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sarafanxxl a écrit:
Dans ce cas, aime ton pays d'abord.
Ta région ensuite. Et évite la carte de la division.
Le Maroc est un,et indivisible. Ça doit être notre devise commune.
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Amazigh-rocain a écrit:
Écoute moi bien je l'es constaté à plusieurs reprises dès qu'un sujet parle des rifàins tu gerbe ton mépris sur eux .
Tu parle des espagnols mais tu vise les habitants du rif .
Toi aussi tu parle des choses qui ne te regarde nullement ,
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FATEM95 a écrit:
On nous dit que les rifains souffrent. Je vis en France mais j'ai la chance de beaucoup voyager au Maroc du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest. Et je suis d'origine rifaine avec une partie de ma famille entre Temsamane, Al Hoceima et Nador. Franchement, je ne vois pas de souffrance particulière par rapport au reste du Maroc. Chômage ? Il y en a ailleurs. Éducation ? même chose. Santé ? même retard. Il y a un véritable fantasme au Maroc tout le monde pense que les gens entre Rabat et Casablanca vivent dans l’opulence.
Pour revenir à notre affaire, il y a une étrange coïncidence. Cette affaire a l'air de s'éterniser à mesure que l'Algérie perd des sur le terrain diplomatique. j'observe aussi que les officiels algériens parlent de cette affaire de plus en plus de même que leurs journaux ou leur journaliste à l'ONU (affaire de la question à notre ambassadeur). Je ne crois pas aux coïncidences. il y a certainement des problèmes sociaux au Rif il ne faut pas le nier mais il y a un complot algérien, il faut appeler les choses par leur nom.
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a écrit:
Tout le monde voudrait se trouver tout en haut, sur la tourelle, car tout le monde n'arrive pas à voir pas qu'on y bosse aussi et que la vue sert d'abord à observer les dangers et décider des mesures qui sauvegardent tous les marins qui se trouvent à bord du bateau.
Ceux qui se trouvent à l'arrière pensent que c'est mieux à l'avant. Ceux qui sont à l'avant pensent que c'est mieux à l'arrière: L'herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin.
S'il le bateau doit zigzaguer entre les récifs, ce qui est le cas, il faut que tout le monde reste à son poste pendant que le navire n'a pas quitté la zone dangereuse.
Le capitaine est sur la tourelle, pas par confort, mais parce qu'il doit avoir une vue d'ensemble et décider de manière avisée.
Tout le monde doit collaborer afin que les indications du capitaine permettent au bateau de demeurer en sûreté.
Comme le dit le proverbe: "On ne peut pas chasser deux lièvres à la fois"
Si ceux qui s'occupent de la pompe qui évacue l'eau du fond de la coque quittent leur poste, l'eau monte, le bateau s'enfonce et finit par toucher les récifs.
Le bateau coule avant que les responsables de la pompe soient arrivés sur le pont du bateau
Qui sera noyé en premier ? Ceux qui ont quitté leur poste ou ceux qui pilotent le bateau pour sauver ce qui peut l'être ?
Tout le monde finit noyé et le beau bateau s'est transformé en radeau.
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imtiyaz a écrit:
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Le malaise est dans ta tête. J'ai passé plus d'années que toi sur la terre du Rif
L'origine de ton Rif se trouve sous les plafonds des HLM de la France et tu étais bercé avec chants de haine et de racisme.
Les rifains sont dans tout le Maroc et ils ont le commerce dans toutes les grandes villes du Maroc. Ceux là n'ont pas le même langage que toi.
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Unesuggestion a écrit:
Tout ça pour dire que, même si ça découle d'un élan généreux, ce n'est pas le moment et, pour tout dire, pas leurs affaires non-plus.
Tant qu'on y est: La réunion se tiendra-t-elle en tamazight ?
Ça semblerait logique, pas vrai ?
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Amazigh-rocain a écrit:
Que des mensonges , des jugements et des critiques .
A'oudoubillah mine Shaitane Rajime .
Le menteur n'est jamais écouté même s'il dit la vérité ? ?
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Slimanof a écrit:
Et si les marocains se solidarisaient avec les basques les catalans et les canariens ?
Et aussi les kabyles , les mozabites et les touaregs car l'Algérie n'est pas loin.
On se rappelle tous de la journaliste algerienne de l'APS (que notre brillant ambassadeur à envoyé sur les roses) et qui a parlé d'"occupation " du Rif .
Ce voisin de malheur qui est en train de perdre sur le Sahara cherche à ouvrir un autre flanc.