J’aimerais introduire ce texte par quelques signes d’espérance entraperçus ou constatés sur le terrain et qui sont la preuve que cette question de la retraite et du vieillir de bon nombre d’immigrés loin du pays d’origine ne laisse plus indifférents. Il est à rappeler aussi, sans cesse et sans relâche que c’est à l’articulation du droit et de la solidarité que des réponses doivent être