Avec la mise en place d’une base de données interbancaire, les établissements de crédits marocains se trouvent confrontés à une problématique juridique majeure autour du secret bancaire.
Alors que les experts du Centre Marocain de Conjoncture (CMC) ont mis en question la crédibilité des grandes agences de notation financière, la Banque Marocaine du Commerce et de l'Industrie (BMCI) a été classée relativement bon élève par l'agence Capital Intelligence (CI).
Attijariwafa Bank (AWB), a annoncé jeudi dans un communiqué, avoir acquis deux nouvelles banques : le Crédit du Congo et l'Union gabonaise de banque (UGB). Le groupe bancaire privé marocain dirigé par Mohamed El-Kettani consolide ainsi sa présence en Afrique subsaharienne.
Malgré le ralentissement économique mondial suite à la crise des subprimes aux Etats-Unis, le Maroc affiche une santé de fer. On parle d'un taux de croissance du PIB de 6,8% pour cette année, et de 6,0% l'année prochaine. Le secteur bancaire est un élément centrale dans la stabilité économique du Royaume. Pour nous éclairer sur les forces et les faiblesses de l'économie marocaine, nous avons interviewé un analyse financier vivant à Casablanca. Tour d'horizon du secteur financier
Les transferts d'argent des Marocains résidant à l'étranger sont devenus au fil des années une composante importante de l'économie du Maroc. Avec près de 5 milliards d'Euros en 2007, cette manne financière permet au pays d'équilibrer aisément sa balance des paiements. Néanmoins des critiques sont émises sur son utilisation et la plus value dont pourrait bénéficier le pays si des efforts étaient réalisés dans ce sens. Afin de nous éclairer sur ce sujet, nous nous sommes