Citation
Abystrophe a écrit:
Je ne connais pas trés bien les BU marocaines et c'est la raison pour laquelle je te demandais s'il y avait des incunables et s'ils étaient en cours de numérisation ?
Il est certain que la numérisation est un grand pas dans le monde de livre mais il a quand même suiscité de nombreux débats notamment avec Google. Est-ce l'ouvrage demeurera ancien, rare et précieux que l'original, même s’il trouve un nouveau support et une nouvelle diffusion ?
Mais grâce au programme de numérisation, les collections sont facilement et gratuitement accessibles dans le monde entier notamment pour la recherche.
Tu est en histoire de l'Art ? En France ?
Citation
Abystrophe a écrit:
J'ai essayé de comprendre le condenseur de rosée.
D'après ce que j'ai lu sur le web, dans certaines périodes et certains lieux, la rosée est utilisée pour pallier l'absence de l'eau. Dans les endroits où la pluviométrie est très faible, mais où la rosée est fréquente, Le Maroc par exemple, la rosée est collectée par des condenseurs de rosée, en guise d'eau potable.
Si je comprends bien, c'est une façon écologique de récupérer de l'eau ?
Ce procédé est déjà utilisé au Maroc, tu comptes l'utiliser à Debdou, ce procédé peut-être utilisé à Ain Beni Mathar ?
Excuse mes questions stupides et mon ignorance.
Citation
ok a écrit:Citation
Abystrophe a écrit:
J'ai essayé de comprendre le condenseur de rosée.
D'après ce que j'ai lu sur le web, dans certaines périodes et certains lieux, la rosée est utilisée pour pallier l'absence de l'eau. Dans les endroits où la pluviométrie est très faible, mais où la rosée est fréquente, Le Maroc par exemple, la rosée est collectée par des condenseurs de rosée, en guise d'eau potable.
Si je comprends bien, c'est une façon écologique de récupérer de l'eau ?
Ce procédé est déjà utilisé au Maroc, tu comptes l'utiliser à Debdou, ce procédé peut-être utilisé à Ain Beni Mathar ?
Excuse mes questions stupides et mon ignorance.
Tes questions ne sont pas stupides, je me pose les mêmes. Si tu as bien suivi le topo, le condenseur de rosée a servi au Maroc à titre experimental entre Juillet et Août 2008. Il se base essentiellement sur les traveaux présentés dans la thèse de doctorat d'Owen Clus (doctorant à l'UNIVERSITE DE CORSE PASQUALE PAOLI FACULTE DES SCIENCES ET TECHNIQUES ) dont le titre est condenseurs radiatifs de la vapeur d'eau atmosphérique (rosée) comme source alternative d'eau douce soutenue en 2007, et mis en ligne. Cette expérience conduite au maroc, c'est elle même faite dans le cadre du co-encadrement de thèse d'Imad Lekouch (CEA-ESPCI/Université d'Agadir/Université de Corse), avec pour but:
- d'étudier la contribution rosée/brouillard/pluie
- de développer de nouveaux systèmes de collecte pour les spécificités géographiques locales.
Source
Son usage n'est donc pas encore prévu avant sa commercialisation. A moins qu'il n'existe un moyen d'établir un projet en collaboration avec l'IRD et une association, comme cela c'est fait dans ce village Marocain du Sud. Cela ne m'étonnerait pas de savoir que le gouvernement marocain s'intéresse de prés à cette technique
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ok a écrit:Citation
Abystrophe a écrit:
Je ne connais pas trés bien les BU marocaines et c'est la raison pour laquelle je te demandais s'il y avait des incunables et s'ils étaient en cours de numérisation ?
Il est certain que la numérisation est un grand pas dans le monde de livre mais il a quand même suiscité de nombreux débats notamment avec Google. Est-ce l'ouvrage demeurera ancien, rare et précieux que l'original, même s’il trouve un nouveau support et une nouvelle diffusion ?
Mais grâce au programme de numérisation, les collections sont facilement et gratuitement accessibles dans le monde entier notamment pour la recherche.
Tu est en histoire de l'Art ? En France ?
L'ouvrage restera toujours ancien (en tant qu'objet).
C'est comme pour les auteurs que nous étudions à l'école, comme Voltaire ou Montesquieu par exemple. Leurs oeuvres sont anciennes, mais la diffusion a permis de les pérenniser et de les rendre accessibles à tous! Les originaux quant à eux sont visibles dans des lieux comme la BNF ou dans des musées je pense. L'orginal a une valeure particulière, car il témoigne et atteste en tant que source.
Il n'y a pas que les ouvrages anciens qui sont numérisés, mais toute sortes, comme des romans, des BD, ou bien des mangas. Mais la démocratisation sera complète quand le e-book sera accessible à tous. pour l'instant, le prix des supports electroniques sont assez chers (entre 80 et 100 euros), car il est vrai que la lecture sur un écran est trés fatiguante, et que seul des supports adaptés permettraient une lecture plus reposante (éclairage spécifique par exemple)!
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ok a écrit:Citation
Abystrophe a écrit:
J'ai essayé de comprendre le condenseur de rosée.
D'après ce que j'ai lu sur le web, dans certaines périodes et certains lieux, la rosée est utilisée pour pallier l'absence de l'eau. Dans les endroits où la pluviométrie est très faible, mais où la rosée est fréquente, Le Maroc par exemple, la rosée est collectée par des condenseurs de rosée, en guise d'eau potable.
Si je comprends bien, c'est une façon écologique de récupérer de l'eau ?
Ce procédé est déjà utilisé au Maroc, tu comptes l'utiliser à Debdou, ce procédé peut-être utilisé à Ain Beni Mathar ?
Excuse mes questions stupides et mon ignorance.
Tes questions ne sont pas stupides, je me pose les mêmes. Si tu as bien suivi le topo, le condenseur de rosée a servi au Maroc à titre experimental entre Juillet et Août 2008. Il se base essentiellement sur les traveaux présentés dans la thèse de doctorat d'Owen Clus (doctorant à l'UNIVERSITE DE CORSE PASQUALE PAOLI FACULTE DES SCIENCES ET TECHNIQUES ) dont le titre est condenseurs radiatifs de la vapeur d'eau atmosphérique (rosée) comme source alternative d'eau douce soutenue en 2007, et mis en ligne. Cette expérience conduite au maroc, c'est elle même faite dans le cadre du co-encadrement de thèse d'Imad Lekouch (CEA-ESPCI/Université d'Agadir/Université de Corse), avec pour but:
- d'étudier la contribution rosée/brouillard/pluie
- de développer de nouveaux systèmes de collecte pour les spécificités géographiques locales.
Source
Son usage n'est donc pas encore prévu avant sa commercialisation. A moins qu'il n'existe un moyen d'établir un projet en collaboration avec l'IRD et une association, comme cela c'est fait dans ce village Marocain du Sud. Cela ne m'étonnerait pas de savoir que le gouvernement marocain s'intéresse de prés à cette technique