Lors du procès qui s’est ouvert lundi, la Cour d’assises de Paris a reconnu, ce vendredi, Saad Lamjarred coupable du viol de Laura Prioul. Le chanteur, condamné à 6 ans de prison ferme avec mandat de dépôt, a été toutefois acquitté des «violences volontaires».
Au deuxième jour du procès du chanteur marocain, qui s’est ouvert lundi à Paris, plusieurs témoins ont été appelés à la barre, dont des employés de l’hôtel Marriott ainsi que Laura Prioul, sa victime présumée qui l’accuse de viol aggravé et de violences.
Le chanteur marocain a ainsi maintenu la position qu'il a tenue pendant l'instruction, en contestant toujours les faits qui lui sont reprochés. Poursuivi pour viol aggravé et violences volontaires, il est revenu sur une affaire qui «a fait beaucoup de mal» à lui et à ses proches.
Le tribunal de famille à Casablanca a été saisi pour lever la tutelle du père sur son enfant dans un cas de divorce, pour le motif d’absence. Rendu ce lundi, le verdict n’a pas été favorable à la levée totale, mais il a donné à la mère le pouvoir de prendre des initiatives ayant nécessité jusque-là l’accord du père. La concernée compte interjeter appel.
Dans un jugement rendu par le tribunal de première instance de Midelt, la cour a fait valoir l’intérêt de l’enfant pour rejeter une demande du retrait de la garde au motif que sa mère s’est remariée. Les tribunaux marocains avaient souvent tendance à se prononcer pour le retrait de l’autorité parentale dans de tels cas.