Yep, les poissons devront être bagués pour la traçabilité, sédentarisés en risée et devront être initiés au respect de frontières purement fictives. Les volumes et les tonnages réalisés par les flottes espagnoles et portugaises, sur La cote marocaine, dépassent largement leurs capacités de prise et de pêche mais pas de transbordement en haute mer.
Les produits pêchés sur la cote marocaine méditerranéenne comme atlantique, sont d'origine indiscernable si ce n'est par les yeux de la mauvaise foi. Il faudrait interdire la libre circulation des poissons des cotes sénégalaises et mauritaniennes vers la cote marocaine et traîner en justice le gulf stream.
Bref, il faudrait diversifier notre réseau de distribution tout en l'encadrant, aller vers des marchés qui font prévaloir les intérêts économiques sur ceux vicieux de la politique qui peuvent mordre la main qui les nourrit en ces temps d'inflation, de fortes tensions sur la demande et les ressources alimentaires.
Déjà, nous nous privons d'une partie de nos ressources naturelles au profit du marché extérieur qui crée une rareté et une baisse de qualité pour la demande locale puisque les espèces de premier choix sont exportées le tout en augmentant les prix sur le marché intérieur. Reste donc la question qui a le plus à perdre dans cette affaire ? Certainement pas ceux qui sont déjà perdants en terme de niveau de vie.
Modifié 2 fois. Dernière modification le 07/06/23 12:07 par Blagueur*.
c est pas les clients qui manque le Maroc devrait assurer la pêche et la transformation et les revendre au prix fort au lieu de les brader ses richesses a 3 fifrelins