Citation
moden a écrit:
Sorti comme un mal propre par la petite porte lui aussi aux oubliettes de l'histoire.
...Et pourtant, lors de son investiture au MAE, les medias et journaleux algériens claironnaient que c'était l'homme de l'année, celui qui allait faire trembler le palais et le peuple marocain et changer la donne au Sahara marocain de par son intelligence, ses expériences en Afrique, en Amérique Latine et ailleurs dans le monde
résultat (Walo); mieux encore, le Maroc n'a jamais eu autant de succès diplomatiques en si peu de temps avant Lammrara, il a réussi a discrédité et éjecté dans la poubelle de l'histoire les corrompus Ban et Ross, ..intégré haut la main l'UA avec 39 voix/54, a repris les relations diplomatique avec Cuba, damer le pion au Venezuela, réduit les aides de Polizbel de 50% , renouer les liens avec le Nigeria (Projet pharaonique Gazoduc) , obtenir la non reconnaissance de la fumeuse RASD par le Malawi....
autrement dit, ce Lamamara a vécu son pire cauchemar, il était une bénédiction pour la diplomatie Marocaine, dommage qu'il ne reste pas encore quelques années au MAE
Citation
Taragalte a écrit:
Lu sur un site d'information algérien : "LAMAMRA était fondamentalement un anti-marocain viscéral assumé. La haine pathologique de tout ce qui est le Maroc et les marocains, fut sa marque de fabrique. De l’avis de tous les spécialistes des relations internationales, il quitte son ministère, la queue entre les pattes, lamentablement défait par la diplomatie marocaine.
LAMAMRA, surnommé le “DOG”, fut un personnage prompt à se pavaner de cette arrogance des médiocres qui caractérise le pouvoir algérien. Mais, à l’instar de l’ensemble de la classe politique et des dirigeants qui tiennent horriblement les rênes de l’Algérie, il ignorait souvent qu’il faisait surtout dans le bruit des seaux vides et des prétentieux sans consistance. Avec lui et les autres, l’Algérie n’a aucune chance de rattraper le retard de 20 ans en comparaison avec les pays africains en voie d’émergence. Avec lui et tous les autres, l’Algérie est condamnée éternellement à regarder les trains du progrès passer."