Selon le quotidien Arabophone Assabah, la police Espagnole des frontières a multiplié ces dernières semaines ses agressions envers les citoyens Marocains qu’ils soient MRE ou résidant au Maroc. La goutte d'eau fut l’arrestation du parlementaire Marocain Yahya Yahya qui a d'ailleurs faillit provoquer un grave incident diplomatique entre les deux pays voisins !
A l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, l'Association Mondiale des Journaux (AMJ) organisait les 2 et 3 Mars à Casablanca, une conférence sur le thème : « Quelle stratégie pour faire face aux attaques contre la presse en Afrique du Nord ?». Saïd Essoulami, directeur général du Centre pour le respect de la liberté d’expression dans le monde arabo-musulman (CMF MENA) lève le voile sur «l’état » des libertés de cette presse au Maghreb dans un
Le verdict rendu par le tribunal de 1ère instance de Rabat à l’encontre de Rachid Nini, directeur de publication du quotidien arabophone «Almassae», est tombé. Celui-ce devra verser le montant global de 6 millions de dirhams de dommages et intérêts aux quatre substituts du Procureur du roi près le tribunal de Ksar El Kebir, suite à leurs plaintes pour propos diffamatoires et injures publiques.
A l'occasion des élections municipales de 2008 en France, un observatoire destiné à favoriser l’expression de la diversité a été créé. Najat Azmy, membre fondateur, s’exprime sur la philosophie, la démarche, les missions et les objectifs de ce nouvel outil au service du pluralisme.
Rachid Niny, 37 ans et natif de Rabat, est aujourd’hui à la tête du titre de presse leader au Maroc «Almassae», un quotidien qui tire à pas moins de 200 000 exemplaires (la moyenne des ventes kiosques pour le mois d’octobre 2007 a été d’environ 170 000). Qu’est-ce qui pourrait expliquer l’ascension fulgurante d’un journal et d’un homme en un temps record ? En effet, avec seulement une année de vie, Almassae est devenu l’acteur média de référence et le «canard»
Choc des cultures ou réalités sociales ? Tel est le sentiment qui transpire des discussions et des débats de la double «affaire Tel Quel et Nichane». Poursuivi pour atteinte à la personne du Roi, à la morale publique et aux mœurs, Ahmed Reda Benchemsi risque une peine de prison de cinq ans. Verdict, le 24 août prochain. Pour l’heure, et selon les éléments dont nous disposons, il y a lieu de s’interroger sur l’exercice de la liberté d’expression par les acteurs de médias
Au lendemain de la condamnation des journalistes de Al Watan, et à la veille de la tenue du procès de Tel Quel/Nichane (24 août), la « rue » marocaine est partagée entre un sentiment «d'injustice » et celui de la neutralité. Pour autant, cette affaire de « délit de presse », qui a de lourdes conséquences avec la privation de liberté pour un homme, père de famille de surcroit, nous conduit à nous interroger sur l'environnement dans lequel évolue, aujourd'hui, ces faiseurs
Les deux hebdomadaires du groupe Presse Directe, dirigés par Ahmed Benchemsi ont subi un blackout surprise de la part des autorités. Après un week-end animé pour le directeur des deux publications, une nouvelle convocation par la police vient de tomber. L'affaire Nichane+Telquel promet encore des rebondissements. Récit
Au lendemain des différents traitements médiatiques de «l’affaire Majidi» au sein des organes de presse marocains, plusieurs niveaux de lectures sont possibles. Entre ceux qui ont annoncé en grande pompe «l’info», et qui par maque de professionnalisme et d’honnêteté intellectuelle ont dû revoir le contenu de leur copie (le prix au m2 n’est plus estimé à 4500 Dh mais seulement à 350 Dh), ceux qui se sentent «floués» et craignent des «retours de bâton». Et enfin, ceux
L’ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, Thomas Riley, a décidément passé une très mauvaise semaine. Sa décision de fermer provisoirement le consulat américain ainsi que les propos déplacés qu’il aurait tenus concernant le dossier du Sahara ont suscité une polémique qui n’est pas prête de retomber. La presse marocaine boude les Etats-Unis, les journaux algériens se délectent de la situation et Riley ne sait plus où se mettre.