Désormais conscientes de ce que le marché africain représente en terme de rentabilité, les entreprises marocaines sont de plus en plus nombreuses à y investir. Le panel des secteurs d’activité s’élargit.
Au Maroc, certaines femmes ont plus de mal que d’autres à trouver du travail : elles sont voilées. Discriminées, elles sont parfois contraintes à des choix ou des compromis majeurs dans le cours de leur existence.
Après Londres, Careers in Morocco part à la recherche des compétences marocaines de France. Cet événement qui vise à mettre en relation les entreprises marocaines et les cadres marocains travaillant à l’étranger, sera à Paris le 18 juin 2011.
Avec les tensions qui sévissent dans le monde arabe et le mouvement du 20 février, les investisseurs français ont voulu s’enquérir de l’état de l’environnement économique marocain. Une occasion que les dirigeants marocains ont saisie pour mettre en avant les opportunités d’investissement, sans toutefois cacher les réalités politiques et économiques du pays.
Alors que la crise des subprimes avait laissé presqu’indifférentes les bourses arabes, les révoltes et révolutions sévissant dans la région les affectent considérablement. Mais cela n’empêche pas la bourse marocaine de connaître de beaux jours. Qu’est ce qui fait sa force ?
Si le tourisme n'a pas apporté le bénéfice attendu après les crises tunisienne et egyptienne, le textile semble plus prometteur. Après une fin d’année 2010 plutôt stable, le secteur du textile marocain fait face à un grand besoin d’ouvriers qualifiés. Il se fait ardemment ressentir depuis la dernière édition du salon de la sous-traitance et du textile où le Maroc a remporté
Dans sa quête – sans grand résultat pour le moment – de promotion de la diversité, l’Etat français vient de connaître une nouvelle ère. Eric Besson, ministre de l’Immigration, a reçu mardi, un rapport sur la promotion de la diversité et la lutte contre les discriminations dans les entreprises, réalisé à la demande de son département. Ce rapport préconise quinze mesures pour
Rabat et Paris s'entendent bien, semble-t-il. Demain, 2 juillet, a lieu à Paris la 10ème rencontre de haut niveau de ministres marocains avec leurs homologues français, à l'issue de laquelle Abbas El Fassi s'entretiendra avec Nicolas Sarkozy.
La Fédération Nationale de l’Agroalimentaire (Fenagri) vient de rendre public une étude sur le secteur agroalimentaire. Un secteur qui compte près de 2 000 entreprises, soit ¼ de l’ensemble des unités industrielles du pays, qui réalise près du 1/3 de la production totale des produits industriels et qui contribue à raison d’1/5 aux exportations du Maroc.
Alors que les hommes d’affaires italiens peinent pour maintenir l’activité de leurs entreprises, les propriétaires d’entreprises d’origine étrangère ne semblent pas souffrir de la crise. Au contraire, leur nombre augmente. Cette analyse émane de l'Association des artisans et petites entreprises (CGIA) de Mestre, dans la région de Venise, au nord-est de l'Italie. D’après une étude menée par cette