C’est tout ce qui manquait pour mettre pleinement en œuvre un projet important pour le Maroc : le Code d’efficacité énergétique dans le bâtiment, le secteur qui consomme le plus d'énergie dans le pays. Un programme qui n’est pas sans exigences.
La chaîne Arte a diffusé hier soir le documentaire fascinant «le Thé ou l’électricité» filmant l’arrivée de l’électricité dans un petit village perdu du Haut-Atlas. Cette arrivée n’est pas seulement synonyme de confort pour les villageois. Elle signifie aussi l'arrivée de la télévision, publicité et consommation.
On avait plus entendu parler du programme marocain intégré Eolien/Hydro et Electrification Rurale depuis le mois de juin dernier. Il revient à la surface sur le site français Techniques et ingénieurs qui parle de ce programme comme étant «un modèle pour le monde entier». Retour sur comment va fonctionner ce programme dont les objectifs sont de créer plus d’électricité et permettre aux populations des
60% des économies d'énergies, au Maroc, peuvent passer par l'efficacité énergétique. Un programme a été mise en place dans le secteur du batiment, le plus gros consommateur d'énergie, mais il manque de soutiens politiques publics.
Parmi les 10 plus grandes villes du Maroc en nombre d'habitants, Oujda détient la palme de la ville où l'eau est la plus chère près de 4DH/m3/mois TTC pour les 6 premiers m3. Marrakech est la ville la plus chère pour l'électricité : 1,0812 DH/kWh/mois TTC pour les 100 premiers Kwh. Meknés détient la double palme de l'eau et de l'électricité les moins chers dans ce top 10.
Dans son dernier rapport, le Programme des Nations Unies pour le Développement souligne qu’1,5 milliards de personnes n’ont pas accès à l’électricité. Parmi elles, des centaines de milliers de Marocains vivent dans les zones enclavées. Ainsi, le groupe français Tenesol, filiale du groupe Total, en partenariat avec l’Office National de l’Electricité, va installer des panneaux solaires photovoltaïques dans
L’écologie a le vent en poupe en ce moment au Maroc. Avec les différents plans lancés par le gouvernement pour réduire sa facture énergétique, bon nombre de sociétés ont senti le bon filon et propose aujourd’hui sur le marché de tous nouveaux produits dédiés aux particuliers et industriels marocains. Certaines de ces nouveautés sont actuellement exposées au Salon International de
Alors que l’Espagne et le Maroc avaient déjà mis en place leur deuxième interconnexion électrique, le député européen Raul Romeva s'inquiète des conséquences écologiques de l'ouvrage. La commission européenne exige de connaître le détail des mesures correctives de compensation de l’impact environnemental mises en oeuvre par le gouvernement espagnol.
L’énergie solaire au Maroc n’est pas seulement un marché d’avenir à grande échelle, mais peut également subvenir, à petite échelle, aux besoins de foyers individuels isolés dans le Royaume. Dans cette perspective, le leader du marché d’énergie solaire du résidentiel en France, Evasol, lance un nouveau projet d’électrification rurale en coopération avec l’Office nationale d’électricité (ONE) du Maroc et les sociétés Temasol et Isofoton Maroc.
Nareva Holding, filiale du groupe ONA, spécialisée dans les métiers de l’énergie et de l’environnement, vient de rejoindre l'initiative industrielle Desertec (DII). Ce consortium pilotera les investissements pour la construction d’un vaste réseau de centrales solaires à concentration et de parcs éoliens en Afrique du nord et au Moyen-Orient.