«La France en situation postcoloniale ?», tel est le titre d’un dossier qui devait paraitre, initialement en mai dernier, sur la revue de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, avant qu’il ne soit censuré par cette dernière. Le dossier est finalement paru le 15 septembre 2011, Occasion pour ses initiateurs d’organiser deux grandes journées de débats, les 30 et 1er octobre, invitant le public
Une Marocaine de 43 ans est priée de quitter le territoire français le plus rapidement possible. La dame était allée porter plainte pour «violences conjugales» avant d’être placée en garde à vue : elle était en situation irrégulière. Le monde associatif se mobilise pour sa défense. Une nouvelle affaire qui rappelle celle de Najlae Lhimer, tirée d’affaire par Nicolas Sarkozy.
Les autorités françaises durcissent les conditions de séjour des étrangers dans l’hexagone, même pour les étudiants. Elles ont en effet décidé d’augmenter de 70 à 100% d’une bourse de gouvernement français les ressources financières minimales pour l’obtention d’un titre de séjour en France. Une «mesure indigne» selon l’Union nationale des étudiants de France
La rentrée scolaire, littéraire et politique secoue l’actualité de la France et du Maroc. Yabiladi Mag n°10 la passe en revue et met le doigt là où ça fait mal. La rentrée des classes en France ? L’immigration reste une anecdote dans les cours d’Histoire. Les prochaines élections législatives au Maroc ? Aucun compromis en vue entre les partis et le gouvernement. Le Parti Popular bientôt au
Plusieurs Marocains ont été arrêtés depuis juillet dernier, pour avoir présenté de fausses pièces en vue d’obtenir une carte de résident, dans la ville de Don Benito (sud-ouest de l’Espagne). Entrés clandestinement en Espagne, ils fournissaient une fausse attestation justifiant de 3 années de résidence en sol ibérique.
Les affiches controversées du parti néo-nazi allemand, NPD, ont été finalement autorisées hier. Ces affiches au cœur de la polémique depuis mi-août dernier ont été jugées clairement racistes et antisémites. Mais le tribunal administratif de Kreuzberg, qui est derrière cette décision, estime qu’on ne peut pas affirmer de manière «objective» qu’il s’agit d’un