Un responsable du Polisario a confié lundi à la presse nationale et internationale à Smara, être «favorable» à un «dialogue» avec comme base, le Plan d’autonomie proposé par le Maroc. Une déclaration guère surprenante car depuis plusieurs mois, de nombreux Sahraouis des camps de Tindouf (sud-ouest algérien) rallient le Maroc.
Alors que le Maroc et le Polisario sont toujours dos à dos concernant l’avenir politique du territoire sahraoui, la proposition marocaine d’autonomie a récemment reçu le soutien d’une célébrité française. Alain Delon, de passage à Marrakech samedi dernier, s’est exprimé sur le sujet.
Le Mouvement pour tous les Démocrates, en collaboration avec, le Cercle des jeunes démocrates marocains, organise le 6 novembre 2009, une manifestation à caractère pacifique. Elle s’inscrit dans le cadre de l'initiative marocaine pour un statut d'autonomie de la région du Sahara. C’est un appel de toute une génération.
Christopher Ross, nouvel envoyé spécial de Ban Ki-Moon pour le Sahara entamera bientôt une tournée dans la région pour essayer de réunir de nouveau les parties concernées par l'affaire du Sahara autour de la table des négociations.
L’étau se resserre de plus en plus sur le Polisario. Après l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, Peter Van Walsum, et le parti socialiste Espagnol au pouvoir dirigé par le chef du gouvernement José Louis Rodriguez Zapatero, c’est autour du parti populaire (PP), d’exprimer sa position face au conflit du Sahara en appelant de Front Polisario à être plus souple et à l’écoute de la proposition Marocaine relative à l’autonomie. La position du PP vient en
Le Maroc change visiblement de politique pour la résolution du dossier du Sahara. Cela est perceptible à travers diverses actions menées tout récemment par le pays. Parmi elles figurent la visite royale au Sahara en mars, la constitution du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires du Sahara (CORCAS)… Aujourd’hui, ce sont ces 48 prisonniers qu’on décide de libérer.