comme l’a confié Amine Kabbaj au Monde. Il confirme : «Il y a une incompréhension ; on ne donne pas d’importance au fait culturel. Les Romains ont vécu dans notre région pendant deux siècles, qui le sait ? La culture, c’est un levier social, éducatif et économique. C’est aussi un secteur qui a un nombre incalculable d’emplois à créer dont nous avons besoin.» je conseille a Si Amine Kabbaj de consulter les CV des responsables locaux, élus et administratifs (j'en connais quelques uns), leur capital culturel et artistique est =0,
Si Amine Kabbajil se rendrait alors compte que, les succès culturels et artistiques qu'a connu antérieurement la ville ocre, sont le fruit d'intervention de hauts responsables, ou d'actrices et d'acteurs chevronnés de l'événementiel conscients du fait culturel et de son impact sur le développement, Essaouira comme exemple. .
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