Il ne fait pas bon être noir de peau et homosexuel au Maroc. Le récit d’Hervé Obiang, un Camerounais résidant actuellement à Tanger, en témoigne. Ayant quitté son pays dans l’espoir de trouver une vie meilleure en Europe, le jeune homme avoue que ses jours ne sont pas «plus simples» au Maroc où les Subsahariens, candidats à l'immigration, sont souvent cibles d’insultes racistes et de violences