Alors que la crise financière menace de récession les économies les plus développées de la planète, il semblerait que l’économie marocaine soit épargnée par «le 11 septembre de la finance», selon les termes employées par la présidente du Medef (organisation patronale française) pour qualifier l’effondrement des marchés financiers.
Comment expliquez la crise qui touche la Bourse de Casablanca ? Il faut d’abord souligner qu’il ne s’agit pas d’une crise proprement dite mais d’une correction sévère et surtout brusque qui fait suite à plusieurs séances baissières. L’ampleur de la correction est à la mesure de la survalorisation de la place où plus précisément de certaines valeurs clés du marché
« C'est la panique ! », ce sont les premiers mots d'un trader à Casablanca que nous avons appelé pour avoir son avis sur l'impact de la crise financière internationale. Hier le MASI dévissait de 3,49%, faisant à peine mieux que le CAC40 (-4,87%). Alors qu'on pensait le Maroc protégé de part ses fondamentaux, voilà que depuis mardi la chute suit celle des différentes places boursières internationales.
Malgré le ralentissement économique mondial suite à la crise des subprimes aux Etats-Unis, le Maroc affiche une santé de fer. On parle d'un taux de croissance du PIB de 6,8% pour cette année, et de 6,0% l'année prochaine. Le secteur bancaire est un élément centrale dans la stabilité économique du Royaume. Pour nous éclairer sur les forces et les faiblesses de l'économie marocaine, nous avons interviewé un analyse financier vivant à Casablanca. Tour d'horizon du secteur financier
Que se passe-t-il dans l’Hexagone sur le plan de la représentativité au sein du CFCM ? Autrement dit le Conseil Français du culte musulman. Créé en 2003 sous l’impulsion du ministre de l’Intérieur de l’époque, un certain Nicolas Sarkozy, et dont la vocation, entre autres, était «d’instaurer un Islam de France et non un Islam en France».
Les pharaons ont remporté l’une des plus belles coupes d’Afrique. En effet nous avons eu du spectacle, des buts et de l’émotion. Pour nous marocains on retiendra surtout la débâcle de l’équipe nationale, une des plus sévères à travers l’histoire footballistique du Maroc. Au début des années 80, la déroute face à l’Algérie à Casablanca avait secoué le football marocain. L’électrochoc a donné naissance à la plus belle équipe que le Maroc ait connu, il s’agit
Il y a un mois le Maroc a fait la une des médias européens pendant plusieurs jours. La raison n’est pas la découverte de puits de pétrole quelques part dans l’est d’Errachidia, mais les attaques perpétrées par les immigrants subsahariens contre la forteresse « Europa » et ce à partir du territoire marocain. En l’espace d’une semaine l’opinion publique a vu défiler des images choquantes. Les médias européens et à leur tête les espagnols ont saisi la balle au bond pour