C'est souvent à l'approche de l'été que des imams subissent des sanctions. La raison est simple : les critiques des festivals par ces mêmes imams. Cette année, rebelote.
Le PJD et l’Istiqlal envisageaient, dimanche, d’interroger le ministre de la Communication sur la soirée de Jennifer Lopez. Quarante-huit heures plus tard, les deux partis ont finalement retiré leurs questions. Les islamistes se voient ainsi priver d’une occasion d’attaquer 2M.
Mawazine est devenu le festival de la polémique par excellence. En 2012, la culotte de Jessie J avait alimenté les commentaires sur les réseaux sociaux. Cette année, c’est au tour de Jennifer Lopez de porter le témoin. Les islamistes, y compris même un député du PJD, dénoncent le spectacle de la chanteuse américaine. Le ministre de la Communication a été envoyé pour éteindre le feu.
Après Bouygues Télécom (cf notre article) et les organisateurs des Jeux Panarabes à Doha (cf notre article), c’est au tour du Morocco Mall. L’une des sociétés qui a construit le centre commercial publie dans l’une de ses brochures, des cartes du Maroc sans le Sahara. Une erreur passée inaperçue qui a été très vite corrigée.
Après la polémique engendrée par la colère et l’indignation des journalistes marocains indésirables lors du concert très privé de Jennifer Lopez à Casablanca pour l’inauguration du Morocco Mall, place aux interrogations concernant le cachet de la star. Les arguments des organisateurs pour convaincre la chanteuse d’offrir un show aux invités triés sur le volet ont été séduisants, selon un
Après le tollé provoqué par l’humiliation des journalistes marocains lors du Red Carpet du Morocco Mall, la direction du plus grand centre commercial d’Afrique répond. Accusés de discrimination, les responsables du Morocco mall se sont défendus en assurant ne pas avoir invité la presse internationale. Cependant, des vidéos d’interview de J-Lo prouvent que la presse américaine a été de la fête.
Les journalistes marocains sont en colère. Pour l’inauguration du Morocco Mall, les journalistes de la presse ont reçu, le jour même, hier, le 1er décembre, une invitation pour couvrir l’évènement. Rassemblés sur le lieu du rendez-vous, ils ont appris qu'ils avaient reçu une invitation par erreur. Indignés, les journalistes publient un communiqué sur facebook.