En manque de projets sociétaux pour les prochaines élections, les partis politiques marocains brillent par la flambée de démissions.
Changer de couleur politique à la veille de chaque scrutin est une tradition au Maroc. L'échéance du 7 octobre ne dérogera pas à la règle. Plus de dix députés auraient présenté leur démission afin de se présenter aux élections législatives sous de nouvelles bannières politiques.
La transhumance des élus a commencé. A trois semaines des élections communales et régionales du 4 septembre, tous les partis politiques connaissent des défections. Cette année même le PJD n’échappe pas à la règle.