Je suis venu te dir'que je m'en vais et tes larmes n'y pourront rien changer comm'dit si bien Verlaine "au vent mauvais" je suis venu te dir'que je m'en vais tu t'souviens des jours anciens et tu pleures tu suffoques, tu blémis à présent qu'a sonné l'heure des adieux à jamais oui je suis au regret d'te dir'que je m'en vais oui je t'aimais, oui, mais- je suis venu te dir'que je m'en vais tes sanglots longs n'y pourront rien changer comm'dit si bien Verlaine "au vent mauvais" je suis venu d'te dir'que je m'en vais tu t'souviens des jours heureux et tu pleures tu sanglotes, tu gémis à présent qu'a sonné l'heure des adieux à jamais oui je suis au regret d'te dir'que je m'en vais car tu m'en as trop fait- je suis venu te dir'que je m'en vais et tes larmes n'y pourront rien changer comm'dit si bien Verlaine "au vent mauvais" tu t'souviens des jours anciens et tu pleures tu suffoques, tu blémis à présent qu'a sonné l'heure des adieux à jamais oui je suis au regret d'te dir'que je m'en vais oui je t'aimais, oui, mais- je suis venu te dir'que je m'en vais tes sanglots longs n'y pourront rien changer comm'dit si bien Verlaine "au vent mauvais" je suis venu d'te dir'que je m'en vais tu t'souviens des jours heureux et tu pleures tu sanglotes, tu gémis à présent qu'a sonné l'heure des adieux à jamais oui je suis au regret d'te dir'que je m'en vais car tu m'en as trop fait
alors les paroles de cette chanteuse me font rire,j'aime bien comment elle se moquent dans ces chansans et puis on entend bien sur ces cd ses spectateurs qui rie :
Chéri, tu ronfles
Moi j'aurais jamais cru Que j'penserais au divorce Mais l'idée m'est venue Vers la fin d'la nuit d'noces C'est pas que j'te déteste Ou que j'veux t'voir mourir C'est juste que tu m'agresses Chaque fois qu'tu respires ! Non c'est pas qu'tu m'écœures Ou que j'peux plus t'sentir Mais essaie de dormir Dans la pelle d'un tracteur ! C'est pas qu't'es pas gentil C'est qu't'as dû avaler Lorsque t'étais petit Un moteur de Harley
Chéri, tu ronfles
J't'ai donné des coups d'genou J't'ai secoué, j't'ai tourné J't'ai roué de coups d'pied Ça n'a rien changé du tout Quand t'es près d'étouffer Là je guette en silence Presque entrain d'espérer E puis "rrron" tu r'commences J'me suis mis des bouchons Et des bonnets d'grand-mère Mais y a tes vibrations Mesurables sur "Richter" J't'ai acheté toutes les marques D'humidificateur Pour calmer tes horreurs D'amygdales qui claquent Et puis j'ai bâillonné Ta grosse face de limace En osant prétexter Que c'était un fantasme Quand j'te pince les narines Jusqu'à c'que ça fasse mal C'est au tour des babines De faire "ppfff" comme un cheval Y aurait l'opération Qui nous sauverait la vie Mais monsieur l'étalon A peur des bistouris Pourrais-tu m'expliquer Me confier ton secret Dis, t'es-tu fait greffer Entr'la gorge et le nez Un broyeur à déchets... ? Y a sûrement une façon Une potion miracle A donner aux cochons Pour ne plus qu'y renâclent Moi j't'aimerais ma grenouille Si c'tait pas qu'tu coasses Si j'ramonais ta face A grand coup de quenouilles Au début j'me disais Que j'allais m'habituer Mais alors j'ignorais Que t'allais empirer !!! Là, j'comprends le bonheur Le bonheur de ta mère au mariage Elle rêvait qu'son enfant Qu'son enfant-pas-d'muffler déménage ! J'vais te tirer d'affaire Si tu veux que j'me charge De t'trouver un garage Ou un vétérinaire Sinon, r'tourne chez ta mère Avec ton vice caché J'vais lui dire de t'refaire Et puis de s'appliquer !!!
ouf j'ai eu peur en lisant ton 1er poste j'ai cru que tu voulais partir mais j'suis rassurée, tu ve juste nous faire partager des belles chansons
Merci
Décevoir
J'ai aucun compte a rendre a quelque âme qui vive j'ai pas d'conseil a prendre que je saurais pas suivre si je prie si je mens si je dis des bétises je ferai pas autrement quoi que tu fasses ou dises tu seras jamais ma mère et même si tu l'étais j'te déclarerais la même guerre qu'à celle que j'ai si il y a une réussite dont je peux me prévaloir dont j'ai tout le mérite c'est de décevoir j'ai déçu ma famille j'ai déçu mes amours j'ai pas déçu ma fille oh mais j'ai tout fait pour quand j'ai quitté son père elle a penché sa tête elle a pris ses affaires elle a dit je suis prète comme si elle comprenait pourtant j'était fautive elle a dit "oh tu sais" ce sont des choses qui arrivent" elle est monté tranquille dans ma vieille bagnole elle a changé de ville elle a changé d'école je sais que tu m'en veus et que tu me condamnes oui je passe aux aveux et je prends tous les blames toi le témoin gentil de toutes mes erreurs toi qui est mon amie sois-disant la meilleure toi qui t'montre fidèle depuis la petite enfance toi qui est mon modèle un modèle de patiente je savais que j'arriverais a perdre ta confiance mon cœur est si mauvais qu'tu tremble d'impuissance tu sais ou j'me les mets tes belles remontrances puisque j'ai pas d'cervelle c'est bien là ou tu penses s'il fallait que j'men veuille chaqe fois que j'fais d'la peine je serais dans mon cercueil j'me serais ouuvert les veines c'pas vrai qu'y faut que j'me donne une foutue seconde chance qu'y faut que j'me pardonne et que je recommence dis pas d'conneries ma vieille je sais que j'te dérange mais c'est pas demain la veille que j'vais devenir un ange et si c'est aujourd'hui que j'dois perdre ma dernière plutôt ma seule amie eh bien vas-y ma chère j'vais t'ajouter au poids de tous mes grands echecs tout le respect que j'te dois j'vais m'étouffer avec si t'étais pas déçue y'était temps que tul'sois c'était du temps perdu tout ce temps avec moi fallait pas perdre ta vie a vouloir me sauver reprends ton crucifix et laisse moi sombrer il me restera ma fille mon petit rayon d'amour mon restant de famille ma bouée de secours il me restera ma fille qui veut me ressembler qui danse et qui se maquille et qui met mes souliers il me restera ma fille qu'tu m'offres d'adopter car tu crains la béquille qu'elle va m'emprunter ile ne me restera qu'elle voila c'est mon histoire il ne me restera qu'elle seule à décevoir
C'est fou comme cette femme pour nous faire passer des rires aux larmes en un rien de temps
Ça faisait deux petits mois d'amour Qu'on s'connaissait Pas un seul accroc dans l'parcours C'était parfait On a fini par s'faire l'amour On a choisi notre moment On était mûrs, on était sûrs De nos moindre petits sentiments J'étais sceptique, j'étais peureuse T'as mis deux mois À remettre ma confiance boiteuse En bon état J'avais baissé mon bouclier Cessé de nous prédire une guerre J'étais en train d'emménager Lorsque j'ai vu... les souliers verts Des souliers verts à talons hauts Dans l'garde-robe Une paire de souliers verts Aussi suspects qu'ignobles J'les ai r'gardés droit dans les semelles Quand ils m'ont sauté dans la face Et ça puait la maudite femelle Qui a dû les porter rien qu'en masse Et ce fut un interminable face-à-face C'était entre moi et la vieille paire de godasses Et j'ai vu ma vie défiler Devant mes yeux déconcertés Et j'ai senti la sueur couler Le long d'ma tempe ... Ça faisait deux petits mois d'amour Qu'on s'connaissait Fallait voir ça la belle petite cour Que tu m'faisais J'avais cessé d'me protéger Depuis le cœur jusqu'à la chair J'me sentais en sécurité Jusqu'à ce que j'voie... les souliers verts ! Des souliers verts à talons hauts Sur la tablette Une paire de souliers verts de femme Ou de tapette J'les ai r'gardés droit dans les semelles Dieux merci, c'tait pas ta pointure J'suis allée m'mettre des gants vaisselle Pour m'emparer d'ces petites ordures Quand j'suis arrivée dans la chambre En t'les montrant T'étais comme un caméléon sur le lit blanc Je t'ai demandé à qui c'était J'peux pas croire que t'as bredouillé Exactement ce que j'craignais Que t'en avais aucune idée Que t'étais le premier surpris Qu't'avais jamais vu ça avant Au grand jamais, jamais d'la vie Non... sincèrement !! ...Ben oui ça pousse des souliers verts C'est comme une sorte de champignon Une sorte de quenouille ou d'fougère Ça devait être humide dans ta maison C'est parfaitement compréhensible Qu'ça apparaisse des souliers verts J'pense même qu'y en a des comestibles Mais eux, ils poussent dans l'frigidaire C'est sûr qu'j'ai pas à m'inquiéter Des petites chaussures de rien du tout Le petit modèle de fin de soirée Pour dames à quatre pattes ou à genoux Qui sait si c'est pas l'Saint-Esprit Qui est venu t'octroyer des souliers C'comme les brassières en dessous du lit Qui poussent chez d'autres "miraculés" Bien sûr ! Ça faisait deux petits mois d'amour Qu'on s'connaissait J'allais quand même pas laisser ça Nous séparer Mais si tu veux bien mon amour J'vais me permettre un commentaire Pour toutes les jeunes filles au cœur lourd Qui ont rencontré des souliers verts Allez chercher vos gants d'vaisselle Puis jetez-moi ça à la poubelle Vous saurez pas l'fond d'l'histoire Puis c'est p't'être mieux de n'pas l'savoir ! Fermez vos yeux petites brebis Vous irez droit au paradis Le ciel est rempli de petits anges Qui ont jeté des souliers aux vidanges Et puis j'vous parie qu'en enfer Dans la basse-cour du vieux Satan Y a pleins de poules en souliers verts Et y a plein d'maris innocents Qui n'les ont jamais vues avant Non... sincèrement !!! Bien sûr... !