Citation
a écrit:
As-salam alaykoum wa rahmatoullah wa barakatou
L’ethnocrate caucasien et la « beurette »
Il ne s’agit pas ici de condamner toute forme d’union entre les caucasiens et les « beurettes », mais d’analyser le rapport de domination existant dans les rapports entre l’homme blanc, le gaulois, et la fille d’immigré maghrébin. Ce rapport de domination, comme tout rapport social, est une construction fabriquée par les dominants, les males caucasiens, afin de légitimer leur domination. Ainsi, ce rapport de domination peu apparaître comme normale, allant de soi, participant de ce que Flaubert appelait les « idées reçues » qui ne sont jamais remise en cause.
Si ces « idées reçues » venaient à être remise en cause, l’ethnocrate caucasien masquera ses idées prédatrices derrière l’enveloppe mielleuse des droits de la femme, du multiculturalisme (simple façade pour imposer les idéaux caucasiens aux peuples des non-occidentaux ; on mange du couscous, on écoute du raï mais on ne pense qu’avec Marx, Voltaire ou Sartre…), de l’éloge du métissage…
L’ethos de l’ethnocrate caucasien a été façonné par l’histoire. Il est l’héritier direct du rapport de domination construit par l’Occident dans sa relation aux autres civilisations. Depuis la description des Perses par Hérodote jusqu’aux écrits des polito-islamologues, l’Occident à systématiquement confiné l’ « autre » à la barbarie, à l’inhumain, au monstrueux. Ce rapport de domination, forgé par les caucasiens, est porté par une idéologie mêlant le regard des classes dominantes sur les classes subalterne et l’occidentalocentrisme de la culture européenne (cf. Anouar Abdel Malek, Edouard Saïd,…).
Dans ces rapports à la femme non-occidentale, idéologie ethnocratique caucasienne peut-être analysé en deux points qui se recoupent bien souvent :
1- L’instrumentalisation
L’un objectif fondamental de l’ethnocrate caucasien, dans ses rapports avec les « beurettes », est de faire de la fille d’immigré maghrébin son « instrument », pour parler comme Adolf Hitler. Cette instrumentalisation se fait elle-même dans plusieurs directions :
- La première forme d’instrumentalisation est fait dans le cadre de la lutte de l’ethnocrate caucasien contre l’homme brun à qui il cherche à imposer sa domination par tous les moyens. Cela repose sur un discours résumé par l’historienne indienne Dipesh Chakrabarty dans une formule simple : « des hommes blancs sont venus libéré des femmes brunes des hommes bruns ». Pour cela l’ethnocrate caucasien cherchera constamment à dévaloriser l’homme non-occidental aux yeux des femmes brunes (cf. l’homme arabe est forcément inculte, violent, fanatique, misogyne…).
- Pour le male caucasien la femme brune est donc un enjeu de pouvoir. Pour lui conquérir la femme brune c’est conquérir la femme de l’ « autre » inférieur qu’est l’homme non-occidental. Par là l’ethnocrate caucasien montre sa domination sur l’homme non-occidental.
- Le femme brune est aussi pour l’ethnocrate caucasien un passeport d’entrer dans un univers sans laquelle il ne pourrait pas pénétrer. Pour cela l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à séduire et à conquérir le cœur de la femme non-occidental. Même si au fond, et ceux même inconsciemment, il méprise profondément se monde et ses valeurs (trop traditionel, trop religieux, au fond trop éloigner du seul critère qualitatif qu’il connaisse c’est-à-dire lui-même ; le fameux principe de mêmeté de Deleuze), l’ethnocrate rêve d’y entrer. L’entré dans se monde autre ne relève pas de la simple découverte mais du rêve impérialiste de domination. Ici la « volonté de puissance » se manifeste en « volonté de présence ». Par ça présence l’ethnocrate caucasien cherchera à imposer ses valeurs, son mode d’être au monde, ses représentations, bref son idéologie.
- Dans cette volonté d’instrumentaliser la femme brune, l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à se faire passer pour un musulman, un doux converti, afin de pouvoir opérer sa manipulation. Méprisant ces êtres inférieurs, ces « animaux humains », que sont pour lui les femmes brunes, l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à mentir sur son identité religieuse pour atteindre son but, alors qu’il n’a que mépris pour l’Islam en tant que foi et en tant que culture.
2- Le fantasme exotique
Là aussi le rapport fantasmatique de l’ethnocrate caucasien à la femme brune prend plusieurs formes :
- La femme brune est, avant tout, un fantasme exotique qui a été largement développé par la littérature coloniale. Pour l’ethnocrate caucasien, elle est la figure de la féminité par excellence, capable de satisfaire tous les appétits sexuels. Dans cette représentation, la femme brune prend avant tout la l’apparence de la professionnelle du sexe, la prostituée, la courtisane de harem… L’ethnocrate caucasien dans ses rapports avec elle rêvera d’ailleurs de ce comporté comme les pachas de la littérature orientaliste dans leur harem. L’ethnocrate caucasien ne se contentera que difficilement d’une seule « beurette », il cherchera à multiplier les conquêtes, à avoir un nombre indéfini de maîtresses brunes…
- En effet la femme brune, et c’est là que le rapporte de domination est le plus prégnant, ne sera que très rarement la partenaire officielle de l’ethnocrate caucasien. Elle sera confiné au rôle peut enviable de maîtresse, de partenaire occasionnel, propre à satisfaire tous les délires lubriques de l’ethnocrate caucasien. La femme blanche est sa femme officielle, celle avec laquelle il se montre, celle avec laquelle il est prêt a fondé une famille, celle avec laquelle il envisage l’avenir. La femme brune n’est finalement qu’une « crasseuse » avec laquelle l’ethnocrate caucasien peut assouvir ses fantasmes sexuels (cf. la description de Malcolm X dans son autobiographie des pratiques des caucasiens avec les femmes noires des ghettos). D’ailleurs l’ethnocrate caucasien n’aura pas du tout les mêmes pratiques sexuels avec sa femme blanche et avec ses femmes brunes : avec la première il aura des rapports « normaux » et respectueux, avec les secondes il s’adonnera à toutes sorte de pratiques dont certaines relève de l’humiliation.
- L’un des fantasmes majeurs de l’ethnocrate caucasien est sans aucun doute le dévoilement de la femme musulmane. Le voile pour lui représente le signe de l’impossibilité du rapport de domination basé sur le sexe. Il marque une limite de l’infranchissable. De fait, l’ethnocrate caucasien cherchera constamment à dévoiler la femme musulmane car le dévoilement représente, pour lui, la marque de l’imposition de sa domination. Dans cette volonté de dévoilement, la figure du faux converti caucasien prendra une importance particulière.
Dans cette première analyse je me suis attaché à dénoncer les manipulations et la fantasme de l’ethnocrate caucasien mais pour être juste il faudrait analysé plus en détaille le comportements de la femme brune dans se rapport de domination. Les dominés ne sont jamais entièrement passif et cherchent souvent à utiliser le système de domination en place pour assouvir leurs ambitions personnels. Ainsi la femmes brune accepte souvent sont rôle subalternisé afin d’en tiré profit à titre individuel, le plus souvent en « jouant » contre « les siens » (le cas le plus marquant étant celui de NPNS).
Par sentimentalisme ou par ambition personnel, l’ethnocrate caucasien est bien souvent à même d’offrir un capital symbolique voire un capital professionnel, la femme brune se complet souvent dans son statut réifié. Malheureusement tant que la femme brune ne cessera pas de participer au jeu de l’ethnocrate caucasien, dans lequel elle n’a rien à gagner si ce n’est sa larbinisation et le mépris des siens, se processus de domination pourra durer encore long temps. Pour paraphraser Dipesh Chakrabarty, je dirais qu’il est nécessaire pour la femme brune, tout comme pour l’homme brun, de se libérer des hommes blancs. Mais si elle joue le jeu de la collaboration avec l’ethnocrate caucasien, elle ne pourra que s’enfermer dans un statut comparable à celui des esclaves courtisanes du temps de l’esclavage.
Citation
*Safiyya* a écrit:
Pour la définition du beurisme et de la beurette, lisez cette réflexion :
[sabyl.forumactif.com]
Citation
a écrit:
As-salam alaykoum wa rahmatoullah wa barakatou
L’ethnocrate caucasien et la « beurette »
Il ne s’agit pas ici de condamner toute forme d’union entre les caucasiens et les « beurettes », mais d’analyser le rapport de domination existant dans les rapports entre l’homme blanc, le gaulois, et la fille d’immigré maghrébin. Ce rapport de domination, comme tout rapport social, est une construction fabriquée par les dominants, les males caucasiens, afin de légitimer leur domination. Ainsi, ce rapport de domination peu apparaître comme normale, allant de soi, participant de ce que Flaubert appelait les « idées reçues » qui ne sont jamais remise en cause.
Si ces « idées reçues » venaient à être remise en cause, l’ethnocrate caucasien masquera ses idées prédatrices derrière l’enveloppe mielleuse des droits de la femme, du multiculturalisme (simple façade pour imposer les idéaux caucasiens aux peuples des non-occidentaux ; on mange du couscous, on écoute du raï mais on ne pense qu’avec Marx, Voltaire ou Sartre…), de l’éloge du métissage…
L’ethos de l’ethnocrate caucasien a été façonné par l’histoire. Il est l’héritier direct du rapport de domination construit par l’Occident dans sa relation aux autres civilisations. Depuis la description des Perses par Hérodote jusqu’aux écrits des polito-islamologues, l’Occident à systématiquement confiné l’ « autre » à la barbarie, à l’inhumain, au monstrueux. Ce rapport de domination, forgé par les caucasiens, est porté par une idéologie mêlant le regard des classes dominantes sur les classes subalterne et l’occidentalocentrisme de la culture européenne (cf. Anouar Abdel Malek, Edouard Saïd,…).
Dans ces rapports à la femme non-occidentale, idéologie ethnocratique caucasienne peut-être analysé en deux points qui se recoupent bien souvent :
1- L’instrumentalisation
L’un objectif fondamental de l’ethnocrate caucasien, dans ses rapports avec les « beurettes », est de faire de la fille d’immigré maghrébin son « instrument », pour parler comme Adolf Hitler. Cette instrumentalisation se fait elle-même dans plusieurs directions :
- La première forme d’instrumentalisation est fait dans le cadre de la lutte de l’ethnocrate caucasien contre l’homme brun à qui il cherche à imposer sa domination par tous les moyens. Cela repose sur un discours résumé par l’historienne indienne Dipesh Chakrabarty dans une formule simple : « des hommes blancs sont venus libéré des femmes brunes des hommes bruns ». Pour cela l’ethnocrate caucasien cherchera constamment à dévaloriser l’homme non-occidental aux yeux des femmes brunes (cf. l’homme arabe est forcément inculte, violent, fanatique, misogyne…).
- Pour le male caucasien la femme brune est donc un enjeu de pouvoir. Pour lui conquérir la femme brune c’est conquérir la femme de l’ « autre » inférieur qu’est l’homme non-occidental. Par là l’ethnocrate caucasien montre sa domination sur l’homme non-occidental.
- Le femme brune est aussi pour l’ethnocrate caucasien un passeport d’entrer dans un univers sans laquelle il ne pourrait pas pénétrer. Pour cela l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à séduire et à conquérir le cœur de la femme non-occidental. Même si au fond, et ceux même inconsciemment, il méprise profondément se monde et ses valeurs (trop traditionel, trop religieux, au fond trop éloigner du seul critère qualitatif qu’il connaisse c’est-à-dire lui-même ; le fameux principe de mêmeté de Deleuze), l’ethnocrate rêve d’y entrer. L’entré dans se monde autre ne relève pas de la simple découverte mais du rêve impérialiste de domination. Ici la « volonté de puissance » se manifeste en « volonté de présence ». Par ça présence l’ethnocrate caucasien cherchera à imposer ses valeurs, son mode d’être au monde, ses représentations, bref son idéologie.
- Dans cette volonté d’instrumentaliser la femme brune, l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à se faire passer pour un musulman, un doux converti, afin de pouvoir opérer sa manipulation. Méprisant ces êtres inférieurs, ces « animaux humains », que sont pour lui les femmes brunes, l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à mentir sur son identité religieuse pour atteindre son but, alors qu’il n’a que mépris pour l’Islam en tant que foi et en tant que culture.
2- Le fantasme exotique
Là aussi le rapport fantasmatique de l’ethnocrate caucasien à la femme brune prend plusieurs formes :
- La femme brune est, avant tout, un fantasme exotique qui a été largement développé par la littérature coloniale. Pour l’ethnocrate caucasien, elle est la figure de la féminité par excellence, capable de satisfaire tous les appétits sexuels. Dans cette représentation, la femme brune prend avant tout la l’apparence de la professionnelle du sexe, la prostituée, la courtisane de harem… L’ethnocrate caucasien dans ses rapports avec elle rêvera d’ailleurs de ce comporté comme les pachas de la littérature orientaliste dans leur harem. L’ethnocrate caucasien ne se contentera que difficilement d’une seule « beurette », il cherchera à multiplier les conquêtes, à avoir un nombre indéfini de maîtresses brunes…
- En effet la femme brune, et c’est là que le rapporte de domination est le plus prégnant, ne sera que très rarement la partenaire officielle de l’ethnocrate caucasien. Elle sera confiné au rôle peut enviable de maîtresse, de partenaire occasionnel, propre à satisfaire tous les délires lubriques de l’ethnocrate caucasien. La femme blanche est sa femme officielle, celle avec laquelle il se montre, celle avec laquelle il est prêt a fondé une famille, celle avec laquelle il envisage l’avenir. La femme brune n’est finalement qu’une « crasseuse » avec laquelle l’ethnocrate caucasien peut assouvir ses fantasmes sexuels (cf. la description de Malcolm X dans son autobiographie des pratiques des caucasiens avec les femmes noires des ghettos). D’ailleurs l’ethnocrate caucasien n’aura pas du tout les mêmes pratiques sexuels avec sa femme blanche et avec ses femmes brunes : avec la première il aura des rapports « normaux » et respectueux, avec les secondes il s’adonnera à toutes sorte de pratiques dont certaines relève de l’humiliation.
- L’un des fantasmes majeurs de l’ethnocrate caucasien est sans aucun doute le dévoilement de la femme musulmane. Le voile pour lui représente le signe de l’impossibilité du rapport de domination basé sur le sexe. Il marque une limite de l’infranchissable. De fait, l’ethnocrate caucasien cherchera constamment à dévoiler la femme musulmane car le dévoilement représente, pour lui, la marque de l’imposition de sa domination. Dans cette volonté de dévoilement, la figure du faux converti caucasien prendra une importance particulière.
Dans cette première analyse je me suis attaché à dénoncer les manipulations et la fantasme de l’ethnocrate caucasien mais pour être juste il faudrait analysé plus en détaille le comportements de la femme brune dans se rapport de domination. Les dominés ne sont jamais entièrement passif et cherchent souvent à utiliser le système de domination en place pour assouvir leurs ambitions personnels. Ainsi la femmes brune accepte souvent sont rôle subalternisé afin d’en tiré profit à titre individuel, le plus souvent en « jouant » contre « les siens » (le cas le plus marquant étant celui de NPNS).
Par sentimentalisme ou par ambition personnel, l’ethnocrate caucasien est bien souvent à même d’offrir un capital symbolique voire un capital professionnel, la femme brune se complet souvent dans son statut réifié. Malheureusement tant que la femme brune ne cessera pas de participer au jeu de l’ethnocrate caucasien, dans lequel elle n’a rien à gagner si ce n’est sa larbinisation et le mépris des siens, se processus de domination pourra durer encore long temps. Pour paraphraser Dipesh Chakrabarty, je dirais qu’il est nécessaire pour la femme brune, tout comme pour l’homme brun, de se libérer des hommes blancs. Mais si elle joue le jeu de la collaboration avec l’ethnocrate caucasien, elle ne pourra que s’enfermer dans un statut comparable à celui des esclaves courtisanes du temps de l’esclavage.
Citation
desole59 a écrit:Citation
*Safiyya* a écrit:
Pour la définition du beurisme et de la beurette, lisez cette réflexion :
[sabyl.forumactif.com]
Citation
a écrit:
As-salam alaykoum wa rahmatoullah wa barakatou
L’ethnocrate caucasien et la « beurette »
Il ne s’agit pas ici de condamner toute forme d’union entre les caucasiens et les « beurettes », mais d’analyser le rapport de domination existant dans les rapports entre l’homme blanc, le gaulois, et la fille d’immigré maghrébin. Ce rapport de domination, comme tout rapport social, est une construction fabriquée par les dominants, les males caucasiens, afin de légitimer leur domination. Ainsi, ce rapport de domination peu apparaître comme normale, allant de soi, participant de ce que Flaubert appelait les « idées reçues » qui ne sont jamais remise en cause.
Si ces « idées reçues » venaient à être remise en cause, l’ethnocrate caucasien masquera ses idées prédatrices derrière l’enveloppe mielleuse des droits de la femme, du multiculturalisme (simple façade pour imposer les idéaux caucasiens aux peuples des non-occidentaux ; on mange du couscous, on écoute du raï mais on ne pense qu’avec Marx, Voltaire ou Sartre…), de l’éloge du métissage…
L’ethos de l’ethnocrate caucasien a été façonné par l’histoire. Il est l’héritier direct du rapport de domination construit par l’Occident dans sa relation aux autres civilisations. Depuis la description des Perses par Hérodote jusqu’aux écrits des polito-islamologues, l’Occident à systématiquement confiné l’ « autre » à la barbarie, à l’inhumain, au monstrueux. Ce rapport de domination, forgé par les caucasiens, est porté par une idéologie mêlant le regard des classes dominantes sur les classes subalterne et l’occidentalocentrisme de la culture européenne (cf. Anouar Abdel Malek, Edouard Saïd,…).
Dans ces rapports à la femme non-occidentale, idéologie ethnocratique caucasienne peut-être analysé en deux points qui se recoupent bien souvent :
1- L’instrumentalisation
L’un objectif fondamental de l’ethnocrate caucasien, dans ses rapports avec les « beurettes », est de faire de la fille d’immigré maghrébin son « instrument », pour parler comme Adolf Hitler. Cette instrumentalisation se fait elle-même dans plusieurs directions :
- La première forme d’instrumentalisation est fait dans le cadre de la lutte de l’ethnocrate caucasien contre l’homme brun à qui il cherche à imposer sa domination par tous les moyens. Cela repose sur un discours résumé par l’historienne indienne Dipesh Chakrabarty dans une formule simple : « des hommes blancs sont venus libéré des femmes brunes des hommes bruns ». Pour cela l’ethnocrate caucasien cherchera constamment à dévaloriser l’homme non-occidental aux yeux des femmes brunes (cf. l’homme arabe est forcément inculte, violent, fanatique, misogyne…).
- Pour le male caucasien la femme brune est donc un enjeu de pouvoir. Pour lui conquérir la femme brune c’est conquérir la femme de l’ « autre » inférieur qu’est l’homme non-occidental. Par là l’ethnocrate caucasien montre sa domination sur l’homme non-occidental.
- Le femme brune est aussi pour l’ethnocrate caucasien un passeport d’entrer dans un univers sans laquelle il ne pourrait pas pénétrer. Pour cela l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à séduire et à conquérir le cœur de la femme non-occidental. Même si au fond, et ceux même inconsciemment, il méprise profondément se monde et ses valeurs (trop traditionel, trop religieux, au fond trop éloigner du seul critère qualitatif qu’il connaisse c’est-à-dire lui-même ; le fameux principe de mêmeté de Deleuze), l’ethnocrate rêve d’y entrer. L’entré dans se monde autre ne relève pas de la simple découverte mais du rêve impérialiste de domination. Ici la « volonté de puissance » se manifeste en « volonté de présence ». Par ça présence l’ethnocrate caucasien cherchera à imposer ses valeurs, son mode d’être au monde, ses représentations, bref son idéologie.
- Dans cette volonté d’instrumentaliser la femme brune, l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à se faire passer pour un musulman, un doux converti, afin de pouvoir opérer sa manipulation. Méprisant ces êtres inférieurs, ces « animaux humains », que sont pour lui les femmes brunes, l’ethnocrate caucasien n’hésitera pas à mentir sur son identité religieuse pour atteindre son but, alors qu’il n’a que mépris pour l’Islam en tant que foi et en tant que culture.
2- Le fantasme exotique
Là aussi le rapport fantasmatique de l’ethnocrate caucasien à la femme brune prend plusieurs formes :
- La femme brune est, avant tout, un fantasme exotique qui a été largement développé par la littérature coloniale. Pour l’ethnocrate caucasien, elle est la figure de la féminité par excellence, capable de satisfaire tous les appétits sexuels. Dans cette représentation, la femme brune prend avant tout la l’apparence de la professionnelle du sexe, la prostituée, la courtisane de harem… L’ethnocrate caucasien dans ses rapports avec elle rêvera d’ailleurs de ce comporté comme les pachas de la littérature orientaliste dans leur harem. L’ethnocrate caucasien ne se contentera que difficilement d’une seule « beurette », il cherchera à multiplier les conquêtes, à avoir un nombre indéfini de maîtresses brunes…
- En effet la femme brune, et c’est là que le rapporte de domination est le plus prégnant, ne sera que très rarement la partenaire officielle de l’ethnocrate caucasien. Elle sera confiné au rôle peut enviable de maîtresse, de partenaire occasionnel, propre à satisfaire tous les délires lubriques de l’ethnocrate caucasien. La femme blanche est sa femme officielle, celle avec laquelle il se montre, celle avec laquelle il est prêt a fondé une famille, celle avec laquelle il envisage l’avenir. La femme brune n’est finalement qu’une « crasseuse » avec laquelle l’ethnocrate caucasien peut assouvir ses fantasmes sexuels (cf. la description de Malcolm X dans son autobiographie des pratiques des caucasiens avec les femmes noires des ghettos). D’ailleurs l’ethnocrate caucasien n’aura pas du tout les mêmes pratiques sexuels avec sa femme blanche et avec ses femmes brunes : avec la première il aura des rapports « normaux » et respectueux, avec les secondes il s’adonnera à toutes sorte de pratiques dont certaines relève de l’humiliation.
- L’un des fantasmes majeurs de l’ethnocrate caucasien est sans aucun doute le dévoilement de la femme musulmane. Le voile pour lui représente le signe de l’impossibilité du rapport de domination basé sur le sexe. Il marque une limite de l’infranchissable. De fait, l’ethnocrate caucasien cherchera constamment à dévoiler la femme musulmane car le dévoilement représente, pour lui, la marque de l’imposition de sa domination. Dans cette volonté de dévoilement, la figure du faux converti caucasien prendra une importance particulière.
Dans cette première analyse je me suis attaché à dénoncer les manipulations et la fantasme de l’ethnocrate caucasien mais pour être juste il faudrait analysé plus en détaille le comportements de la femme brune dans se rapport de domination. Les dominés ne sont jamais entièrement passif et cherchent souvent à utiliser le système de domination en place pour assouvir leurs ambitions personnels. Ainsi la femmes brune accepte souvent sont rôle subalternisé afin d’en tiré profit à titre individuel, le plus souvent en « jouant » contre « les siens » (le cas le plus marquant étant celui de NPNS).
Par sentimentalisme ou par ambition personnel, l’ethnocrate caucasien est bien souvent à même d’offrir un capital symbolique voire un capital professionnel, la femme brune se complet souvent dans son statut réifié. Malheureusement tant que la femme brune ne cessera pas de participer au jeu de l’ethnocrate caucasien, dans lequel elle n’a rien à gagner si ce n’est sa larbinisation et le mépris des siens, se processus de domination pourra durer encore long temps. Pour paraphraser Dipesh Chakrabarty, je dirais qu’il est nécessaire pour la femme brune, tout comme pour l’homme brun, de se libérer des hommes blancs. Mais si elle joue le jeu de la collaboration avec l’ethnocrate caucasien, elle ne pourra que s’enfermer dans un statut comparable à celui des esclaves courtisanes du temps de l’esclavage.
e on y peut rien si elle se font manipuler par tout le monde cest quelle sont tres naive elle croient encore au conte de fée ailleur ptdr ptdr le respect meme les gawriate sont moins naive , ya tres peu de arbiate qui voient clairement le jeu ailleur , mais apres avec de largent on a vite compris quil ya vraiment des beurette qui nont plus rien d'arabe ya qua voir en region parisienne !!!
Citation
laperle rare a écrit:
franchement désolé 59 tu fais peur tu fais trop une fixette sur ça c'est flippant
Citation
laperle rare a écrit:
ouai il fait des cauchemars il parle dans son sommeil il dit
beurette beurette !! au secours
nan mais sérieux il commence à m inquièter
pourquoi cette prise de tête !!
il y a des gens ils cherchent des vaccins
il y en a ils font des livres sur les beurettes !!
c'est quoi ça non d un chien
Citation
rifiyaa a écrit:
Salam,
mdr anti prejugés, elle le lâche plus ce shariff, tu me fais bien rire en tout cas avec tes images, ton expression en arabe et tout
Citation
mariageourien a écrit:Citation
bisousdemoi a écrit:
Les gens de Dubai aiment beaucoup les marocaines, la preuve j y vais tout le temps labas
Les prostituées.
Car ils respectent leur femmes au detriment des beurettes.
Citation
9alb a écrit:Citation
mariageourien a écrit:Citation
mariageourien a écrit:Citation
9alb a écrit:Citation
mariageourien a écrit:
J'en viens donc ici à la définition rationalisée du beurisme.
Pour moi le beur ou la beurette est un ou une enfant d'immigré dont l'esprit est perverti et c'est une manifestation d'une forme de dégénérescence de l'esprit.
C'est à dire que c'est par exemple quelqu'un qui va se prendre 1000 fois en photo dans une chicha, à la plage, aux toilettes ou se sentant vivre en posant devant une glace avec des lunettes de soleil, et c'est à ce moment ou son existence à un sens.
Son surnom est souvent SWAG, et on agrémente le tout par quelques hadiths appris par ci et par là avec des copains ou des copines converties.
En ce qui concerne leur Facebook nous constatons des photos de BOOBA, de la Mecque, ou d'un tas de bolides et d'Aladin et de Jasmine sur le mur de la beurette pour se donner un aspect de fausse naïveté.
Mais le beur ainsi que la beurette ont un point commun: ils parlent tous les deux en crachant en terminant leur phrase par WESH la famille, ou WESH SINECOU.
Pour terminer, c'est une génération BLING-BLING dépersonnalisée endettée, frustrée, et Disney, MAC DO, IPHONE dont les dégâts sont imputables à une carence d'éducation de la part de parents qui les pauvres n'ont jamais vu un banc d'école et qui eux mêmes ne sont pas cultivés.
En somme quand deux civilisations se culbutent, nous avons une génération d'acculturés et de dégénérés.
Tu as raison dans un certain sens.
C'est vrai qu'une bonne partie de la population issue de l'immigration maghrébine, a eu des parents qui n'ont pas eu l'accès à l'éducation, qui ont reproduit des attitudes digne de la plus haute ignorance, qui ont confondu tradition et religion, qui ont éduqué leurs enfants avec beaucoup de violence, ... Le tableau n'est pas très honorable.
Effectivement, dans les cas les plus extrêmes, cette éducation a donné des enfants délinquants, qui ont connu un tel vide spirituel que le sens de leur existence devait être exprimé à travers le matérialisme, le consumérisme, ... Et ils étaient prêts à assouvir leurs désirs par n'importe quel moyen: trafic en tout genre, vol, prostitution, ...
Dans les cas moins extrêmes, des hommes et des femmes qui ont confondu les préceptes de la religion avec le "qu'en dira t'on".
Se croyant à l'abri des regards, ils commettent ce qu'il y a de plus répréhensible et dépassent les limites de l'infranchissable. (Combien d'histoires de filles, parfois, même en foulard, qui ont des rapports, on a entendues. Et qui par la suite ont recours à l'hymneoplastie, ou qui avaient pris soin de garder un seul endroit intact mais qui s'étaient vraiment salies par des moyens innommables, ...)
Mais par la suite, devant les autres, ils se font passer pour des gens prudes, propres, ...
Bien sûr que ça donne d’innombrables schizophrènes, ...
La seule chose qui m'a fait sourire dans ton sujet, c'est quand t'as parlé des gens qui postent des photos de Jasmin et Aladin pour feinter une naïveté.
Autrement, ça me fait de la peine de voir ce gâchis.
Hamdoulilah, il y a aussi des maghrébins instruits et censés. Mais comme d'habitude, ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit.
En somme quand deux civilisations se culbutent, nous avons une génération d'acculturés et de dégénérés.
Pas du tout d'accord, parler de civilisation pour décrire la minorité de maghrébins, majoritairement incultes (volontairement choisie par les politiques) qui a immigré en Europe, c'est extrême.
Les choses évoluent et puis il y a des européens qui sont aussi tarés voir même pire.
Il y a des tares dans la communauté maghrébine issue de l'immigration mais est-ce que c'est mieux ailleurs? Allahou A3lam, je ne pense pas.
Les maux qui touchent les "rebeux" touchent beaucoup de personnes et ce peu importe leur origine.
Tu es célibataire?
Si tel est la cas envoie moi un mp
Merci
Quel est le rapport?
J'ai pas compris où tu voulais en venir.
Citation
Bisonfute a écrit:
Terrible constat ,mais pourquoi dénigrer les maghrébines"beurettes" de cette manière ,souvent venant des maghrébins qui vomissent surleurs congénères ,en avouant leurs attirances pour les gawriates qu ils qualifient de plus "classe"plus ....je ne sais quoi.d ou vient cette frustrations ,ce dégoût ,cette haine
Citation
hassanbladi a écrit:Citation
laperle rare a écrit:
ouai il fait des cauchemars il parle dans son sommeil il dit
beurette beurette !! au secours
nan mais sérieux il commence à m inquièter
pourquoi cette prise de tête !!
il y a des gens ils cherchent des vaccins
il y en a ils font des livres sur les beurettes !!
c'est quoi ça non d un chien
en gros ces gens là n ont rien ds la téte à part surveiller les voisines à droite à guauche
Citation
Mascarade a écrit:
Celles qui vont se prostituer à Dubai, viennent directement du Maroc.
Quand aux beurettes, elles y vont pour les vacances.
Au fait, pourtant tant de rancœur?
Tu t'es fait recalé par des beurettes?
Citation
mariageourien a écrit:Citation
bisousdemoi a écrit:
Les gens de Dubai aiment beaucoup les marocaines, la preuve j y vais tout le temps labas
Les prostituées.
Car ils respectent leur femmes au detriment des beurettes.
Citation
mariageourien a écrit:Citation
Mascarade a écrit:
Celles qui vont se prostituer à Dubai, viennent directement du Maroc.
Quand aux beurettes, elles y vont pour les vacances.
Au fait, pourtant tant de rancœur?
Tu t'es fait recalé par des beurettes?
Citation
mariageourien a écrit:Citation
bisousdemoi a écrit:
Les gens de Dubai aiment beaucoup les marocaines, la preuve j y vais tout le temps labas
Les prostituées.
Car ils respectent leur femmes au detriment des beurettes.
Quelle est la corrélation avec hypothétiques rateaux et la schezophrenie de la lie de cette communauté?
Citation
Mascarade a écrit:
Le rapport n'est pas avec le titre, mais, avec ton message.
Pour preuve, je t'ai cité.
Relis plusieurs fois si tu n'as pas compris.
Citation
mariageourien a écrit:Citation
Mascarade a écrit:
Celles qui vont se prostituer à Dubai, viennent directement du Maroc.
Quand aux beurettes, elles y vont pour les vacances.
Au fait, pourtant tant de rancœur?
Tu t'es fait recalé par des beurettes?
Citation
mariageourien a écrit:Citation
bisousdemoi a écrit:
Les gens de Dubai aiment beaucoup les marocaines, la preuve j y vais tout le temps labas
Les prostituées.
Car ils respectent leur femmes au detriment des beurettes.
Quelle est la corrélation avec hypothétiques rateaux et la schezophrenie de la lie de cette communauté?