Septembre 2011, dans un entretien accordé à la revue Le Débat, le prince Hicham se disait confiant en l’avenir du Maroc : «je suis également optimiste, à terme, pour le Maroc, qui devrait se démocratiser progressivement». Sept années plus tard, la potion de la démocratie à petites doses, comme défendait Hassan II contre la démocratisation tout azimut soutenue par François Mitterrand lors du