Au début des années 1970, les juifs d'origine marocaine ont décidé de se révolter contre la discrimination pratiquée à leur encontre en Israël. Ils créent alors une organisation baptisée les Black Panthers, pour forcer le gouvernement à discuter de leurs revendications.
Au XVIIIe siècle, lorsque Moulay Mohammed Ben Abdellah voulait transformer Mogador en une ville cosmopolite, il avait choisi pour cette mission son conseiller Samuel Sumbal. Ministre des Affaires étrangères et diplomate au Danemark, il tombera lui aussi en disgrâce et meurt empoisonné à Tanger.
Sultan «particulièrement tyrannique et ouvertement antisémite», Moulay Yazid commence son règne avec une campagne de persécution religieuse des juifs à Tétouan et à Fès avant qu’elle ne touche plusieurs autres villes du Maroc. La parenthèse de cette ère antisémite ne sera fermée qu’avec le décès du fils de Mohammed III, deux ans seulement après son arrivée au
La proximité entre les Israéliens et les amazighs a souvent été mise en exergue. Yabiladi donne la parole à des activistes amazighs pour expliquer les liens unissant les deux parties.
Des représentants de la communauté juive marocaine reviennent sur le ressenti des Marocains de confession juive résidant dans le pays ou en France suite à l’annonce du rétablissement des relations entre Rabat et Tel Aviv décrivant une «liesse générale». Pour eux, la nouvelle aura un impact certain sur les Marocains résidant en Israël, mais aussi le tourisme et l’économie du royaume.
Pour assurer le développement des zones économiques de Fnideq et Nador, le Maroc parie sur l'apport des décideurs économiques juifs installés à Ceuta et Melilla ainsi qu’à Gibraltar.
Dans son rapport annuel sur la liberté religieuse dans le monde pour l'année 2019, le Département d'État américain a affirmé contrairement aux juifs marocains qui pratiquent librement leurs rites, les chrétiens, chiites et athées restent soumis à des restrictions imposées.