hors de la nuit qui me recouvre, Noire comme un puits d'un pôle à l'autre, Je remercie les dieux, quoi qu'ils puissent être Pour mon âme indomptable.
Tombé dans l'étreinte des circonstances Je n'ai pas gémi ni pleuré à voix haute. Sous les coups de la fortune Ma tête est ensanglantée, mais redressée.
Au-delà de ce monde de colère et de pleurs Ne plane que l'Horreur de l'ombre. Et pourtant la menace du temps Me trouve et me trouvera, sans peur.
Peu importe l'étroitesse de la porte, Le nombre des punitions sur le parchemin, Je suis le maître de mon destin : Je suis le capitaine de mon âme.
Depuis l'obscurité qui m'envahit, Noire comme le royaume de l'enfer, Je remercie les dieux quels qu'ils soient Pour mon âme indomptable.
Dans l'étreinte féroce des circonstances, Je n'ai ni bronché ni pleuré Sous les coups de l'adversité. Mon esprit est ensanglanté mais inflexible.
Au-delà de ce monde de colère et de larmes, Ne se profile que l'horreur de la nuit. Et pourtant face à la grande menace Je me trouve et je reste sans peur.
Peu importe combien le voyage sera dur, Et combien la liste des châtiments sera lourde, Je suis le maître de mon destin, Je suis le capitaine de mon âme.
Monsieur le Président Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps Je viens de recevoir Mes papiers militaires Pour partir à la guerre Avant mercredi soir Monsieur le Président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens C'est pas pour vous fâcher Il faut que je vous dise Ma décision est prise Je m'en vais déserter
Depuis que je suis né J'ai vu mourir mon père J'ai vu partir mes frères Et pleurer mes enfants Ma mère a tant souffert Elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes Et se moque des vers Quand j'étais prisonnier On m'a volé ma femme On m'a volé mon âme Et tout mon cher passé Demain de bon matin Je fermerai ma porte Au nez des années mortes J'irai sur les chemins
Je mendierai ma vie Sur les routes de France De Bretagne en Provence Et je dirai aux gens: Refusez d'obéir Refusez de la faire N'allez pas à la guerre Refusez de partir S'il faut donner son sang Allez donner le vôtre Vous êtes bon apôtre Monsieur le Président Si vous me poursuivez Prévenez vos gendarmes Que je n'aurai pas d'armes Et qu'ils pourront tirer
ألا أيها الظالم المستبد حبيب الظلام عدو الحياه سخرت بأنات شعب ضعيف و كفك مخضوبة من دماه و سرت تشوه سحر الوجود و تبذر شوك الاسى في رباه
رويدك لا يخدعنك الربيع و صحو الفضاء و ضوء الصباح ففي الافق الرحب هول الظلام و قصف الرعود و عصف الرياح حذار فتحت الرماد اللهيب و من يبذر الشوك يجن الجراح
تأمل هنالك انى حصدت رؤوس الورى و زهور الأمل و رويت بالدم قلب التراب و اشربته الدمع حتى ثمل ســيجرفك الســيل ســـيل الدماء و يأكلك العاصف المشتعل
أبو القاسم الشابي
Ô tyran oppresseur...
Ami de la nuit, ennemi de la vie... Tu t'es moqué d'un peuple impuissant Alors que ta main est maculée de son sang Tu abîmes la magie de l'univers Et tu sèmes les épines du malheur dans ses éminences ■ Doucement ! Que ne te trompent pas le printemps, La clarté de l'air et la lumière du jour Dans l'horizon vaste, il y a l'horreur de la nuit Le grondement du tonnerre et les rafales du vent Attention ! Sous la cendre, il y a des flammes Celui qui plante les épines récolte les blessures ■ Regarde là-bas où tu as moissonné les têtes humaines et les fleurs de l'espoir Et tu as englouti de sang, le cœur du sol et tu l'as abreuvé de larmes à l'ivresse Le flot, torrent du sang va t'entraîner Et l'orageux brûlant va te dévorer.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/12/13 17:25 par zig-zag.
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse Comme un souffle avenir Vient raviver les braises Comme un parfum de soufre Qui fait naître la flamme Jeunesse lève-toi Contre la vie qui va qui vient Puis qui s´éteint Contre l´amour qu´on prend, qu´on tient Mais qui tient pas Contre la trace qui s´efface Au derrière de soi Jeunesse lève-toi
Moi, contre ton épaule Je repars à la lutte Contre les gravités qui nous mènent à la chute Pour faire du bruit encore A réveiller les morts Pour redonner éclat A l´émeraude en toi Pour rendre au crépuscule La beauté des aurores Dis-moi qu´on brûle encore Dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens Parce que tu n´en sais rien de la fougue et du feu Que je vois dans tes yeux Jeunesse lève-toi
Quand tu vois comme on pleure A chaque rue sa peine Comment on nous écoeure Perfusion dans la veine A l´ombre du faisceau Mon vieux, tu m´auras plus
Ami, dis, quand viendra la crue?
Contre-courant toujours sont les contre-cultures Au gré des émissions, leurs gueules de vide-ordures Puisque c´en est sonné la mort du politique L´heure est aux rêves Aux utopiques Pour faire nos ADN Un peu plus équitables Pour faire de la poussière Un peu plus que du sable Dans ce triste pays Tu sais, un jour ou l´autre Faudra tuer le père Faire entendre ta voix Jeunesse lève-toi
Au clair de lune indien Toujours surfer la vague A l´âme Au creux des reins Faut aiguiser la lame Puisqu´ici, il n´y a qu´au combat qu´on est libre De ton triste sommeil, je t´en prie, libère-toi Puisqu´ici il faut faire des bilans et du chiffre Sont nos amours toujours au bord du précipice N´entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts? Ne vois-tu pas le ciel à portée des doigts? Jeunesse lève-toi
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse Comme un souffle avenir Vient raviver les braises, Comme un parfum de soufre Qui fait naître la flamme Quand, plongé dans le gouffre, on sait plus où est l´âme Jeunesse lève-toi Contre la vie qui va, qui vient Puis qui nous perd Contre l´amour qu´on prend, qu´on tient Puis qu´on enterre Contre la trace qui s´efface Au derrière de soi Jeunesse lève-toi
Jeunesse lève-toi!
Au clair de lune indien Toujours surfer la vague A l´âme Au creux des reins Faut aiguiser la lame Puisqu´ici, il n´y a qu´au combat qu´on est libre De ton triste coma, je t´en prie, libère-toi Puisqu´ici, il faut faire des bilans et du chiffre Sont nos amours toujours au bord du précipice N´entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts A la mémoire de ceux qui sont tombés pour toi? Jeunesse lève-toi!
Moi j'paie plus mes impôts Tant que l'État les jette à l'eau Tant qu'on nous tient comme des otages Tant que la dictature fait rage
Moi j'paie plus mes impôts Tant que l'État les jette à l'eau Tant qu'on nous dit comment penser Tant qu'on nous coupe nos libertés
Hypocrite c'est la famille de nos dirigeants Car à l'école ils étaient assis sur les mêmes bancs À la récré ils ont pris la France pour décider Une fois c'est toi un fois c'est moi et entre temps on va s'payer Pour la vie on se donnera des avantages en nature Pourquoi pas un salaire, un chauffeur et une voiture Prions qu'ils restent jeunes et naïfs pour que ça dure Il ne faut pas qu'ils se réveillent et cassent le mur
Moi j'paie plus mes impôts Tant que l'État les jette à l'eau Tant qu'on nous tient comme des otages Tant que la dictature fait rage
Moi j'paie plus mes impôts Tant que l'État les jette à l'eau Tant qu'on nous dit comment penser Tant qu'on nous coupe nos libertés
Les journalistes et les médias ils n'auront qu'à faire semblant À leurs têtes on collera ta maitresse ou ton amant Si certains pensent, se cultivent et se mettent à dériver Ils seront idiots exclus et bannis pour l'éternité Les cours de moral civique de politique et d'éthique Pour implanter et renforcer la pensée unique C'est bizarre ça m'rappelle vaguement une dictature Le marteau la faucille et le mur.
Moi j'paie plus mes impôts Tant que l'État les jette à l'eau Tant qu'on nous tient comme des otages Tant que la dictature fait rage
Moi j'paie plus mes impôts Tant que l'État les jette à l'eau Tant qu'on nous dit comment penser Tant qu'on nous coupe nos libertés
Réveillez vous et vivez, réveillez vous et vivez Réveillez vous et vivez maintenant
La vie est une grande route parsemée de signes Alors quand tu marches à travers les sentiers Ne complique pas ton esprit Fuis la haine, le tort et la jalousie N'enterre pas tes pensées Tourne ton regard vers la réalité
Tous ensemble maintenant Réveillez vous et vivez, réveillez vous et vivez Réveillez vous et vivez maintenant
Lève-toi peuple puissant Il y a un travail à faire Alors faisons-le petit à petit Sortez de votre insomnie Nous sommes plus nombreux que le sable sur le rivage Nous sommes plus que des chiffres
Tous ensemble maintenant Réveillez vous et vivez, réveillez vous et vivez Réveillez vous et vivez maintenant.
Tu vois un tas de pierres remplit un panier Il est utile de vivre pleinement aujourd'hui Demain tu sera enterré dans un cerceuil
Tous ensemble maintenant Réveillez vous et vivez, réveillez vous et vivez Réveillez vous et vivez maintenant.
Allez mec Que peut-on ressentir là-bas? Réveillez vous, ayez envie de vous réveiller Ouais, ouais, ouais Allez mec Tu dois te réveiller et vivre
La vie est une grande route parsemée de signes Alors quand tu marches à travers les sentiers Ne complique pas ton esprit Fuis la haine, le tort et la jalousie N'enterre pas tes pensées Réalise tes rêves, ouais
Tous ensemble maintenant Réveille-toi et vis, réveille-toi et vis Réveille-toi et vis maintenant…
[b][color=#000099]و يا يا يا يا إلا ضاق الحال و إلا ضاق الحال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال و يا يا يا يا إلا ضاق الحال و إلا ضاق الحال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال
و يا يا يا يا إلا ضاق الحال و إلا ضاق الحال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال و يا يا يا يا إلا ضاق الحال و إلا ضاق الحال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال إلا ضاق الحال ما تفيد قوال ما تفيد قوال
علات الجبال و تهزموا الأبطال و الحمل تقال يا بابا و الحمل تقال آه يا بابا و الحمل تقال و الهم، الهم، الهم قتّال
لا عيشة حلال، لا حق يتقال كثرت الحيال يا بابا كثرت الحيال آه يا بابا كثرت الحيال و العدل، العدل، و العدل ذبال
علات الجبال و تهزموا الأبطال و الحمل تقال يا بابا و الحمل تقال آه يا بابا و الحمل تقال و الهم، الهم، الهم قتّال
لا عيشة حلال، لا حق يتقال كثرت الحيال يا بابا كثرت الحيال آه يا بابا كثرت الحيال و العدل، العدل، و العدل ذبال
شي مع المال و شي شهدو قلال شي سار على اليمين، شي خاد الشمال و شي مع المال و شي شهدو قلال و شي سار على اليمين، شي خاد الشمال
و أنا أنا أنا أنا أنا أنا أنا أنا أنا نا نا نا أنا أنا
أنا لي ما بيّاع ما شرّاي ما دلّال قايد سفينة الرّجا قايدها وسط الهوال
و أنا أنا أنا أنا أنا أنا أنا أنا نا نا نا نا أنا أنا أنا أنا لي ما بيّاع ما شرّاي ما دلّال قايد سفينة الرّجا قايدها وسط الهوال
و نصيح نصيح نصيح نصيح جوال ونقطع الوصال و أنادي بالحال فينكم يا رجال و فين الهالة لا تركبوا الهبال لا تسكنوا خيال مع من ولا
و أنادي بالحال فينكم يا رجال و فين الهالة لا تركبوا الهبال لا تسكنوا خيال مع من ولا
و نصيح نصيح نصيح نصيح جوال ونقطع الوصال و أنادي بالحال فينكم يا رجال و فين الهانة لا تركبوا الهبال لا تسكنوا خيال مع من ولا
و أنادي بالحال فينكم يا رجال و فين الهانة لا تركبوا الهبال لا تسكنوا خيال مع من ولا
لا تركبوا الهبال لا تسكنوا خيال لهروبكم أجل و سرجوا يا وين سرجوا القدام و تسلحوا بالإقدام و قاوموا يا وين قاوموا الأوهام هزموا الجهل هزموا الظلام و سرجوا يا وين سرجوا القدام و تسلحوا بالإقدام
و قاوموا يا وين قاوموا الأوهام هزموا الجهل هزموا الظلام
هزموا الجهل هزموا الظلام و تسلحوا بالإقدام و تعود المعنة للكلام
هزموا الجهل هزموا الظلام و تسلحوا بالإقدام و تعود المعنى للكلام
هزموا الجهل هزموا الظلام و تسلحوا بالإقدام و تعود المعنى للكلام
هزموا الجهل هزموا الظلام و تسلحوا بالإقدام و تعود المعنى للكلام
هزموا الجهل هزموا الظلام و تسلحوا بالإقدام و تعود المعنى للكلام
أ قاوموا أ قاوموا أ قاوموا يا وين أ قاوموا
أ قاوموا أ قاوموا أ قاوموا يا وين أ قاوموا[/color][/b]
Modifié 2 fois. Dernière modification le 26/01/14 19:21 par zig-zag.
Je porte les sales manies du pays dans le cur Consiste à peine Et on est 13% chez toi Tu voudrais bien qu'on y retourne, hein? Je débarque dans l'univers des nantis Les claques se perdent dans les gueules des dandys C'est pas le pays de Candi Des Gandhi, ici y'en a pas Des mecs honnêtes aux bandits La France taxe les types au RMI Eh, ouais, 10%, qu'est-ce que t'en dis? Quant à moi, je bosse à 50 pour l'Etat proxo Pour l'état de mes droits Je suis l'une de ses putes préférée Quoi? Le 10% de ce putain de cerveau C'est la servitude dans les block à Clervaux Ou nos ganaches qui servent au Mac Do Y'a pas d'arrache qui se paie pas un jour Le fity-fifty devient tout nada Si tu captes, superbe lifting *
A l'Assemblée on ignore ce qui se passe sur le macadam 20% de mes potes aujourd'hui se cament Y'a plus de révoltes en vue Ce putain de pouvoir achète à quel prix le calme Sur le terrain, le football Ce petit gosse en veut Mais 99% échouent et nous on prie tous en Dieu On est les seuls à croire au Père Noël jusqu'à 30 ans, vieux 80% des gens portent le triple 6 en eux Marcher sur la tronche des autres Pour une vie glauque et 300 types Possèdent 50% des richesses du globe C'est normal, leurs pantins ont l'index sur un bouton Et ce putain de peuple broute comme un mouton Chez moi, la flamme fait 30%, attends Je fais mes comptes, et ça veut dire Qu'y a minimum un type sur 3 qu'on devra claquer * au menu ce soir, fiston, qu'es-ce que tu en dis? Finie la paix à Marseille On va rallumer l'incendie En ce lendemain d'élections, j'ai si peur pour les miens On prend les devant, garçon, pour museler les chiens Ah, chienne de vie Prédestiné à trop de cavales historiques, non Front de libération de Mars, canal historique Lis dans mes yeux, trop de rancur Trop grand cur Trop con, je suis pas ton chanteur Tueur d'collabo, poète planteur Planté au piquet depuis la maternelle Couvé par le voile de l'amour maternel Mon amour dit que rien n'est éternel Nis des proches, ni de ce qu'il y a dans tes poches Moi, j'en ait rien à foutre de la fauche * quand on accroche des sacoche
Refrain: Y'a pas de degré d'inclinaison de mon corps L'inclinaison de ma tête Est une réponse directe à l'inclinaison de mon cur
Pour battre les accusée, ma ville trône Où matrones ? Je griffonne ces lignes sur un vieux bout de papier
Refrain
Courber l'échine qu'au départ Je mettrai pas le genou à terre Je resterai fier au nom de mes frères Je scelle ces mot d'un sceau de fer
Refrain
Mes phrases dérangent toujours aux alentours J'arrêterai peut-être le jour où les êtres Elus au deuxième tour cesseront de faire les sourds Je donne ma vision des choses, pas roses Ose écouter qui veut La prose est parfois morose Qu'est-ce que j'y peux Mon âme déclame ce que voient mes yeux C'est ce que j'aime faire C'est ce que j'aime écrire, ce que j'aime entendre Des textes vrais, sur des faits qui donnent envie de rendre Faut pas vous méprendre Le délire noue mon cerveau à l'année, basané Je perd pas de vue ceux qui veulent m'étendre Prêt à zapper, c'est mieux que de se rendre Il fallait pas nous chercher Fallait pas croire qu'on allait Rester là, les bras croisés A boire un thé Quand la haine dure comme l'amitié Hélas, elle persiste, invite les ex-noirs sur la piste Les lettres sautent Pieds noirs et italiens grossissent la liste Le kyste et les temps empirent Et si on le dit pas nous, qui va le dire Et si on l'écrit pas, qui va le lire Qui va s'en souvenir Le pire, c'est qu'on est pas sûr que ça serve Trahir, filtrer la gerbe Fuir n'existe pas Trop de gens courtisent Gégène Sèment la gangrène Sur Mars pendant dix ans, j'ai porté ce nom avec fierté Maintenant, j'hésite à le prononcer Jamais l'idée ne m'a effleurée Fanée, la rose du sud s'éteint Même Notre Dame pleure Sous la chaleur les curs flétrissent Toujours le front en sueur La peur de l'autre donne des ailes On se sent moins seul au pluriel La tête pleine de rien Les cons remplissent des bulletin criminels Ils oublient et puis L'Etat jouit, les jeunes jouent les bandits Les parents triment, s'usent la vie Avec un job de jour, un job de nuit Un mec sur trois me vise et ça me fout les glandes Pense qu'il y en a plus d'une centaine Auxquels je fais la bise Qui cachent un couteau dans leur manche Le soupçon plane désormais A tout moment, sur saint fe Un type peut me saluer Du genre: salut poto, ciao enfoiré Même cachés, les pauvres m'auront pas La fierté du Hip Hop sera pas la honte du pays Je le dis en vrai, mais je croise les doigts Les mains aussi Je prie pour première fois Que la catin d'aujourd'hui redevienne princesse d'autrefois[/color][/b]
جاكم البترول وسمحتو فينا مهما الدم جمعنا والاسلام شحال من دل شريتو لينا بامكانكم انصاف العالم انتم بالمادة شاركتو في الحرب ورسلتو رجالنا فنات في الماضي انتم داركين فضة وذهب.. وحنا نتشردو في شوارع وجرادي شكون يخليك قولو للعربان يعيدو النظر قولو لناسنا راحنا في خطر العمارات اللي بانيين في امريكا والاغريق واسيا تلث المسلمين جايعين في مجرى الغيران باكية خليو بالكم من الشمال خليو بالكم من اليمين خليو بالكم من الخلف خليو بالكم عبر السنين الامس امس لهم واليوم للمومنين وغدا سترون ياكافرين