En marge du troisième cycle de l’Examen périodique universel (EPU) qui s’est tenu à Genève cette semaine, le Maroc a répondu aux recommandations qui lui ont été soumises pour cette session et aux recommandations choisies en 2012. Les différents pays en ont profité pour rappeler au royaume qu’il a encore du chemin à faire en termes de droits des femmes. Détails.
Au lendemain de l’Examen périodique universel (EPU) du Conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève, lors duquel l’agence onusienne a passé au crible, pour la troisième fois, la situation des droits humains au Maroc, Radidja Nemar, responsable juridique Grand Maghreb à la Fondation Al Karama, revient sur les problématiques qui subsistent.