Le suicide de la jeune femme de Ben Guérir après la libération de ses violeurs laisse encore de nombreux Marocains abasourdis. Bien que les autorités locales aient réagi hier en écrouant à nouveau les violeurs présumés, la société civile n’en n’est pas moins choquée. Les ONG dénoncent un «drame quotidien», appelant le Maroc à un «acte réparateur» pour y