Alors que l’année 2012 s’avère très périlleuse pour l’économie nationale, les banques tirent bien leur épingle du jeu. Les groupes Banque populaire et Attijariwafa Bank viennent de présenter leurs comptes semestriels et ces derniers affichent plutôt de bons résultats.
Année après année, l’endettement des ménages marocains continue à s'accroître bien que de moins en moins rapidement. L’immobilier et la consommation constituent les principales raisons du recours au crédit bancaire.
Les résultats de la dernière étude menée par le bureau international de consulting en finance islamique, le cabinet français IFAAS, révèlent qu’une très large proportion de la population marocaine se dit favorable à l’introduction de la finance islamique dans le royaume. M. Boubkeur Ajdir, directeur de projets chez IFAAS, discute les opportunités et enjeux majeurs de son développement.
Avec la mise en place d’une base de données interbancaire, les établissements de crédits marocains se trouvent confrontés à une problématique juridique majeure autour du secret bancaire.
Le rêve PJdiste commence à prendre forme. Le parti au pouvoir a préparé une proposition de loi visant à autoriser les Banques islamiques au Maroc. Le texte, préparé par une commission d’experts issus du PJD, sera incessamment présenté à la Chambre des représentants.
Devant la multiplication des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent de nombreux compatriotes marocains qui ne vivent pas en famille, en cas de décès à l’étranger, pour être enterrés ou rapatriés au Maroc : blocage des comptes et avoirs bancaires, refus systématique des prestataires du funéraire d’avancer des frais d’obsèques, il est nécessaire qu’une mesure soit
Grande émotion ce début semaine dans le secteur bancaire. L’agence de notation Moody’s a dégradé la note de trois banques marocaines, créant un mouvement de panique où rumeurs et interrogations ont pris le pas sur les fondamentaux. Moody’s a réussi son coup. Explications.