Alors que le Maroc a séché les deux premières révolutions industrielles, il compte aborder la troisème (celle de la connaissance) avec une armée de diplomés-chômeurs guidée par un quarteron de technocrates ultra-libéraux.
Les gens devront continuer à travailler aux côtés des machines au moment où plus de la moitié des métiers dans le monde, tous secteurs confondus, sont automatisables. C’est ce qui ressort d’une étude signée McKinsey Institute et publiée dimanche. Quant au Maroc, 5,6 millions de postes, soit 51% des emplois peuvent être automatisés. Détails.