Après avoir adressé plusieurs menaces au gouvernement du Qatar, ils sont finalement passés à l’action. Les hackers dénommés «MoroccanKingdom» revendiquent depuis quelques heures le piratage du site web de la bourse du Qatar. Mais pas seulement. Depuis vendredi dernier, plusieurs sites qataris ont également été piratés par le même groupe de pirates. Et pour cause, lors de l’inauguration des
La nouvelle année 2012 est vivement espérée par les bourses nord-africaines, qui enregistrent de lourdes pertes à la fin 2011. Si la palme d’or revient à l’Egypte, le Maroc n’est pas mieux loti.
Alors que la crise des subprimes avait laissé presqu’indifférentes les bourses arabes, les révoltes et révolutions sévissant dans la région les affectent considérablement. Mais cela n’empêche pas la bourse marocaine de connaître de beaux jours. Qu’est ce qui fait sa force ?
Un indice boursier couvrant la plupart des pays arabes vient d’être lancé à New York par l'un des leaders dans ce secteur, le Dow Jones Indexes. Ce Dow Jones destiné au Moyen-Orient et à l’Afrique du Nord (MENA) permet de distinguer les meilleures entreprises cotées de la région. Le Maroc y est présent avec 16 valeurs. Et pas des moindres.
L’Association des juristes d’affaires Marocains (AJAM), organisera, en partenariat avec l'Ambassade du Royaume du Maroc en France, une conférence sur les perspectives liées au développement de la bourse de Casablanca, le 12 avril prochain. De nombreux intervenants sont attendus pour l’évènement.
Un contrat signé vendredi dernier, 19 mars, entre le ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, Mohamed Ameur, et le ministre de l’éducation nationale, Ahmed Akhchichine prévoit de soutenir les enfants des MRE dans leurs études. Le projet vise à lier davantage les enfants des MRE au Maroc, mais les moyens mis en œuvre restent peu clairs.
Comment expliquez la crise qui touche la Bourse de Casablanca ? Il faut d’abord souligner qu’il ne s’agit pas d’une crise proprement dite mais d’une correction sévère et surtout brusque qui fait suite à plusieurs séances baissières. L’ampleur de la correction est à la mesure de la survalorisation de la place où plus précisément de certaines valeurs clés du marché
« C'est la panique ! », ce sont les premiers mots d'un trader à Casablanca que nous avons appelé pour avoir son avis sur l'impact de la crise financière internationale. Hier le MASI dévissait de 3,49%, faisant à peine mieux que le CAC40 (-4,87%). Alors qu'on pensait le Maroc protégé de part ses fondamentaux, voilà que depuis mardi la chute suit celle des différentes places boursières internationales.