Au Québec, bien que le taux de scolarisation des immigrés soit nettement supérieur à celui de la population québécoise d’origine, ces derniers sont les premiers à se retrouver au chômage. La discrimination à l’embauche en est la principale cause selon les conclusions de l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques, qui vient de publier une étude sur la question.