... un groupe de masochistes dont on ne se rappelle déjà plus des revendications. Je parle de ces grands brûlés des neurones (4ème degré voire plus si affinité) et qui aiment à se faire appeler par ce mot devenu chic et tendance aujourd'hui "Activiste" sans jamais préciser ce pourquoi ils sont si ... actifs, activé, Actvia ? Ceux là même qui, il y a deux ans encore, étaient la main dans la main, les yeux
Mercredi, six militants du Mouvement du 20 février, dont cinq sont détenus depuis le mois de juillet à la prison d’Oukacha, à Casablanca, ont vu leurs peines réduites en appel. Ils avaient tous été condamnés en septembre dernier pour des «violences à l'encontre des forces de l'ordre».
Officiellement accusé de trafic de drogue, officieusement d’avoir imité le roi en béquilles, Driss Bouterrada, un militant du Mouvement du 20 février, a été reconnu hier, jeudi, coupable par le tribunal de première instance de Rabat. Une condamnation plus que «douteuse» pour ses avocats et défenseurs des droits de l’Homme.
Officiellement arrêté le 10 décembre dernier pour trafic de drogue et détenu depuis lors, Driss Bouterrada, membre du Mouvement du 20 février [M20] est entre les mains de la justice. L’AMDH et le M20 dénoncent de «fausses accusations» et réclament sa libération ainsi que celle de tous les autres «détenus politiques».
La visite officielle au Maroc du premier ministre français Jean-Marc Ayrault s’est achevée hier. Avant de rejoindre l’Hexagone, il a accordé une conférence de presse avec son homologue Abdelilah Benkirane. Interrogé sur la question des droits de l’Homme au Maroc, ce dernier a été sans équivoque : le Maroc a sa spécificité que la France et les autres pays doivent respecter.
Après des mois de calme précaire, la ville de Béni Bouyache renoue avec le cycle des protestations et des interventions, souvent brutales, des forces de l’ordre. Un cycle qui n'est pas sans rappeler celui de mars dernier.
Au Maroc, six membres du Mouvement du 20 février viennent d’être condamnés à des peines de prison. Leur crime : avoir participé à une manifestation non-autorisée le 22 juillet dernier, dans le but de dénoncer la détention des prisonniers politiques ainsi que la vie chère au royaume.
Au lendemain de la cérémonie d’allégeance au roi, célébrée mardi au Maroc, des dizaines de manifestants se sont données rendez-vous mercredi, devant le siège du Parlement, pour réclamer la suppression de cette pratique. Plusieurs des participants, dont des journalistes qui couvraient l’événement, ont été passés à tabac par les forces de l’ordre. Pour en savoir plus, nous