Le Togo renonce à accueillir le sommet de la CEDEAO du 16 décembre. Les tensions politiques qui secouent depuis des mois ce pays ont contraint le président Faure Gnassingbé à prendre cette décision. La réunion aura lieu à Abuja, où se concentrent les opposants à l’adhésion du Maroc au groupement régional.
Au Nigéria, les opposants à l’admission du Maroc à la CEDEAO poursuivent leur campagne de mobilisation. Néanmoins, le royaume a désormais l’appui de l’une des personnalités les plus influentes du pays : l’émir de Kano, un adepte de la Tariqa Tijania et ancien gouverneur de la Banque centrale.
L’adhésion du royaume à la CEDEAO, acceptée «en principe», fait couler beaucoup d’encre. Et pour cause, tous les pays ne sont pas convaincus, plus particulièrement le Nigéria. C’est en tout cas ce que semble avancer Bloomberg dans un article publié ce matin. Détails.
Un média du Polisario qui relaye d'habitude les positions de Lamine Ould El Bouhali, le grand adversaire de Brahim Ghali, qualifie la participation marocaine au sommet de l’UA de «succès».
Les travaux du Conseil de l’exécutif de l’Union africaine ont connu une confrontation entre le Maroc et les alliés du Polisario au sujet d’une visite d’une mission africaine des droits de l’homme au Sahara. Une médiation du Nigéria a permis de lever les réserves marocaines.
Le roi Mohammed VI doit présider ce lundi 15 mai la cérémonie de lancement du projet de gazoduc devant relier le Nigéria au Maroc à travers plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest. Une rencontre à laquelle ont été conviés des membres du gouvernement, des représentants de pays africains dont ceux du Nigéria, des dirigeants d'offices publics et des experts internationaux. Zoom sur un projet titanesque porteur de