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Breve

Rachid Talbi Alami représente le roi à l’investiture du président élu du Ghana

(avec MAP)
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Temps de lecture: 1'

Le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami, a représenté le roi Mohammed VI, mardi à Accra, à la cérémonie d’investiture du président élu du Ghana, John Dramani Mahama.

La délégation marocaine est composée du ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et de l’ambassadrice du Ghana, Imane Ouadil.

La cérémonie d’investiture du président élu du Ghana a été marquée par la présence de plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement, de présidents de parlements, de ministres et de personnalités politiques, civiles et militaires.

Benoona
Date : le 08 janvier 2025 à 21h50
Il ne peux pas l’obtenir car les Russes utiliseront leur veto pour sauver le voisin du mal
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Berberodie à écrit:
Et si le Maroc obtient (plus vite que prévu) la reconnaissance de son intégrité territoriale au CS et à l'ONU smiling smiley
Berberodie
Date : le 08 janvier 2025 à 13h08
Et si le Maroc obtient (plus vite que prévu) la reconnaissance de son intégrité territoriale au CS et à l'ONU smiling smiley
Citation
Benoona à écrit:
Ce qu’il faut pour expulser la RASD de l’Union africaine (UA) L’expulsion du Polisario de l’Union africaine (UA) nécessiterait un processus diplomatique et politique complexe. Voici les étapes nécessaires : 1. Proposition officielle d’expulsion • Un État membre (très probablement le Maroc ou l’un de ses alliés) devrait soumettre une demande officielle pour expulser la RASD. • La proposition devrait être accompagnée d’arguments juridiques et diplomatiques remettant en cause la légitimité de la RASD en tant que membre de l’UA. 2. Obtenir le soutien des États membres • Pour être adoptée, une motion d’expulsion doit obtenir une majorité des deux tiers des 55 États membres de l’UA. • Le Maroc et ses alliés devraient donc mener une campagne diplomatique intensive pour rallier au moins 37 pays à leur cause. 3. Examen juridique et institutionnel • L’UA Commission et le Conseil de paix et de sécurité (CPS) procéderaient à une analyse juridique pour vérifier si l’expulsion de la RASD est conforme aux textes fondateurs de l’UA, notamment l’Acte constitutif de l’Union africaine. • Cette étape permettrait d’évaluer les conséquences politiques et diplomatiques d’une telle décision. 4. Vote de l’Assemblée générale de l’UA • L’expulsion de la RASD serait soumise à un vote lors d’un Sommet de l’UA, réunissant les chefs d’État et de gouvernement. • La majorité des deux tiers (soit au moins 37 États sur 55) est requise pour adopter la décision. 5. Obstacles majeurs à l’expulsion • Opposition de l’Algérie, de l’Afrique du Sud et d’autres pays alliés à la RASD, rendant difficile l’obtention des 37 voix nécessaires. • Aucun précédent dans l’histoire de l’UA : jamais un membre reconnu n’a été expulsé. • Pressions internationales : les alliés du Maroc (pays du Golfe, certains États africains) pousseraient pour l’expulsion, mais des puissances comme l’Algérie, l’Afrique du Sud et d’autres pays d’Afrique australe s’y opposeraient fermement. 6. Alternatives à l’expulsion Si l’expulsion est trop difficile à obtenir, le Maroc et ses alliés pourraient opter pour d’autres stratégies, telles que : • Geler le statut de la RASD en limitant sa participation aux instances de l’UA. • Modifier les critères d’adhésion à l’UA pour exiger une reconnaissance par l’ONU (que la RASD ne possède pas). • Encourager davantage de pays à retirer leur reconnaissance de la RASD afin d’affaiblir sa légitimité. Conclusion L’expulsion de la RASD de l’UA est une tâche extrêmement difficile mais pas impossible. Le Maroc doit rassembler une majorité des deux tiers des États membres, ce qui reste un défi majeur en raison du soutien de pays influents comme l’Algérie et l’Afrique du Sud à la RASD. L’option la plus réaliste pour le Maroc est donc de réduire progressivement l’influence de la RASD au sein de l’UA plutôt que de viser une expulsion immédiate.
Sakina2020
Date : le 08 janvier 2025 à 08h08
J'ai entendu dire que la constitution de l'UA ne stipule aucune possibilité d'expulser un membre par vote
Citation
bouza75 à écrit:
Ils n'ont pas besoin me semble-t-il de suspendre la reconnaissance de la RASD, ils sont besoin de s'abstenir lors du vote. Et cela est tout à fait possible pour tous ceux que tu as cité car le Maroc entretient de bonnes relations avec eux voir même à des interets importants avec ces pays.
Benoona
Date : le 08 janvier 2025 à 00h49
Ce qu’il faut pour expulser la RASD de l’Union africaine (UA) L’expulsion du Polisario de l’Union africaine (UA) nécessiterait un processus diplomatique et politique complexe. Voici les étapes nécessaires : 1. Proposition officielle d’expulsion • Un État membre (très probablement le Maroc ou l’un de ses alliés) devrait soumettre une demande officielle pour expulser la RASD. • La proposition devrait être accompagnée d’arguments juridiques et diplomatiques remettant en cause la légitimité de la RASD en tant que membre de l’UA. 2. Obtenir le soutien des États membres • Pour être adoptée, une motion d’expulsion doit obtenir une majorité des deux tiers des 55 États membres de l’UA. • Le Maroc et ses alliés devraient donc mener une campagne diplomatique intensive pour rallier au moins 37 pays à leur cause. 3. Examen juridique et institutionnel • L’UA Commission et le Conseil de paix et de sécurité (CPS) procéderaient à une analyse juridique pour vérifier si l’expulsion de la RASD est conforme aux textes fondateurs de l’UA, notamment l’Acte constitutif de l’Union africaine. • Cette étape permettrait d’évaluer les conséquences politiques et diplomatiques d’une telle décision. 4. Vote de l’Assemblée générale de l’UA • L’expulsion de la RASD serait soumise à un vote lors d’un Sommet de l’UA, réunissant les chefs d’État et de gouvernement. • La majorité des deux tiers (soit au moins 37 États sur 55) est requise pour adopter la décision. 5. Obstacles majeurs à l’expulsion • Opposition de l’Algérie, de l’Afrique du Sud et d’autres pays alliés à la RASD, rendant difficile l’obtention des 37 voix nécessaires. • Aucun précédent dans l’histoire de l’UA : jamais un membre reconnu n’a été expulsé. • Pressions internationales : les alliés du Maroc (pays du Golfe, certains États africains) pousseraient pour l’expulsion, mais des puissances comme l’Algérie, l’Afrique du Sud et d’autres pays d’Afrique australe s’y opposeraient fermement. 6. Alternatives à l’expulsion Si l’expulsion est trop difficile à obtenir, le Maroc et ses alliés pourraient opter pour d’autres stratégies, telles que : • Geler le statut de la RASD en limitant sa participation aux instances de l’UA. • Modifier les critères d’adhésion à l’UA pour exiger une reconnaissance par l’ONU (que la RASD ne possède pas). • Encourager davantage de pays à retirer leur reconnaissance de la RASD afin d’affaiblir sa légitimité. Conclusion L’expulsion de la RASD de l’UA est une tâche extrêmement difficile mais pas impossible. Le Maroc doit rassembler une majorité des deux tiers des États membres, ce qui reste un défi majeur en raison du soutien de pays influents comme l’Algérie et l’Afrique du Sud à la RASD. L’option la plus réaliste pour le Maroc est donc de réduire progressivement l’influence de la RASD au sein de l’UA plutôt que de viser une expulsion immédiate.
bouza75
Date : le 07 janvier 2025 à 22h29
Ils n'ont pas besoin me semble-t-il de suspendre la reconnaissance de la RASD, ils sont besoin de s'abstenir lors du vote. Et cela est tout à fait possible pour tous ceux que tu as cité car le Maroc entretient de bonnes relations avec eux voir même à des interets importants avec ces pays.
Citation
Benoona à écrit:
Nous avons seulement besoin que la Mauritanie, le Mali, le Niger et le Kenya suspendent leur reconnaissance de la RASD pour atteindre le nombre magic de 35 et que le Maroc préside l'Union africaine et œuvre à l'expulsion du Polisario. Nous n'avons besoin ni de El Sissi, Libye, Le grenouille Qais Said. Les pays du Maghreb sont nos ennemies numero un! Les pays Africains qui nous supportent: GHANA Tchad Madagascar Gabon République Démocratique du Congo (RDC) Burundi Sénégal Sierra Leone Libéria Djibouti Guinée équatoriale Comores Gambie Guinée São Tomé-et-Principe Zambie Togo Guinée-Bissau République Centrafricaine Côte d'Ivoire Eswatini Malawi Burkina Faso Cap-Vert (Cabo Verde) Cameroun Somalie Soudan Soudan du Sud Congo-Brazzaville (République du Congo) Bénin Seychelles
Benoona
Date : le 07 janvier 2025 à 18h41
Nous avons seulement besoin que la Mauritanie, le Mali, le Niger et le Kenya suspendent leur reconnaissance de la RASD pour atteindre le nombre magic de 35 et que le Maroc préside l'Union africaine et œuvre à l'expulsion du Polisario. Nous n'avons besoin ni de El Sissi, Libye, Le grenouille Qais Said. Les pays du Maghreb sont nos ennemies numero un! Les pays Africains qui nous supportent: GHANA Tchad Madagascar Gabon République Démocratique du Congo (RDC) Burundi Sénégal Sierra Leone Libéria Djibouti Guinée équatoriale Comores Gambie Guinée São Tomé-et-Principe Zambie Togo Guinée-Bissau République Centrafricaine Côte d'Ivoire Eswatini Malawi Burkina Faso Cap-Vert (Cabo Verde) Cameroun Somalie Soudan Soudan du Sud Congo-Brazzaville (République du Congo) Bénin Seychelles
Dernière modification le 08/01/2025 21:50
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