Rodrigo Rodriguez, entrepreneur espagnol, est entré aujourd’hui dans le 16e jour de la grève de la faim qu’il a initiée pour dénoncer une escroquerie dont il serait victime, de la part d’une des filiales du groupe immobilier Addoha. Il ne serait pas le seul dans ce cas…
Le milliardaire marocain Anas Sefrioui a le vent en poupe. Parti à plusieurs reprises à la conquête de pays d’Afrique pour implanter ses cimenteries, le PDG de Douja Promotion Groupe Addoha s’envolera vers la Côte d’Ivoire ce jeudi afin d’y inaugurer la construction d'une cimenterie à Abidjan. D’autres cimenteries sont en cours de construction dans d’autres pays d’Afrique, et deux au Maroc.
Depuis 2010, les cimenteries poussent comme des champignons au Maroc. Normal, le royaume est un immense chantier. Nouvelles autoroutes, nouveaux logements…pour construire, il faut du ciment. Les deux secteurs qui en utilisent le plus sont le BTP et l’immobilier. Problème : le Maroc se retrouve aujourd’hui avec trop d’usines qui produisent du ciment, ce qui sature le marché. Certains ont trouvé la solution : vendre leur surplus en Afrique.
Nouvelles vagues dans la presse marocaine. Après avoir publié un article sur une affaire concernant le journal «Les Echos quotidien», deux sociétés immobilières et M. Sefrioui, nous avons reçu, de la part du PDG du groupe Addoha, une prise de position sur l'affaire (voir encadré) et l'information selon laquelle le groupe entamerait une procédure judiciaire à l'encontre du directeur de publication des Echos, pour
Le début de semaine était tourmenté chez nos confrères des Echos Quotidien. Dans une action vraisemblablement concertée, il y a eu un rachat massif d'exemplaires des numéros du lundi 23 et mardi 24 août. De nombreux lecteurs ont été privés de leur journal qui contenait pourtant une enquête approfondie sur une affaire d'«escroquerie et d'abus de confiance» de la part de deux sociétés appartenant
Si la fin de l’année 2008 a été marquée par la crise financière internationale (et l’effondrement des plus grandes places boursières mondiales), c’est autour des économies réelles d’être impactées avec des tensions sur les secteurs d’activité tels que l’immobilier, le textile, ou l’automobile, gros pourvoyeurs d’emplois.