Avec le Qatar et les Emirats Arabes Unis, le Maroc était l’un des pays arabes à prendre part aux réunions de Paris et de Londres dans le cadre des opérations militaires contre les forces de Kadhafi. Un mois après, le royaume donne l’impression de faire marche arrière : il rencontre un émissaire lybien et affirme que l’option militaire n’est pas la solution.