Encore une fois, la corruption plombe le classement du Maroc dans l’indice de Transparency international. Non seulement le pays est très mal classé mais il continue sa chute, perdant ainsi trois places par rapport à 2012.
Au Maroc, la corruption se porte bien. 56% des Marocains estiment qu’elle a augmenté durant les deux dernières années. La police, la justice et la santé sont les secteurs les plus corrompus. Détails du baromètre de Transparency International.
Y a-t-il eu moins de corruption au Maroc en 2012 ? Pas vraiment. Sur les 176 pays concernés par le dernier index de Transparency International, le Maroc occupe la 88e place avec une note de 37 sur une échelle allant de 0, fortement corrompu, à 100, très peu corrompu. En 2011, le royaume était à la 80e place, sur 183 pays observés, avec une note de 34 sur 100.
Elle est partout. Ubiquiste, polymorphe, omnipotente. Au Maroc, le cancer de la corruption étend ses métastases sur l’ensemble des secteurs. Après le public, c’est au tour du privé de passer sous les rayons du scanner de l’ONG américaine Transparency International. Diagnostic : ce dernier souffre aussi d’un état de corruption avancé. Le bilan.
Un regroupement d'associations marocaines lancent l'appel Stop TGV. Elles veulent rouvrir le débat concernant la construction d'une ligne de TGV entre Tanger et Casablanca. La rentabilité, la priorité donnée à un tel projet, le mode de signature de contrat ... tout pour ces associations est contestable.
Transparency international vient de dévoiler ce jeudi 1er décembre, son Indice de perception de la Corruption (IPC) 2011. Le Maroc passe de la 85e à la 80e place, mais avec une note de 3,4 sur 10, comme en 2010. La corruption n’a donc pas du tout reculé dans le royaume. Pire, entre 2007 et 2011, le Maroc a reculé de 8 places dans ce classement. Une régression synonyme d’échec du gouvernement sortant dans sa stratégie contre la
Alors que le Maroc vient d'adopter son plan de lutte contre la corruption, l'indice de perception de la corruption (IPC) 2010, publié mardi par Transparency International (TI), montre que le pays ferait mieux de l'appliquer à la lettre. Le Maroc n'a pas réellement progressé depuis 2009 et se retrouve 85e au classement, sur 178 pays, avec une note de 3,4 sur 10. Transparency Maroc (TM) a organisé une conférence de presse pour présenter les
Transparency International (TI) a publié le 17 novembre à Berlin, son rapport annuel sur l’Indice de Perception de la Corruption (IPC). Le même jour, le secrétaire général de Transparency Maroc (TM), Rachid Filali Meknassi, a organisé une conférence de presse à la Bibliothèque nationale à Rabat, pour rendre public ce rapport. Le constat est alarmant. Le Maroc qui s’est classé 89e sur 180 pays continue sa « descente aux enfers ».