Le Maroc mène actuellement une politique sévère vis-à-vis les jihadistes qui retournent au royaume. La médiatisation des faits a permis que à l'information d'arriver jusqu'en Syrie. Plusieurs d’entre eux, également candidats au retour, appellent le gouvernement à faire preuve d’indulgence à leur égard.
Officiellement arrêté le 10 décembre dernier pour trafic de drogue et détenu depuis lors, Driss Bouterrada, membre du Mouvement du 20 février [M20] est entre les mains de la justice. L’AMDH et le M20 dénoncent de «fausses accusations» et réclament sa libération ainsi que celle de tous les autres «détenus politiques».