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Apropos de Hicham El Gerrouj quel Hipocryte ...
r
3 janvier 2005 11:18
je pense que le monsieur qui a commencer cette discussion fera mieux de fournir des preuves pour les gens curieux.

moi personnellement, j'ai bcp de respect pour elguerruouj et même s'il y a des licenciement ou qq choses de cette sorte , c'est ça les affaires ( tu es bon aux yeux des uns et mauvais au yeux des centainessmiling smiley tu peux rien faire que subir les critiques bidons)

Autre chose pour te dire romeo, il n'y a pas d'âge pour apprendre une langue, moi j'ia appris le français et l'anglais à 28 ans.j'étais touche mais je ten veux pas car je sens ta frustration mon petit.

question de fautes d'orthographe je m'en fous car ce n'est pas ta langue maternelle, je suppose

MAISTu dis que tu as doctortat en.......und so weiter(und kannst du kein areirt finden) et tu trouves pas de boulot, c'est normal si tu reste critiquer les gens avec des conneries et tu crois ce qu'on écrit dans des journaux parfois bidons, tu trouvera jamais du boulot. manie toi le C , ici en europe on trouve pas des gens qui parle anglais français allemand, bouge toi
fournis des preuves aux gens et sois pas comme les gens qui prennent 30 dh de rachoi et mentent et disent n'importe quoi
à toi
r
3 janvier 2005 11:19
ok a écrit:
-------------------------------------------------------
> vous savez que hicham detien les actions d'un
> bateau auquel il a donné le nom de sa ville!
> le berkan.il ft la navette melila et almeria
>


et alors ???? où est le problème???
il a bien gagné sa vie ,
n
3 janvier 2005 14:44
faudrait savoir t'es au chômage ou cadre banquier ? juste une question comme ça au passage ! grinning smiley


romeo2oo4 Masculin , 25, Célibataire


Bonjour a tous ! cava la vie! vous avez entre 18 et 99 ce message et pour vous smiling smiley.. je m'apelle Hicham j'ai 25 je suis Cadre banquier au Maroc je cherche quelqu'un de sympa, drole ,sincere .. c peut etre toi ..smiling smiley


[www.yabiladi.com];

Ps1 : oui je suis curieuse
Ps2 : non je cherche personne (on sait jamais !!)
s
3 janvier 2005 15:00
C'est plus tot une tete d'ali baba , et non d'un romeo !!!

Je plaisante .
siryne
m
3 janvier 2005 15:56
Romeo le jaloux!!Docteur en jalousie marocaine,3 diplomes chercheur jaloux..

Hisham el gerouge n'est pas mon hero,c'est une personne qui a reussi sa vie ,,BRAVO!,c'est vrais il y'a eu cette affaire de terrain offert par le roi,mais bon s'il arrive à faire quelque chose avec tant mieu,il a virré des gens???si ils sont des feignants ,tant pi pour eux!
M
3 janvier 2005 16:31
Hey faites gaffe , c'est de la Ghayba ça ... Au moin lui , il a levé le drapeau marocain 1000 fois devant le monde entier ! il vien d'etre nomé champion des champions sportifs de l'anée 2004 . C'est une fierté pour notre pays!! Freinez votre haine qui atteind chaque fois nos stars et champions marocain(e)s!!! on s'en fou de sa vie privé , on est fiere de son talent qui a honoré le Maroc! Vive Hicham !
h
3 janvier 2005 17:13


Portrait. Dr Hicham et Mr El Guerrouj

Hicham El Guerrouj n’est pas seulement un héros national, il a conquis une gloire internationale unique pour un sportif marocain. Pourtant, son image chez nous reste brouillée, et le personnage suscite toujours la polémique. Portrait d’un homme d’exception.


Il a mis tout le monde d’accord. La presse internationale est à ses pieds. Elle parle de lui comme d’une "légende" (USA Today), un "raïs" (Reuters), un "géant" (BBC). Ceux qui en veulent plus seront servis sur le très complet site www.kingofthemile.com. La communauté des anciens athlètes le porte aux nues, comme Steve Cram : "Il est le meilleur miler
de tous les temps". Les instances officielles ne sont pas en reste, puisque le CIO vient de le nommer au comité des athlètes. Jamais un sportif marocain n’avait atteint un tel niveau de reconnaissance. C’est l’occasion de se pencher sur l’athlète El Guerrouj et sur l’homme Hicham, un extraterrestre sur les deux plans. Commençons par l’athlète. Les chiffres, le palmarès parlent d’eux-mêmes. Quatre fois champion du monde, recordman depuis 1998 du 1500 m en 3'26"00 (rappelez vous, la barre mythique des 3'30" à l’époque d’Aouita…), également recordman du mile et du 2000 m. Et, depuis peu, double champion olympique. Pour trouver un élément de comparaison digne du Berkanais, il faut remonter aux années 20 et à Paavo Nurmi, unique double médaillé 1500 m - 5000 m de l’histoire olympique. Même si cette comparaison est rendue absurde par le fait que jusqu’à ces dernières Olympiades, un tel doublé était rendu impossible pour des raisons de calendrier (les premiers tours des deux épreuves se couraient le même jour), la référence est claire : Hicham El Guerrouj est au sommet de l’Olympe, un mythe vivant.
Mais si les médias encensent le héros, c’est également par intérêt commercial. "Hicham El Guerrouj, c’est le seul athlète qui, à ma connaissance, soit assez populaire pour nous faire bouleverser nos programmes lorsqu’il court", explique Jean-François Peres, grand reporter à Radio France Internationale. Dans un domaine écrasé par des Kenyans peu télégéniques parce que trop interchangeables, et à la durée de vie sportive courte, Hicham El Guerrouj représente une figure stable, constante, à laquelle les téléspectateurs peuvent s’accrocher. Pour Jean-François Peres, "c’est un des rares sportifs qui font qu’on parle encore de l’athlétisme". Ajoutez à cela que Hicham court le 1500 m, à la fois une course élégante et une distance mythique à cause de sa proximité avec l’aristocratique mile anglais, et vous comprendrez mieux pourquoi Hicham déchaîne la presse. Mais Hicham El Guerrouj, c’est aussi une belle histoire à raconter. Sa domination insolente sur le 1500 m au cours des huit dernières années aurait pu tuer cette distance, lasser le public à l’image du désintérêt général pour le 3000 steeple, outrageusement dominé par les Kenyans. Mais Hicham - bien involontairement - a su entretenir le suspense olympique, ratant à deux occasions le sacre promis dans des conditions terribles (une chute à Atlanta et un "blocage" à Sydney). Il a ainsi hérité d’une image de martyr, qui a entretenu l’intérêt général autour de sa participation aux derniers JO. Résultat, ses victoires n'en sont que plus belles. Parce qu’en plus, elles sont télégéniques, voire, comme le dit CNN, "dramatic".
Passée la ligne d’arrivée, la machine à courir se transforme instantanément en gamin, qui célèbre sa joie sans retenue comme il pleure à chaudes larmes lors de ses défaites. C’est que Hicham El Guerrouj n’a pas eu d’enfance. Il a intégré l’Institut national d’athlétisme très jeune, à 15 ans. Dès que les entraîneurs nationaux lui ont fait comprendre qu’il pouvait être l’homme le plus rapide du monde sur 1500 m, plus rapide que le légendaire Aouita, il a tout mis en œuvre pour y arriver. Aziz Daouda, directeur technique national : "Ce qui le différencie des autres, c’est qu’il y a cru très jeune. Il s’est voué à la course à pied, avec une prétention, celle d’être le meilleur. Pour être digne de son talent, tout simplement". Au moment où les autres gamins jouent et s’amusent avec leurs copains, le soldat Hicham martèle les pistes, abandonnant au passage ses études. Aziz Daouda se souvient : "Je l’ai repéré à Safi, lors du championnat du Maroc de cross country. Il transpirait le talent. Je suis allé le voir, pour lui demander s’il allait à l’école. Il m’a répondu que oui. Je lui ai alors dit de revenir me voir le jour où il aurait arrêté, avec l’accord parental, bien sûr. Il s’est pointé quelques jours plus tard avec un papier légalisé qui attestait qu’il avait l’accord de son père pour intégrer l’institut".
Cette scolarité avortée, malheureusement inévitable dans un pays qui ne propose aucun cursus adapté aux sportifs de haut niveau, Hicham la vit comme une blessure, presque un complexe. Devenu star, il prendra des cours de français et d’anglais, pour s’adresser aux médias internationaux. Lorsqu’on lui parle de reconversion, il évoque immanquablement des études de management, aux États-Unis. Toujours être le meilleur, toujours la culture de l’effort. C’est là qu’il faut décrire ce qu’est l’athlétisme de haut niveau. Contrairement au football ou au tennis, qui sont avant tout des jeux, la course à pied est un effort solitaire. Pour continuer à s’entraîner avec rage, à accepter de souffrir pour quelques secondes de gloire tous les deux ans, il faut un moteur interne puissant. C’est peut-être ce qui explique la prédominance des pays africains sur ces distances. Steve Cram, grand concurrent de Aouita, a été le premier homme à franchir la barre mythique des 3'30" sur 1500 m. Pourtant, il a eu une carrière bien plus courte que son talent ne le laissait penser. Najib Salmi, rédacteur sportif à L’Opinion estime que : "Steve Cram est un Anglais de bonne famille. Il voulait jouer au golf, profiter de la vie. Lorsqu’il dit aujourd’hui qu’il admire El Guerrouj, ce n’est pas seulement pour la qualité de ses performances, c’est aussi pour sa capacité à continuer à souffrir, malgré les victoires, malgré les records, malgré l’argent. Lui n’en a pas été capable".
Le moteur de l’athlétisme, c’est le défi permanent. Dans quel autre sport peut-on se targuer de faire reculer les limites de l’homme, de se battre contre l’absolu ? Battre un record, c’est exactement cela. Dans ces conditions, comment s’étonner que Hicham El Guerrouj s’appuie sur un ego surdimensionné pour le propulser vers l’avant. Dans notre pays, où le star system n’est pas de mise, il est un des rares sportifs à se rendre inaccessible. C’est un homme susceptible, convaincu que ses exploits ne sont pas suffisamment mis en valeur par la presse nationale, avec qui il a eu souvent maille à partir. C’est ainsi qu’en juillet 2001, à quelques semaines des JO, il prend à partie un photographe sans raisons apparente, et brise son appareil photo après une altercation violente. Le scandale est inévitable. Il sera pourtant évité, puisque l’athlète invite tout le monde à dîner chez lui, avant de s’excuser et de proposer un dédommagement. Mieux encore, il demande au photographe de lui offrir l’appareil brisé : "Je veux le mettre avec les médailles, pour ne pas oublier qu’il faut toujours garder son contrôle". Tout le paradoxe El Guerrouj est résumé dans cette anecdote, celui d’un homme qui aime se définir lui-même comme "un morceau de cristal, à la fois très dur et très fragile". Avec les journalistes, il peut être à la fois méfiant jusqu’à la paranoïa, puis totalement impudique. Conséquence directe, il collectionne les déclarations malheureuses, avant de prendre conscience de leur impact et de s’estimer piégé.
Toujours être le meilleur, "le fils unique de la nation", selon l’excellente expression de Jean-François Peres. Pour cela, il n’hésite pas à faire place nette, jusqu’à accabler son compatriote Brahim Boulami avant même que la suspension de ce dernier soit rendue officielle par le CIO. "On aurait aimé qu’envers Boulami, El Guerrouj ait eu la même retenue qu’envers Lagat, lui aussi suspecté de dopage lors des championnats du monde de 2003", regrette Najib Salmi. Ses rapports avec ses compatriotes de l’équipe nationale d’athlétisme ne sont pas au beau fixe. Obsédé par la reconnaissance, on lui reproche des caprices de diva, qui refuse de partager sa piste avec les autres athlètes. On lui reproche aussi ses rapports privilégiés avec le pouvoir : "Quand j’ai voulu louer une ferme du gouvernement, le roi Mohammed VI a voulu me donner un coup de main. Mais j’ai respecté le cahier des charges en gardant la soixantaine d’ouvriers, en payant presque deux millions de francs les terrains. J’ai tout fait dans les règles. Malheureusement, les syndicats et les partis politiques étaient tous contre moi. Je ne sais pas pourquoi ?" (*)
Plus généralement, on a l’impression qu’avec Hicham El Guerrouj, on a affaire à "un athlète d’État", quasiment au sens soviétique du terme. Un homme qui a tout fait pour porter seul le poids du pays sur ses épaules, au risque de le trouver trop lourd pour lui. Un vrai patriote, qui tire une immense fierté de ses rapports privilégiés avec Hassan II (qui l’a consolé après son échec d’Atlanta), puis avec Mohammed VI, qui l’a félicité au téléphone devant les caméras du monde entier à Athènes. Il est devenu l’ambassadeur numéro un du pays, endossant, à chaque cérémonie mondiale, une djellaba nationale. Sa quête de perfection, qui passe par certaines maladresses, le pousse à prendre naïvement la tête d’une croisade anti-dopage que les spécialistes considèrent du point de vue éthique comme des plus contestables. Hicham n’en n’a que faire, il porte le ruban rouge, symbole de cette croisade qui ne sanctionne que les athlètes des pays pauvres…
Il veut être le premier de la classe, au risque d’agacer. Mais serait-il Hicham El Guerrouj, sans cet acharnement à vouloir truster les premières places, dans les cœurs, dans les journaux, sur les pistes et dans les comités officiels ? Aurait-il eu pareille carrière sans s’appuyer sur un tel ego ? Sans exploiter jusqu’à l’impudeur sa chute d’Atlanta et son échec de Sydney, aurait-il su se surpasser à Athènes ?
En d’autres termes, reprocher certains comportements à Hicham El Guerrouj ne revient-il pas à lui reprocher d’être Hicham El Guerrouj ? Pour un athlète qui a consacré sa vie à atteindre un objectif, celui d’être le meilleur, il n’y a qu’une façon de le juger, son œuvre : à la lecture des résultats. De ce point de vue, Hicham a réussi, il est le meilleur. L’histoire retiendra son nom, en caractères géants, et tout le reste n’est que littérature…
(*) : source : L’humanité, quotidien français


w
3 janvier 2005 17:29
wahahahahahahhahahahahah
mdrrrrrrrrrrrr
hehehehehehehhehhehehehe


les admirateurs
(( ma grande fille , qui est devenue grand mère , commence à me comprendre mieux que tous les autres… ))
t
3 janvier 2005 17:47
quelles sont tes srources romeo ???

quand tu dit : "et oui voila notre héro qui se prend pour la legande vivante celui qui n'a apris le français que à l'age de 25 aans"

Alors lui au moins il a appris quelque chose et franchement je trouve ce que t'as dit vraiment petit


et pour moi, tout cela est de la pure jalousie.

chacun fait fais ce qu'il veut de sa vie.
w
3 janvier 2005 17:50
pour les admirateurs vous n avez ka poser devant sa villa et arreter de nous casser la tete
(( ma grande fille , qui est devenue grand mère , commence à me comprendre mieux que tous les autres… ))
3 janvier 2005 18:00
Merci hux02 , ça feras taire les mauvaises langues ...
c
3 janvier 2005 23:27
tu as raison romeo c un frimeuret hautain limite arogant ce gerroug,sa facon de repondre aux journalistes ,il repouse meme ses adverssaires voulant le congratuler,c est se qu on appele attraper la grosse tete. amicallement rachid
4 janvier 2005 01:31
hé béh, post agressif, qui a viré en guerilla personnelle, zen les gens.
Moi je serai décu par el gerrouj si ca s'avérait. Mais le fait de demander a que son histoire soit dans les bouqins d'histoire, je trouve ca pousser le bouchon un peu loin, et le fait de licencier 30 personnes sans indemnités c'est la dure réalité du travail au maroc, ca me peine, mais bon je demande a avoir plus de preuves
La vie est dure mais ..."Alhamdoulillah 3ala kouli hal":)[color=#330066]Un humain, un homme, un frére[/color] :)
ok
4 janvier 2005 10:42
m?!\ a écrit:
-------------------------------------------------------
> ok a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > vous savez que hicham detien les actions
> d'un
> > bateau auquel il a donné le nom de sa ville!
> > le berkan.il ft la navette melila et almeria
> >
>
>
> et alors ???? où est le problème???
> il a bien gagné sa vie ,


je demande seulement ce que vous en pensiez...(ce que vous avez omis de citer ou bien fait expres dans une intention belliqueuse)
de plus vous vous contredisez en disant que cela est une critique.car le fte de donner le nom de sa ville à un bateau, peut aussi etre perçu d'un bon oeil.
bon alors revenant donc à nos moutons.
que pensez vous du fte qu'il est appellez son bateau(qui appartenez ou appartien encore à la compagnie comarit je pense)
C
4 janvier 2005 12:34


Salam,

Moi je trouve ça bien qu'il ait donné le nom de sa ville natale au bâteau qu'il a acheté...ça prouve tout simplement qu"il n'oublie pas d'où il vient

Il aurait pu le baptiser Super Hicham, ou El guerrouj le grand ??

lahssad ma i dir...eye rolling smiley
t
4 janvier 2005 14:20
mdr Chireen
b
4 janvier 2005 16:01
si c'est vrai cette histoire et bien je trouve que c'est tres bien qu'il baptise ce bateau au nom de berkane. c'est une ville marginalisee au niveau poltique et culutrel, mais qui donne enormement au pays. en plus c'est sa ville, la ou il a grandi, et c'est tres tres bien qu'il l'honnore, a sa manier.

je ne vois pas ce que vous voulez ?? voila que hichem est un marocain, d'origine tres modeste, d'une region eloignee du centre, et qui n'arrive meme pas faire de etudes, pourtant il montre au monde entier quelle grandeur une telle personne peut atteindre. au lieu de vous rejouir qu'un des votres realise un tel exploit, vous faites dans le cynisme. c'est une bassesse sans pareil.

personnellement je suis tres tres fier de ce mec. a athenes il a fait vibrer le coeur de tous les marocains et on pouvait suivre comment les grands champions, pas seulement de ses disciplines, et meme ses rivaux, lui devaient respect et tendresse. le monde entier l'a admire et ne cesse de le recompenser. lisez en bas par exemple.

il n'y a que cette sorte de marocains defaitistes, atteints par la maladie de cynisme, et d'autoderision qui n'arretent de le denigrer.

comparer ce mec a aouita est aberant. chacun a son temps et ses gloires.

aux cyniques: savez-vous d'autres athletes arabes qui se laissent celebrer de telle maniere par le monde entier ???? non ?? alors bouclez-la svp.


##########
Hicham El Guerrouj sacré champion des champions mondiaux 2004 par l'Equipe
MAROC - 3 janvier 2005 - par AFP

L'athlète marocain Hicham El Guerrouj, double champion olympique à Athènes (1500 et 5000 m), a été sacré champion des champions mondiaux 2004 par le quotidien sportif français l'Equipe, annonce lundi le journal.
El Guerrouj, 30 ans, a devancé le Suisse Roger Federer, N.1 du tennis mondial qui a remporté en 2004 trois des quatre tournois du Grand Chelem, et le nageur américain Michael Phelps, vainqueur de huit médailles, dont six en or, aux jeux d'Athènes.

Le "roi" du demi-fond mondial succède au palmarès du trophée au pilote de Formule 1 Michael Schumacher, lauréat ces trois dernières années.

Cette année, 182 personnes (journalistes et correspondants de l'Equipe, l'Equipe Magazine, l'Equipe TV et l'Equipe.fr) ont participé au vote attribuant aux cinq premiers de leur choix respectivement 6, 4, 3, 2 et 1 point.

Ce classement international 2004 ne prenait pas en compte les performances en équipe.

Le classement 2004:

1. Hicham El Guerrouj (MAR, athlétisme) 577 pts

2. Roger Federer (SUI, tennis) 569

3. Michael Phelps (USA, natation) 418

4. Valentino Rossi (ITA, moto) 357

5. Lance Armstrong (USA, cyclisme) 216

6. Michael Schumacher (ALL, automobile) 189

7. Kenenisa Bekele (ETH, athlétisme) 96

8. Hermann Maier (AUT, ski) 87

9. Manu Ginobili (ARG, basket) 84

10. Vijay Singh (FIJ, golf) 41
a
5 janvier 2005 16:17
bikhir a écrit:
-------------------------------------------------------
> si c'est vrai cette histoire et bien je trouve que
> c'est tres bien qu'il baptise ce bateau au nom de
> berkane.


Je sens un peu de chauvinisme dans ce que tu diswinking smiley

Sinon El Guerrouj est un vrai champion…aucun champion sportif arabe, africain ou marocain n´a eu de tels titres et performance, alors je comprend pas pourquoi on s´acharne sur notre Hicham el Berkani.

b
5 janvier 2005 16:36
pourquoi ? je ne t'ai pourtant jamais raconte que je suis berkani :-))

alximo a écrit:
-------------------------------------------------------
> Je sens un peu de chauvinisme dans ce que tu dis

a
5 janvier 2005 16:40
bikhir a écrit:
-------------------------------------------------------
> pourquoi ? je ne t'ai pourtant jamais raconte que
> je suis berkani :-))

Si. Une fois sur le forum, mais je me rappelle plus quand winking smiley


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