Elle est partout. Ubiquiste, polymorphe, omnipotente. Au Maroc, le cancer de la corruption étend ses métastases sur l’ensemble des secteurs. Après le public, c’est au tour du privé de passer sous les rayons du scanner de l’ONG américaine Transparency International. Diagnostic : ce dernier souffre aussi d’un état de corruption avancé. Le bilan.
Avec la crise qui sévit en Espagne, de plus en plus d’ingénieurs espagnols viennent s’installer au Maroc pour y travailler, en particulier dans le secteur de l’énergie et des infrastructures. Le royaume, qui souffre d’un manque de main d’œuvre qualifiée, n’a pas d’autre choix que de faire appel à cette expertise étrangère. Explications.
Le débat est désormais clos au sujet du Fonds de solidarité. Pour augmenter les dotations du Fonds, les entreprises vont devoir payer. C’est la solution arrêtée par le gouvernement, mais la CGEM n’y voit aucune «équité».
La direction de lutte contre l’analphabétisme vient de publier une note de synthèse sur l’alphabétisation en milieu professionnel au Maroc. Résultat : le secteur agricole s’arrache la proportion la plus importante.
La main d’œuvre marocaine est très appréciée dans l’industrie du textile. Même les grandes marques espagnoles sollicitent les services de l’ouvrier marocain. Seulement, ce dernier reste correctement exploité.
Des entreprises du Canada et des Etats-Unis se sont récemment attirées les foudres du gouvernement norvégien. En cause, les liens commerciaux entre ces entreprises et l’OCP, considérés comme de graves manquements à l’éthique, en raison du conflit sur les provinces du Sahara dont est extrait une importante part de la production de l’office. Cependant, le gouvernement norvégien s’est montré moins soucieux de
Les discriminations à l'embauche subies par les Français d’origine étrangère sont plus sévères encore pour les cadres. Alors que certaines entreprises manifestent refuse, consciemment ou non de recruter des candidats maghrébins, d’autres affichent leur volonté de lutter contre ces ségrégations.
Malgré la crise financière qui tourmente l’Europe, la Belgique continue de recruter des compétences et des talents à l’étranger. Selon une étude réalisée par Manpower BeLux (Belgique, Luxembourg), Un employeur sur cinq continue à chasser des têtes dans certains pays tels que le Maroc, la Roumanie ou encore la France.
C’est devenu une tradition depuis 18 ans. Chaque année, le cabinet marocain Diorh spécialisé en Ressources Humaines dévoile une enquête sur les rémunérations des employés de plusieurs dizaines de sociétés marocaines et internationales installées au royaume. Même si en 2011 les salaires ont augmenté, cela ne va pas durer en 2012. Le Printemps Arabe a laissé des traces. Yabiladi s’est