De nouveau, le Maroc sert de carte électorale dans un pays du continent : après le Nigéria, la semaine dernière, c’est au tour de la Zambie. Cette quasi-concomitance n’est pas sans soulever des interrogations. Elle interpelle également la «diplomatie parallèle» du royaume.
La Zambie, que le roi Mohammed VI devrait visiter début décembre, sera prise entre l’enclume et le marteau. Ce pays d’Afrique australe, qui a annoncé à plusieurs reprises le retrait, puis son annulation, de la reconnaissance de la «RASD», maintient ses relations diplomatiques avec le Royaume d'une part ; le Polisario d'autre part. La visite du monarque intervient quelques mois après la réception accordée au «ministre