Après les drones et les missiles, les industriels israéliens veulent leur part dans le projet marocain de nouveaux satellites d'observation. La société Israel aerospace industries (IAI), que préside Amir Peretz, est leader mondial en la matière. IAI a déjà conclu un accord avec le Maroc en 2022.
Après la modernisation de sa flotte militaire marine, notamment avec l’acquisition de trois frégates de type Sigma, de fabrication néerlandaise, et la réception la semaine dernière de la FREMM Mohammed VI, le Maroc s’attaque à l’espace. Selon La Tribune, il vient de commander deux satellites espions à la France pour un montant de 500 millions euros.